Leçon d’économie pour les nuls

L’argent public n’existe pas, qui le sait ?

Posté par ATB le 14 février 2016

Non je ne me radicalise pas, à force d’étudier mes dossiers, de parfaire mes connaissances et d’écrire, j’ai fini par connaitre la force de mes mots et celles de mes analyses, ce n’était pas très difficile à réaliser, j’ai simplement écouté et lu les nombreuses réactions de mes lecteurs depuis près de cinq ans, cela en fait quelques-unes. Je les remercie du fond du cœur.

Fort de  ce constat, je regrette aussi l’ignorance crasse et le parti-pris des hommes/femmes politiques et des médias mainstream qui n’évoluent jamais et restent plantés, tels des nains de marbre, sur la planète du mensonge, de la manipulation et de l’absence de tout dialogue.

A ce propos et sans ouvrir le débat ici, je n’ai pas été étonné de lire récemment que les journalistes allemands recevaient des instructions strictes de la part du gouvernement, ils sont carrément censurés. « Rosaly » écrira un article à ce propos sur Dreuz, il est ici. Rien de neuf là-dedans, nous le savons, mais pour une fois qu’un « officiel » le dénonce, profitons-en. Nous savons aussi qu’en Belgique la RTBF est le jardin du PS et que la pensée dominante est celle de la pensée-unique, comme en France, comme en Europe. Il n’est pas bon de penser autrement, je le vis chaque jour !

Ces gens-là détestent la contradiction, ils la refusent carrément et choisissent de jeter l’opprobre d’une manière brutale sur tous les opposants. Ils font partie d’une caste, d’un système qu’ils veulent défendre à tous prix et malheur à celui qui osera leur tenir tête, pour eux, tous les coups sont permis, pour vous combattre, ils choisiront l’insulte, les poursuites judiciaires, l’internement psychiatrique ou toutes mesures qui vous mettront KO et leur éviteront la contestation. Nous vivons sous la tyrannie des partis politiques.

Une partie de leur stratégie consiste à nous faire taire, c’est pour ça qu’ils voudraient absolument contrôler Internet, le combat contre la propagande djihadiste est un prétexte. Sarkozy dira :

« On ne peut pas continuer avec Internet, où il serait permis de faire tout »



Il plaidait pour l’instauration d’un délit de consultation des sites terroristes, OK, mais jusqu’où cela va-t-il aller ? Cela ne sera pas la première fois que les dirigeants utilisent une loi à des fins politiques, le pouvoir socialiste français vient de lancer des poursuites judiciaires contre Marine Le Pen parce qu’elle a diffusé des vidéos de l’État islamique, elle ferait de la propagande pour les islamistes ! De qui se fout-on ? Et quid du droit à être informé ? Evidemment, camoufler l’information c’est l’ADN des étatistes, de gauche et de droite.  

Allez, exit l’islam (pour l’instant, hélas !) et  revenons-en à nos moutons, l’économie qui, à part la politique, la connerie, l’ignorance, la doctrine, la corruption et la méchanceté gouvernent ce bas monde en back office. Si ça gêne quelqu’un, tant pis, c’est un fait, n’en déplaise à cette gauche stupide, doctrinaire et hypocrite qui n’y comprend strictement rien et fait n’importe quoi.

Agacé devant tant d’ignorance, de silence (on ne parle jamais d’une vraie économie libérale à la télé ou dans les médias principaux) et de parti-pris, j’ai finalement changé la « phrase clé » que j’avais mise à la Une de mon site ;

« Faisons la liberté, la liberté fera le reste »

J’ai finalement préféré celle-ci :

« L’argent public n’existe pas »

La première maxime était pourtant essentielle, notre civilisation doit son succès à la liberté, celle de penser, de parler, de chercher, de contredire, de se rebeller ou d’entreprendre. Chaque nouvelle contrainte, chaque impôt, chaque empêchement même légal (une loi, une règle, une norme toujours arbitraire par nature) fera toujours reculer nos libertés, nos succès futurs, notre croissance économique et nos emplois.

Le socialisme constitue la parfaite antithèse de la liberté, il représente l’interdiction, la division, le poids d’un immense Etat central et finalement d’une tyrannie qui bouffe toute l’énergie et la richesse d’une Nation et d’un peuple au profit d’une oligarchie politique. L’Europe ne vaut pas davantage, elle est l’incarnation caricaturale de ce pouvoir parasitaire et corrompu !

