Il y a un peu plus de deux ans, excédé par la politique et par les énergumènes qui nous gouvernent, j’ai décidé de créer ce site.
Je savais déjà que la plupart des politiciens étaient à gauche, même ceux qui feignaient d’être à droite, je savais qu’ils pratiquaient tous ce qu’il est coutume d’appeler « le politiquement correct », mais, ne leur en déplaise, intellectuellement incorrect et parfaitement à côté de la plaque. Je savais aussi qu’ils se vautraient dans la bien-pensance, la pensée unique ou carrément le terrorisme intellectuel qui conduit à diaboliser quiconque ne pense pas comme eux, les « dépositaires auto-proclamés de la morale supérieure ». Je savais qu’ils étaient avant tout opportunistes, carriéristes, démagogues, nombrilistes, souvent vaniteux (je rappelle la racine latine du mot vanité qui seraitvacuus soit le vide, l’illusion, le manque de valeur ou de vérité, la fatuité…ça leur va bien ça, vous ne trouvez pas ?), je savais qu’ils étaient souvent corrompus (souvenez-vous les « affaires »-surtout chez les socialistes- qui défraient la chronique européenne depuis tant d’années), qu’ils étaient attachés au pouvoir comme des morpions à une bite. Je savais qu’ils étaient, pour la très grande majorité, des analphabètes économiques, des gens aussi qui n’avaient jamais rien entrepris, jamais rien créé, de leurs mains, de leur tête (en ont-ils ?), de leur argent, bref je savais qu’ils étaient de gros (très gros) parasites-politiciens-professionnels (une espèce qu’on n’aurait pas dû inventer, elle coute très cher et ne sert à rien !) intéressés uniquement par leur confort, leur devenir, leurs avantages, le fric qu’ils nous pompent et strictement rien d’autre. Je savais aussi que cette clique de politicards était caressée dans le sens du poil par une très grande majorité des médias et des journaleux, véritables lèche-bottes professionnels à gauche ou à l’extrême gauche prête à absoudre les pires tyrans ou les pires assassins pour autant qu’ils soient communistes, trotskystes, maoïstes voire même islamistes (le mythe imposé de la religion de paix et d’amour…tu parles Charles !). Je savais aussi que ce petit monde fonctionnait en vase clos, en parfaite harmonie, les politiques avec les journaleux, en somme des crétins en boucle, ceux qui parlent à ceux qui écoutent et retransmettent servilement aux pigeons que nous sommes. La vie est belle non !
Le problème est que je ne vois pas d’informations là-dedans, j’y vois invariablement de la désinformation.
Oui, je savais tout cela, mais plus de deux après avoir pris la plume, je dois confesser que je me suis trompé sur une seule chose, l’ampleur du désastre. La situation est encore bien pire que je ne l’avais imaginée, c’est consternant, affligeant et totalement renversant !
L’Etat-Nation part en quenouille et l’Etat-Providence vanté par ces ânes-alphabètes économiques prend l’eau de toutes parts, malgré toutes leurs tentatives imbéciles pour le faire rester à la surface.
Est-ce la lâcheté qui sert la bêtise ou plutôt la bêtise qui sert la lâcheté, je ne sais pas, inutile d’épiloguer sur le sujet parce que de toute façon ce n’est pas très jojo et avec un tel standard on vole au ras des pâquerettes et on restera au ras des pâquerettes, voire même en dessous !
Maintenant que la chose est dite et que le chapitre est cadré, ouvrons le feu et que la fête commence !
Commençons par la crise, quelle crise, en tous cas pas celles des pays émergeants qui se portent tous très bien pour cause de bonnes pratiques économiques (peu d’impôts, limite de la mainmise de l’Etat dans l’économie et meilleure maîtrise des dépenses publiques - se référer à mes commentaires antérieurs), alors si la crise n’est pas générale, c’est qu’elle n’est pas une fatalité non plus mais qu’elle est bien due à l’incurie et au manque de jugement de nos gouvernants. Ça, c’est factuel, mais personne ne le dit jamais, dans les médias habituels évidemment. Ces gnomes intellectuels tournent en rond jusqu’au plus niveau politique de nos pays et ils se battent en prétendant défendre la croissance pour les socialistes (ce qui est un comble) et l’austérité à droite. Le débat est bloqué entre croissance et austérité et chacun laisse dire et accepte ce débat réducteur avec une espèce de complaisance naïve. Il faudrait dire à ces niaiseux qu’il faut de l’austérité et de la croissance, l’un n’excluant pas l’autre. Est-ce si difficile à comprendre ?
François Hollande est venu à Bruxelles pour défendre la croissance, comment…en creusant les déficits et en injectant de l’argent public (qu’il n’a pas). Le vieux crédo de la gauche d’inspiration Keynésienne qui déteste le « Marché » et vénère l’interventionnisme de l’Etat. Les politiciens s’imaginent stupidement que la croissance se décrète, ils auront beau dire d’un air sentencieux qu’ils veulent le retour de la croissance, celle-ci ne tombera pas du ciel parce que ces monseigneurs de la politique le veulent, ce serait trop simple. Le problème est qu’ils se font élire avec des assertions aussi sottes et qu’après on est obligé de se farcir ces vains prétentieux pendant des années.
Dans la réalité l’Europe entière, prétendument à droite, crève de son dirigisme et de son interventionnisme imbéciles. Avec Hollande est ses copains on passera au collectivisme de gauche, ce qui enlèvera le peu de liberté laissée aux citoyens oppressés de charges et d’impôts dans cette Europe décrite faussement comme étant libérale. Dans les faits notre Europe est une Europe administrative au service de la Nomenklatura qui la dirige. Cette Nomenklatura bouffe nos libertés et se comporte comme tous les organismes naturels ou toutes les entreprises commerciales dans la mesure où elle veut défendre sa place, sa croissance personnelle ou ses avantages. Seulement ce qui est acceptable pour les organismes naturels ou pour les entreprises (qui fonctionnent avec leurs fonds privés) ne l’est pas pour les constructions ou les structures étatiques qui vivent en parasitant l’économie libre.
Tous ces politiciens parlent de croissance, mais pratiquent l’inverse de ce qu’il faudrait faire pour que la croissance redémarre et que la richesse soit créée. La richesse n’est pas une ressource, une matière première limitée, rare qu’il faut partager selon les règles du Très Grand Ordonnateur Socialiste. La richesse est la création humaine née de la Liberté. La source de cette richesse vient de l’exceptionnalisme des hommes qui ne peut se libérer dans la contrainte et la pression de normes folles et arbitraires. Il y a peu de temps j’écrivais ces lignes que je juge utile de rappeler ici, parce que tout est là et on ne le répétera jamais assez !
« La croissance sera, selon moi, la somme de toutes les initiatives individuelles qui créent des activités économiques d’abord pour survivre. Elle est donc avant tout un réflexe de survie, l’énergie créatrice humaine qui n’a pas de limites lorsqu’on lui laisse libre cours. Elle se nourrit de l’imagination et de l’intelligence humaine et ne pourra pleinement s’épanouir que dans un monde ouvert, où l’information, les services et les produits circulent librement et sans contraintes. Elle sera demain ce que nous n’imaginions pas aujourd’hui parce qu’elle résultera de nos efforts à assimiler le présent pour comprendre et anticiper l’avenir en innovant sans cesse. Cette force irrésistible ne peut pas être quantifiée, elle ne peut pas être mise en équation ou faire l’objet de modèles économiques. Elle ne pourra pas non plus être comprise par des technocrates ou des énarques gavés de théorie parce que ces gens-là sont faits pour comprendre (dans le meilleur des cas) ce qui existe déjà mais ils ne comprendront jamais ce qui n’existe pas encore. La croissance est pourtant là-bas, dans la vision du futur et elle échappera toujours à celui qui garde le nez sur sa copie. Or, voir loin ne s’apprend jamais, la gestion catastrophique de nos états vient de là, ceux qui nous gèrent (mal) sont des nains de jardin au regard court et à l’esprit d’une même longueur incapables de toute création novatrice et de projection dans l’avenir. La première intelligence, la plus rare, est d’abord intuitive avant d’être livresque. Sans intelligence intuitive on deviendra un con diplômé, même s’il est encore préférable d’être un con diplômé plutôt que d’être un con tout court ! »
Mitt Romney ne tient pas un autre discours aux USA, pourtant nous ne nous sommes pas parlés. Il faudra espérer qu’il soit le prochain Président américain
Voici un résumé de son discours :
Il célèbre les valeurs américaines et met en exergue l’irrespect de celles-ci par Obama. Il parle de Liberté, de la nécessité absolue de respecter de la Constitution Américaine, véritable fondement inaliénable de l’Amérique, source de sa grandeur et de sa richesse.