Hélas, parler de liberté ne sert à rien, autant pisser dans un violon pour espérer obtenir une jolie mélodie, ça ne marche pas, tout le monde s’en fout, les médias et les « politiques » aiment tellement le socialisme ou, par référence à l’Union européenne, sa version moderne, le capitalisme de connivence, qu’ils ont décidé, une fois pour toutes, de se boucher définitivement les oreilles. Le libéralisme, le vrai, n’existe plus, place au mensonge, à la dictature, à la décroissance et au désastre.

A force d’avoir les idées courtes, le monde libre s’écroule !!

Les politiques, toujours eux, nous parlent d’Etat stratège, en France AREVA, EDF, RENAULT et VALLOUREC sont des échecs, tu parles d’une stratégie, mais, ils en veulent toujours plus, évidemment pour faire n’importe quoi et placer les petits copains, c’est plus facile, de toute façon, comme nous disait « Hollande - Premier-Socialiste -de-France », « ça ne coûte rien, c’est l’Etat qui paie ». Quelle audace, quelle indécence et quelle ânerie (cliquer ici) !!!



Bref, assommé par tant de stupidités étatistes et pour que les choses soient claires, une fois pour toute, j’ai décidé de mettre en avant le fait que l’argent public n’existe pas et d’en faire aussi la démonstration dans le texte qui suit, il n’y a pas de trésor secret, de manne inépuisable dans laquelle l’Etat pourrait puiser à volonté et ad perpetuum, il n’y a que l’argent produit par l’activité humaine, celle d’un peuple qui aspire à la plus grande liberté, sur lequel l’Etat prélève sans compter pour satisfaire la soif de ses représentants de tous poils.

L’Etat est toujours une calamité quand il quitte ses fonctions régaliennes !

Evidemment, les rapaces qui nous gouvernent aiment le pognon, le fric, le flouze, même s’ils sont incapables de produire les richesses eux-mêmes, alors souvent ils piquent simplement dans la « caisse des autres » et c’est encore une fois la gauche qui détient le pompon, c’est historique, les plus grosses affaires de corruption ne sont-elles pas, toujours et partout, liées au socialisme, la gauche hurle sur le fric et sur les riches, mais elle se sert à pleines brassées, elle vit de l’argent volé et d’ailleurs elle ne sait faire que ça.

Au Venezuela, Chavez, le chéri de l’extrême gauche européenne, qui a déclaré dans le temps « qu’être riche c’est mal » a détourné des milliards, sa fille est actuellement la femme la plus riche du pays, elle serait à la tête d’une fortune estimée à 4.2 milliards de dollars, c’est pas mal pour une jeune femme issue d’un milieu très modeste, à côté d’elle le recordman des gains à « Euro Millions », un portugais qui a eu la chance d’empocher seul plus de 190 millions, est un véritable crève la faim !



On se souviendra aussi de cette affaire, le scandale SwissLeaks qui a défrayé la chronique récemment, il n’était question que de la fraude présumée de méchants commerçants, ces indépendants mauvais citoyens qui auraient mis leur petit bas de laine à l’étranger, bouhhhhhh les vilains, curieusement les médias traditionnels ne parlaient jamais d’hommes politiques ou des Etats, pourtant, ici encore, les plus gros abus, les plus gros détournements ont été le fait de mandataires publics, qui l’a dit ? Certains médias plus marginaux, les « classiques » l’ont bouclé, ou ils ne savaient pas (hahahahaha !) ou alors cela m’aura échappé (encore !).

Tdg.ch écrira : « Le régime marxiste (du Venezuela) avait aussi des comptes chez HSBC », il précisera : « Le Venezuela est le 3e pays, derrière la Suisse et la Grande-Bretagne, en ce qui concerne l’importance des montants déposés sur les comptes secrets HSBC, à savoir 14,8 milliards de dollars. Un comble pour l’un des derniers régimes marxistes de la planète! »

Qu’est devenu cet argent ? Personne n’en sait rien, quant à une autre figure de la « Révolution bolivarienne », Alejandro Andrade, un compagnon de Chavez,  qui fut d’abord son garde du corps pour terminer à la tête du Trésor public (ça ne s’invente pas), il aurait également ouvert des comptes chez HSBC. Selon « Letemps.ch » l’homme disposait de 11.9 milliards de dollars sur un seul compte, je n’ai pas vu un mot de ça dans notre bonne presse de gauche (toute la presse), zut, j’ai encore dû mal regarder.