Il faudra,dit-il, choisir entre deux destins différents incarnés par Obama d’un côté et lui-même de l’autre. Obama détruit les libertés économiques, religieuses et personnelles, il détruit aussi le rêve américain, son dynamisme et son esprit « entrepreneur ».
L’économie américaine fonctionne grâce à la Liberté, son seul véritable moteur, à la liberté d’entreprise et à la liberté individuelle. Obama réduit les libertés et il augmente les taxes, il augmente les règles (la Loi), la bureaucratie, il dépense plus au lieu de dépenser moins.
Il faut faire le contraire, renouer avec l’esprit « américain », encourager la prise de risque, couper les taxes, il faut moins de gouvernement et plus de liberté.
Il termine par une image très belle : en tant que gouverneur, il avait accueilli la dépouille d’un soldat US tombé en Irak. A la sortie du cercueil de l’avion, sur le tarmac tous ont mis la main sur le cœur, les soldats ont salué. Plus haut et plus loin, les personnes composant la foule se sont accumulées derrière une vitre. Découvrant ce spectacle elles ont toutes porté la main sur le cœur. L’image d’un Peuple, uni, solidaire et respectueux des valeurs qui ont fondé l’Amérique….
Voilà l’image d’une Nation forte, fière de son destin et de ses responsabilités, d’une Nation Libre, d’un Peuple Libre et solidaire, voilà l’image que nous aimerions pour l’Europe ou pour la Belgique mais que nous ne verrons pas, parce que chez nous nos politiciens qui tirent tout et tout le monde vers le bas préfèrent le vil, le laid, le déshonneur et la paresse. Le Peuple européen veut certainement autre chose que ce modèle de ratés que nous impose cette bande de nullards, il le veut, j’en suis certain, le jour où il parlera, il passera de majorité silencieuse à majorité tout court. Ce temps-là viendra, il viendra, j’en suis sûr !
Soit, revenons à nos moutons de la croissance et des inepties politiciennes qui l’accompagnent.
Le meilleur cours d’économie non pour les nuls mais par un nul a été donné récemment par le professeur Mélenchon candidat du Front de gauche lors des dernières présidentielles françaises. Voici ce qu’il nous disait sur France 2 à télé-matin le 21/05 : La croissance ne veut rien dire, pourquoi, il y a deux définitions ou interprétations de la croissance, la droite veut produire plus en faisant des coûts salariaux moindres et en mettant en avant l’innovation, ce qui correspond à la politique de l’offre et on en connait le résultat, des salaires de plus en plus bas et des délocalisations. La gauche parle de « relance de l’activité » par la demande, on voit ce que les gens ont besoin et on y met l’argent nécessaire, de l’argent public d’une part et on augmente les salaires des ouvriers d’autre part.
Mélenchon a entendu braire un âne, mais il ne sait plus très bien dans quelle écurie. Je ferais donc plusieurs remarques à cette très mauvaise explication qui mérite 1/20. Je mets « un » pour la salive gâchée, comme l’on aurait mis, jadis, la même note uniquement pour le papier (mes souvenirs d’enfants à l’école, à une époque où l’on écoutait les professeurs) !
Premièrement et comme disait Esther Duflo économiste et professeur au MIT : « on ne saurait pas expliquer la croissance ». La croissance est la simple résultante des efforts humains comme je l’expliquais plus haut. Il ne s’agit pas non plus d’opposer la politique de l’offre à la politique de la demande, une fois encore, faire ça, c’est ramener la réflexion économique à un langage simpliste et réductionniste. Il faut faire les deux !