Mais  Andrade n’a pas été inquiété, il vit actuellement très richement aux USA, en Floride dans le voisinage des super-blindés, on le soupçonne carrément de s’être servi directement sur les fonds du Trésor public, c’est vrai qu’il avait de la marge…Comme quoi, la gauche aime le fric, celui qu’elle vole à son pays et à son peuple. Cela n’empêchera pas Mélenchon de dire de Chavez :

« Chavez, c’est l’idéal inépuisable de l’espérance humaniste, de la révolution ».

Bel idéal, en effet !

Ensuite, économiquement, 15 années de socialisme auront totalement sinistré le pays qui est pourtant celui qui détient les plus grandes réserves de pétroles au monde (autre source ici). Le socialisme c’est véritablement l’art de transformer l’or en plomb, le caviar en merde et les gouvernants en dictateurs absolus, je le savais, en voici encore la preuve, mais bon…Certains en redemandent du socialisme, allez comprendre !



Yves Naudet expliquera sur « irefeurope » que la situation économique du Venezuela est typique des régimes socialistes :

  • Files d’attente,
  • Pénuries,
  • Destruction du commerce,
  • Restrictions de la liberté d’entreprendre,
  • Contrôles bureaucratiques,
  • Prix fixés arbitrairement par l’Etat,
  • Disparition des produits de base,
  • Développement du marché noir,
  • Corruption,
  • Criminalité,
  • Contrôle des changes,
  • Inflation ouverte (270 %),
  • Effondrement de l’offre pétrolière,
  • Récession  et recul du PIB,
  • Statistiques économiques non publiées,
  • Contrôle total de la banque centrale par le gouvernement,
  • Déficit budgétaire abyssal (25% du PIB) quand la rente pétrolière représente 96% des exportations et 25% du PIB,
  • Surendettement du pays,
  • Libertés économiques inexistantes (Venezuela est classé 175ème sur 178 pays),


Et Yves Naudet de conclure :

« C’est la conséquence des mesures socialistes d’étatisation mises en place et de la faiblesse de l’état de droit. La leçon de l’ex-URSS et des pays d’Europe Centrale et Orientale, comme d’autres en Asie ou ailleurs, et la souffrance de leurs populations n’ont donc pas suffi à ouvrir les yeux. Le Venezuela est désormais à la croisée des chemins, car les chavistes feront tout pour rester au pouvoir. Mais la leçon est claire, une fois de plus : le socialisme est un outil efficace de destruction économique, alors que la liberté est le moteur de la prospérité ». Je n’ai rien à ajouter, je l’ai suffisamment expliqué moi-même…

Si, une seule chose : Espèce de voleurs (pour avoir piqué dans la caisse) et bande de cons (pour leur gestion déplorable) !

Et pourtant malgré les échecs récurrents du socialisme, « un tiers des français souhaitaient abandonner le système capitaliste » en 2010, je ne suis pas certain que leur état d’esprit a beaucoup changé, ni celui des belges, des italiens, des grecs ou des espagnols, certains se sont même depuis jetés dans les bras de l’extrême gauche avec les succès que l’on sait, les gens ont peur du capitalisme et pourtant ils ne savent pas ce qu’il est, ils confondent capitalisme de connivence, la situation européenne, avec le libéralisme ou le vrai capitalisme.



Quand on évoque le « capitalisme », ils imaginent tout de suite les banques, ils ne voient qu’elles, tellement on matraque sur le sujet, or si le système financier est  important et permet aussi le développement des échanges, il vient seulement en aval du capitalisme de base, le commerce, celui qui crée réellement l’activité économique de départ.

Si je devais expliquer le capitalisme en quelques mots je prendrais cet exemple ci :

Edouard a un petit lopin de terre, il en a l’usage ou la propriété, il remarque que les citadins aiment les légumes, alors il cultive son jardin, il y met toute son énergie et ses quelques sous, ensuite il se rend au marché où il vend le produit de sa culture (l’Etat n’a rien à voir là-dedans, Edouard est un petit entrepreneur). Comme il est un bon gestionnaire (ce que l’Etat n’est presque jamais – sauf en Suisse ou à Singapour et en de rares endroits-), il en retire des bénéfices qui le feront vivre et lui permettront aussi d’accumuler un peu d’argent (accumulation de capital). Il investira cet argent dans son activité et, petit à petit, il deviendra un commerçant plus important, il empruntera alors de l’argent aux banques pour mieux se développer (ahhhh, les voilà !) et, s’il est habile, il s’étendra dans sa ville, ensuite dans son pays et peut-être même un jour à l’international.

Alors s’il persévère et que « l’Etat-voleur-par-nature » ne lui pique pas tous ses sous, il deviendra peut-être un nouvel Edouard Leclerc, c’est ce que je lui souhaite, voilà, le capitalisme c’est ça et ce n’est pas autre chose. Je suis certain que vous connaissez plein de capitalistes, ils sont autour de vous, ils tiennent les commerces en des « temps socialistes difficiles », ils méritent votre estime, ils font vivre le pays et puis regardez cette image, celle d’un père et de son fils, celle aussi d’une belle réussite apportée par le travail, le sacrifice, le courage, le savoir-faire et la ténacité. Quand je vois des gens comme ça, je les admire et je les félicite et tant mieux s’ils sont « pétés de tunes », ils l’ont bien mérité.

Voyons haut et loin et oublions le ressentiment, il détruit nos esprits et ruine le pays !



N’oubliez jamais…

« Les socialistes vivent de l’argent des uns et de la misère des autres »
,

C’est pour ça qu’ils cultivent les pauvres qu’ils entretiennent chichement ensuite avec l’argent qu’ils prélèvent de force à la population (l’argent public !), ils auraient pu planter des salades, il leur manquait seulement les compétences, le courage, la ténacité, le goût du travail et celui du sacrifice….Ils ne savent rien faire sinon lorgner sur la richesse des laborieux pour la voler au passage. Comme je nous plains !

Si les gens veulent abandonner le capitalisme, c’est principalement par ignorance, dans les facultés universitaires on n’apprend déjà pas les économistes libéraux, alors comment voudrions-nous que la population s’en sorte quand les médias ajoutent encore à ce manquement organisé la désinformation systématique et le matraquage des principes d’une économie gauchiste. Rappelez-vous, j’ai essayé moi-même de me faire inviter sur un plateau de télévision (une chaine publique…), j’avais des idées, des arguments et je me suis fait immédiatement jeter, sous de faux prétextes, par un médiateur de l’information (que venait-il foutre là ?) qui présentait plutôt toutes les qualités d’un commissaire politique soviétique. Il m’avait écrit : « le médiateur que je suis ne répond pas aux invectives ». C’est un comble, je n’avais insulté personne, où avait-il été chercher ça, sinon dans sa doctrine personnelle qui lui interdisait d’entendre un vrai libéral et alors d’invoquer n’importe quoi pour le virer ?

Le professeur Jean Louis Caccomo  écrivait en 2006 

« La plupart d’entre nous sommes suspendus à une opinion versatile et amnésique. Et sans un savoir validé par l'expérience, nous n'avons pas la moindre chance de faire confiance à nos décisions...et nous nous en remettons à une autorité supérieure pour décider de notre sort ».

Cette affirmation est encore d’actualité et confirme ce que je dis, « il faut connaitre pour s’engager ». Ceci m’avait d’ailleurs conduit à imprimer ce t-shirt, il y a un peu plus d’un an…



Comme le dira également le professeur Caccomo, « l’économie apparaît hermétique sinon incompréhensible pour le commun des mortels qui ne se doute pas à quel point l’économie façonne tous les jours son existence. Pour les experts, elle constitue un véritable champ de batailles idéologiques plutôt qu’un domaine de connaissances positives ». Tout est dit, les experts, les médias, les politiques se moquent de l’efficacité ou de la réalité, ils sont au service d’un dogme, le dogme socialiste ou socialiste-démocrate et pendant ce temps-là…L’Europe sombre, les échecs économiques s’accumulent, mais ils ne sont pas les seuls, le dogme gauchiste conduit aussi l’Europe à faire n’importe quoi dans de nombreux domaines, l’immigration, la formation et l’éducation. Bilan ; notre civilisation doucement s’efface !

Pour en revenir à ma jolie petite phrase, qui, hier encore, a mis de très mauvais humeur un fonctionnaire belge devant lequel je l’exprimais (il m’a pris pour un fou, alors que je le prenais secrètement pour un con !) : « L’argent public n’existe pas », je voudrais citer Margaret Thatcher, qui fut, elle aussi et en son temps, massacrée par toute la presse européenne, continentale surtout, parce qu’elle n’était tout simplement pas à gauche.