En outre, pour la gauche stimuler la demande c’est faire des dettes et creuser les déficits publics en imaginant que la croissance va suivre. Or, une fois encore, ça ne fonctionne pas comme ça pour la simple raison que, déjà, la part des dépenses publiques dans le PIB (en Belgique, en tous cas Article ) n’est que de 26.2 %. Agir sur les dépenses de l’Etat n’aura donc qu’un effet marginal sur la progression du PIB. La gauche ne sait pas de quoi elle parle, elle fait du vent, rien que du vent, on est habitué, c’est normal !
La grosse partie du PIB (version dépenses) provient des dépenses des ménages, des investissements des entreprises et des achats de logements neufs par les particuliers (70%).
On doit, en conséquence, également favoriser les entreprises par une politique, dite de l’offre, ce qui correspond à limiter les impôts, les charges, à libérer les contrats de travail bref à déréguler et à sortir de leur carcan trop serré toutes les entreprises et les entrepreneurs de ce pays. L’Etat doit se cantonner à sa fonction régalienne et foutre la paix aux citoyens seuls capables de créer et de produire. Il suffit de regarder les chiffres pour s’en convaincre. En parallèle, comme nous ne pouvons pas augmenter les salaires, il faudra baisser également les charges et les impôts sur les salaires pour augmenter le pouvoir d’achat des particuliers et stimuler la demande. Je rappelle qu’un salaire de 2500 € brut/mois coûte +/- 4000 € à l’entreprise alors que le salarié ne retrouve que +/- 1500 € net. L’écart est là, le mal est surtout là !
Cette politique fiscale et sociale imbécile a été menée au nom de la redistribution chère aux socialistes, c’est une politique castratrice, démotivante également basée sur un système pyramidal proche de l’escroquerie. Il faut, là aussi, tout changer et revenir, pour les retraites, à un système de capitalisation, le seul système réaliste, intelligent et cohérent.
Les déséquilibres financiers actuels sont venus de l’application irréfléchie du dogme socialiste, il ne vient pas d’ailleurs. Errare humanum est, sed perseverare diabolicum !
Malgré cela, les politicards persistent et signent et Mélenchon dit n’importe quoi !
La croissance, c’est donc une politique de la demande doublée d’une politique de l’offre le tout appuyé sur la confiance. Or sans continuité il n’y a pas de confiance, sans liberté il n’y a pas de confiance et le socialisme c’est l’anti-croissance, l’anti-confiance, le socialisme est la politique de l’échec et de la décroissance. Ça aussi c’est un fait, ce n’est pas un dogme !!
Si la démocratie c’est de laisser dire n’importe quoi par les prétendants au « trône », il conviendrait aussi de rabaisser le caquet de ceux qui claironnent haut et fort des âneries monumentales, mais ça personne ne le fait jamais. C’est ahurissant, il faut des francs-tireurs, comme moi et certains autres (rares autres) pour damer le pion à ces ignares qui ne cherchent qu’à se faire élire. Le problème est qu’ils profitent de la crédulité et de la misère humaine et que ça marche. Voilà des pitres élus qui roulent carrosses, se paient des belles baraques et bouffent du caviar sur le dos des Peuples à qui ils mentent. Comme dit JP Grumberg sur Dreuz.info : « si vous votez pour la gauche caviar, vous aurez la gauche, et eux le caviar ».
Dans leurs délires financiers et dépensiers, la gauche, Hollande en tête, veut les euro-bonds, moi pas (mais qui me le demande). Ils pensent que ces emprunts doperont la croissance, moi toujours pas !
Revenons, brièvement, à ce que j’ai déjà écrit sur ces euro-bonds de malheur. Les afficionados de cet emprunt européen se basent aussi sur le fait que l’Europe n’a pas de dettes, elle pourrait donc emprunter. Faux !
L’Europe est un contrat Article , ce n’est pas une Nation, elle n’a pas d’actifs, pas de PIB propre, pas de capacité de remboursement, bref, elle n’est rien. Lui prêter de l’argent serait empiler des dettes sur les dettes déjà existantes et « débordantes » des Nations qui la composent. Faire cela constituerait de la cavalerie pure et simple ou un processus assimilé à une vente pyramidale…l’un et l’autre sont interdits par la loi parce que constitutifs d’escroquerie. Autre chose serait de consacrer une partie de la capacité d’emprunt de chaque pays et la mettre dans un « pot commun » pour éviter la cavalerie, c’est ce chemin qui semble vouloir être suivi, mais certains politiciens ne l’ont toujours pas compris puisqu’ils persistent dans une argumentation absurde (ils sont égaux à eux-mêmes !). Je suis aussi opposé à ce système parce qu’il favorise l’endettement au détriment la rigueur et qu’au-delà de cela il implique une forme d’abandon d’une partie de souveraineté nationale au profit de la technocratie européenne non élue (il est vrai que les élus ne font pas mieux). En outre, quid du taux d’intérêt ?
Nous savons tous que les Etats paient plus ou moins d’intérêts en fonction de leur notation. Ainsi l’Allemagne paie peu, la Grèce paie beaucoup. Alors qui va payer pour qui, les bons élèves pour les mauvais, comme toujours dans nos démocraties aux valeurs inversées où il importe peu d’être bosseur ou de cultiver l’excellence. La démagogie généralisée encourage la nullité et montre du doigt la performance, réussir est une tare, rater est la norme implicitement encouragée. Ça aussi c’est factuel !
Personne ne voudra payer pour les autres, pour une fois, grâce à cela, nous irons peut être vers la voie du bon-sens et nous abandonnerons cette idée saugrenue d’empiler les dettes les unes sur les autres. Merkel tient bon, pour le moment, c’est normal, elle échappe à la règle, elle est intelligente !
A moins que, comme disait l’Abbé Joseph-Marie Terray, ministre français des finances de 1768 à 1774 : « Un État devrait faire défaut tous les cent ans, afin de remettre les finances publiques en équilibre. »
Il faudrait soutenir la Grèce indéfiniment ?
Je l’ai écrit il y a des mois, les fonds donnés à la Grèce ne feront que retarder l’échéance du « patatras » annoncé, même Barroso commence à évoquer l’éventualité de la sortie de l’Euro pour les grecs. Quelle girouette celui-là, il soutenait la Grèce corps et âme, il a balancé, avec ses copains plus de 230 milliards d’euros d’aides publiques européennes à la Grèce, il a imposé aux banques l’effacement pur et simple de 100 milliards et maintenant il se dit que la Grèce pourrait bien sortir de l’Euro!
J’ai diablement envie de lui dire : « Eh Fieu (comme on dit à Bruxelles), fallait pas balancer tout ce fric à fonds perdus, si c’est pour en arriver là, nous on savait que ça ne servait à rien, toi tu t’en fous, tu balances le fric des autres par containers entiers sans sourciller et en plus on te paie 32.500 €/mois pour ça Source . T’es pas gêné espèce de Klet (c’est du bruxellois), t’es pas assez payé, tu veux une petite rallonge pour te sentir mieux, parce que faut pas te gêner, l’Europe aime gaspiller et entretenir des gros nazes dans ton genre».
L’euro est une monnaie artificielle qui ne correspond à rien et qui ne s’attache à aucune économie nationale (le principe de la monnaie), c’est tout son problème depuis le début. Il n’y a pas d’économie européenne et il n’y en aura jamais. L’économie d’un pays se définit par son caractère propre comme, notamment, sa capacité d’innover, sa productivité, la spécificité des intervenants économiques personnes privées et personnes morales ou les us et coutumes des populations. Il n’y aura jamais d’unité entre tous les pays. L’euro prive également les pays qui en ont besoin de leur politique monétaire. Il faudrait, pour les uns, dévaluer (je l’ai déjà dit et écrit dans cetarticle ), ce qu’ils ne peuvent pas et ce qui les conduit au gouffre. Ce soutien insensé à l’euro est absurde et contre nature. Il ne protège que la Nomenklatura européenne en place au détriment des Peuples et des Nations.