Voici comment elle s’exprimait :

  • L’Etat n’a aucune source d’argent sinon l’argent que les gens gagnent eux-mêmes,
  • L’argent public n’existe pas, il n’y a que l’argent des contribuables,
  • La prospérité ne viendra pas de l’invention de programmes de dépenses publiques,
  • Aucune Nation n’est jamais devenue plus prospère en taxant ses citoyens au-delà de leur capacité,
  • Chaque penny doit être dépensé de manière sage et bonne,
  • Les gens parlent de services gratuits, ce n’est pas gratuit, vous devez payer pour ça.


Les médias européens pourris jusqu’au plus profond de leurs entrailles adoraient Chavez, ils détestaient Thatcher, on voit le résultat, le premier a ruiné et pillé son pays, la seconde a brillamment redressé le sien sans détourner un seul penny pour finalement terminer sa vie modestement, peut-être même assez tristement. On a les héros qu’on peut, je méprise ces médias de gauche comme je méprise ces crapules de politicards de gauche (ou assimilés –MRS, UMPS, LRS-), d’extrême-gauche, qu’ils soient en Amérique du Sud, en Europe ou ailleurs, ces gens n’ont aucun sens moral,  aucun respect de leur mission sacrée, celle de servir les citoyens, ils ne pensent qu’à eux et, si en Europe, ils ont la main plus légère (pas sur les impôts), ils ne valent pas mieux que leurs lointains collègues, je ne connais pas de demi tyran, un petit tyran est un tyran !

La main plus légère ? Pas si sûr…. « Une enquête internationale relayée par Het Laatste Nieuws et De Morgen  rapporte que la corruption au sein de la fonction publique belge coûte, chaque année, quelque 4 milliards d'euros ».

Bon je retire ce que j’ai dit, ces salopards ont la main lourde, très lourde même, 4 milliards par an, sur 15 ans (pour prendre une période équivalente à celle du socialisme vénézuélien), ça fait tout de même 60 milliards. Qu’attend-on pour mettre tous ces porcs en prison et qu’on ne me dise pas que les politiques (qui tiennent tout en main) n’ont rien à voir là-dedans, la politique commande, les fonctionnaires obéissent !

Bande de salopards, il est temps qu’un grand vent frais balaie tout cette pourriture, chez nous aussi, je l’aspire de tous mes vœux, de toutes mes forces, de tout mon cœur !

Si les politiciens, de gauche surtout, aime piquer dans la caisse, ils adorent aussi balancer le fric par portes et fenêtres….Evidemment, c’est le blé des autres !



Soit, calmons-nous, bon, je le reconnais, c’est difficile devant tant d’échecs, tant de crapules et tant de profiteurs. Mais alors, qu’est-ce qui fonctionne en économie, c’est pourtant simple, je l’ai déjà expliqué cent fois !

Allez, je recommence !

Une politique économique efficace n’est pas qu’une question de point de vue ou d’idées, elle n’est pas une fois à gauche, l’autre fois à droite, elle se fiche de la politique, elle est basée sur des principes connus depuis des siècles que l’on n’applique pas pour des motifs idéologiques qui permettent principalement aux gouvernants des captations de pouvoir et d’argent illimitées.

La gauche a le droit d’avoir des idées, des idées stupides surtout, mais, la politique qu’elle préconise, une politique économique basée sur beaucoup d’impôts, un max de charges sur les salaires, de gros déficits publics, une dépense publique monstrueuse, la lutte des classes, l’ingérence de l’Etat partout, le manque de liberté, des contrôles permanents, abusifs et sur tout (les prix, les loyers…), la multiplication des postes politiques et des niveaux de pouvoir, des entreprises d’Etat, des lourdeurs administratives et j’en passe et des meilleures…au-delà d’être totalement injuste et complètement arbitraire, n’a jamais conduit qu’à la ruine des hommes et des  Nations, on vient de le voir avec le Venezuela, quant à l’Europe elle continue à plonger victime d’une politique économique gauchisante  !

Le drame c’est qu’en face de cette gauche doctrinaire et stupide soutenue par les médias, il n’y a personne, non que personne ne puisse défendre une « autre » politique, on n’invite simplement pas les libéraux sur les plateaux de télévision. Le bateau coule, nous devrions en changer et cesser de faire des réparations d’urgence qui n’arrête en rien ce processus de sabordage.



Ce qu’il faut c’est une politique dite de « l’offre » qui favorise l’investissement et l’initiative privée, c’est-à-dire tout l’inverse de ce qui est pratiqué depuis plus de 30 ans !  

Dans un autre texte je vous parlais de la croissance qui est issue de l’entrepreneuriat, du capital, du travail et de la recherche, il n’y a pas de place, dans cette formule, pour la demande chère à nos gauchistes et à tous nos « européistes bruxellois et strasbourgeois ».

  • Exit donc la politique dite de « la demande » qui est menée en Europe, elle conduit à l’échec, c’est prouvé !


J’ajouterai maintenant ce que le professeur Caccomo qualifiera d’une leçon d’économie pour les nuls, sans doute pensait-il à nos gouvernants, je ne lui donne pas tort évidemment.

Le revenu (Y) se divise entre la consommation (C) et l’épargne (S), ça parait évident. Dans le monde réel, celui qui est lourdement agrémenté d’impôts et de charges, on épargnera déjà moins que dans un « paradis fiscal » (ça c’est moi qui le dis).

Comme l’investissement (I) est égal à l’épargne (S), c’est logique, celui-ci sera tributaire des conditions dans lequel vit l’épargnant qui épargnera plus ou moins, selon ses conditions d’imposition, et qui filera aussi mettre son argent vers d’autres cieux plus cléments (moins imposés).

Or ce qui importe, ce n’est pas, la condition d’équilibre (nécessaire mais pas suffisante), l’égalité entre l’investissement et l’épargne, mais sa causalité. Qui génère quoi ?

Dans la pratique, il faut dégager de l’épargne pour pouvoir financer l’investissement, c’est précisément le rôle de la finance, celle qui est tellement décriée par nos dirigeants de tous les bords, à l’échelle nationale et européenne (de là aussi le terme : leçon d’économie pour les nuls !). On est mal parti !

Les tyrans politiques combattent les marchés, donc les libertés, pour ma part (et comme le professeur Caccomo) je préfère le marché aux tyrans, il est sans visage, sans parti-pris et il est JUSTE parce qu’il est le même pour tous sans dépendre de l’arbitraire politique imposé par quelques-uns.

Bref, toujours dans la pratique, l’investissement permettra de gagner en productivité, ce qui aura pour effet d’augmenter de façon spontanée les salaires, les biens seront moins rares (grâce à la productivité), moins chers et plus accessibles.

Résultat de ce processus d’investissement : Une envolée du pouvoir d’achat, ce qui prouve, encore une fois que l’envolée de la consommation n’est pas la cause de l’amélioration de la croissance mais sa conséquence.  

  • Exit donc, pour la seconde foi, la politique dite de « la demande » qui est menée en Europe, elle conduit à l’échec.



Le professeur Caccomo ajoutera :

« Plus on s’obstinera à relancer la consommation, sous prétexte que la consommation est le moteur de la croissance, plus on ira vers le surendettement, le chômage et la croissance ZERO »
, c’est ce que nous vivons en Europe ! (cliquer sur l’image pour voir le professeur dans une prestation efficace, toujours très personnelle)

On pourra l’écouter ici.

Conclusion : Il faut pratiquer une politique économique dite de l’offre, c’est clair !

Qui l’a fait, en tout ou en partie, sans que cette liste ne soit exhaustive évidemment ?

Il y a d’abord Singapour, j’en ai parlé ici, ensuite il y a la Suisse, l’Angleterre et l’Irlande, certains pays anciennement de « l’Est », dont la Slovaquie, la Russie, la Pologne qui avaient adopté la Flat tax avec succès pour, quelquefois, reculer ensuite pour des raisons politiciennes, et dégrader alors leur situation économique, j’en ai parlé ici . Tout ceci prouve que les bonnes recettes sont connues, mais la politique les évite pour creuser son propre sillon, celui de la captation généralisée à son principal profit, honte à eux !

La leçon magistrale de la Nouvelle Zélande !

Ensuite il y a cet exemple royal, que dis-je, impérial, extraordinaire, celui de la Nouvelle Zélande qui, il y a des années, avait réussi à réduire la place de l’État dans l’économie de façon spectaculaire, elle a obtenu un résultat époustouflant en réformant la fonction publique de fond en comble et en diminuant les impôts ?