J’entends souvent dire qu’en créant l’euro on a mis la charrette devant les bœufs. C’est faux, comme il n’y aura jamais d’économie européenne, il n’y aura jamais de conditions favorables à l’euro (sauf pour un nombre restreint de pays à l’économie comparable), donc il n’y a pas de charrette et il n’y en aura jamais. Il n’y a que des bœufs, mais ceux-là ne sont ni devant ni derrière une charrette qui n’existe pas, ils sont ailleurs, ils nous gouvernent !
Honte à eux !
L’euro sera un échec parce qu’il était déjà un échec annoncé lors de sa création.
Je passe ici sur les aberrations de l’Europe qui fausse le marché par ses subsides aussi stupides qu’arbitraires (sans parler de la PAC qui est un désastre et coûte 50 milliards par an) qui font et ont fait la richesse d’une minorité. En Belgique les surplus de beurre soutenus par l’Europe bureaucratique ont enrichi de façon scandaleuse des affairistes aux dents longues (pour ne citer que ça), dans un ancien pays de l’Est, le soutien au développement de centrales électriques solaires a conduit à donner, je dis bien donner, 15 millions d’euros à d’autres affairistes (sur un seul dossier, en fait 75% du montant investi) associés à des politicards locaux qui au-delà de prendre les fonds de l’Europe projetaient ensuite de se faire exproprier au frais de l’Etat.
Où il y a de la gêne, y a pas de plaisir !!
L’Europe représente le « gaspillage incarné », cette Europe administrative et technocratique est un chancre, une purulence abjecte qui doit être totalement revue et totalement corrigée. Certes elle est gérée par des non-élus, ce qui nous scandalise, mais ces gens-là, sont les copains de ceux qui sont élus, c’est chou vert et vert chou, ce sont des politiciens recasés, alors élus ou non-élus, je m’en moque, ils sont mauvais où qu’ils se trouvent…la solution ; du balai, rien qu’un grand coup de balai !
Pour ce qui me concerne je n’ai plus confiance en ces politiciens de tous les bords, c’est mon droit et c’est aussi la source de mon indignation. Comme disait Pagnol : « la confiance, c’est comme les allumettes, ça ne sert qu’une fois… »
Alors je n’ai qu’un seul souhait ; envoyer ces tocards, tous ces tocards au diable !
Ils n’auront ni ma voix, ni mon cœur, ni mon argent, ils n’auront que mon mépris et le dégoût qu’ils m’inspirent.
Ce ne sont que des bouffons, mais des bouffons qui ne sont pas drôles, ce sont des bouffons tristes, stupides et arrogants, des bouffons bien gras entretenus par le système qu’ils aiment tant, qu’ils ont créé et qui nous désert. Ils ne comprendront jamais qu’ils sont le problème, ils cherchent ailleurs, mais ils feraient mieux de se mettre devant une glace et encore, même devant ce désastre, leur triste figure, ils ne verront toujours pas dans leur reflet la source de tous nos ennuis.
Pendant ce temps, la France redevenue socialiste a fait exploser son gouvernement, ils étaient quinze ou vingt à l’époque de Sarkozy, les voilà à trente-quatre avec presque autant de ministres délégués que de ministres tout court et avec des portefeuilles aussi fantaisistes que « l’égalité des territoires », « la réussite éducative », « l’économie sociale et solidaire », le ministère du « dialogue social », ou encore celui du « redressement productif » Article Dreuz
Bon vent la gauche, les bouffons et les imposteurs, les rochers ne sont pas loin, voguez, voguez avec la fierté aveugle qui vous caractérise, appliquez votre politique désastreuse du nivèlement par le bas et bientôt vous cesserez de voir les rochers (les avez-vous jamais vu ?), vous vous fracasserez dessus, il sera trop tard, la France et l’Europe tomberont plus bas encore, mais on connait la chanson, ce sera de notre faute, ce ne sera jamais de la vôtre !
Responsables mais pas coupables, c’est votre belle formule de faux-cul et de lâches. Je ne dis pas où vous pouvez vous la mettre bien profond cette formule, je ne voudrais pas terminer par une grossièreté, même si ça me démange foutrement.
La Liberté fout le camp, les parasites restent !