Le constat de départ était simple, du milieu  du XIXe siècle aux années 1920-1930, les dépenses gouvernementales représentaient seulement 6 % du PNB environ dans la plupart des pays industrialisés. A partir des années cinquante, les dépenses publiques ont explosé, elles représentaient parfois jusqu’à 35 à 45 % du PNB, en Suède elles sont même allées jusqu’à représenter 65 %, ce qui a conduit à une quasi destruction de son économie (en Belgique les dépenses publiques représentent 55% du PIB, ce qui n’est pas fameux du tout).

La Nouvelle Zélande qui se classait pourtant au troisième rang mondial (derrière les USA et le Canada) pour le revenu national par habitant à la fin des années cinquante a soudain chuté au 27ème rang en 1984, elle avait rejoint le Portugal et la Turquie. Mais ce n’est pas tout, le taux de chômage avait atteint 11,6 % et le budget de l’État était en déficit continuel depuis 23 ans : il atteignait parfois 40 % du PNB. Splendide !



Du côté de la dette publique, ça n’allait pas mieux, elle s’était élevée à 65 % du PNB et la confiance accordée aux emprunts publics allait en se dégradant régulièrement. Les dépenses publiques représentaient plus de 44 % du PNB, les capitaux fuyaient le pays en masse, et l’État était omniprésent dans les moindres détails de la vie économique.

Pour arranger le tout, le contrôle des changes était draconien, celui des prix s’étendait à tous les biens et services et les rémunérations étaient soumises au contrôle des revenus, elles étaient parfois gelées.

Ce n’est pas fini, les importations étaient sévèrement contrôlées et des subventions énormes étaient versées aux entreprises industrielles pour leur permettre de survivre. Bilan ; c’était la bérézina et, dans ce contexte pas vraiment folichon, les jeunes en âge de travailler s’expatriaient en masse. Il y avait urgence…Un peu comme en Europe, sauf que chez nous, on ne fait rien !

Solution : Alléger l’État ?

En 1984, le nouveau gouvernement était confronté à trois types de problèmes :

  • trop de dépenses publiques,
  • trop d’impôts,
  • trop d’État.


Il fallait donc réduire les dépenses publiques, les impôts et diminuer le rôle de l’État dans l’économie du pays, le plus marrant dans l’histoire est qu’il s’agissait d’un gouvernement travailliste ! (à Singapour aussi les fondateurs de cet Etat libéral était « socialistes », sauf qu’ils n’ont pas appliqué les principes du socialisme doctrinaire européen).

« Les socialistes ne sont jamais aussi intelligents que lorsqu’ils cessent d’être socialistes ».
Du coup, comme à Singapour, les gouvernants ont serré les boulons, ils ont demandé à leurs administrations de justifier l’emploi des fonds publics mis à leur disposition et les fonctionnaires furent, quant à eux, recrutés, pour cinq ans, avec une obligation de résultats. Les dirigeants avaient complétement changé de braquet ! (Ce que nous ne faisons pas !)

Par ricochet, cette obligation de résultats a aussi atteint tous les niveaux d’une administration qui tournait alors plus efficacement, les agents recherchaient maintenant systématiquement la meilleure solution à tous les problèmes. Le principe n’était plus, par exemple, de nourrir de plus en plus de mal nourris ou de loger de plus en plus de mal logés, mais plutôt de veiller à ce qu’il y en ait de moins en moins. La vraie question à résoudre était celle de la dépendance des gens, il fallait les rendre autonomes, l’approche était complètement inversée, ils prenaient le problème en amont, plus en aval, quand il est trop tard. On appelle ça l’efficacité au service de la véritable justice sociale, celle qui diminue les pauvres !

Chez nous les socialistes et assimilés (tous les autres), les dirigeants de l’Etat-providence, créent les pauvres, de plus en plus, et ils prélèvent alors aussi de plus en plus d’impôts pour faire toujours plus de dépenses publiques. Ils nous entrainent dans le cercle NON-vertueux de la « pauvreté pour tous » et de la richesse pour quelques-uns…On appelle ça le socialisme des copains ou le capitalisme de connivence, ce qui correspond au profil de l’Europe prétendument turbo-libérale !



Réduire les impôts ?
Diminuer la fonction publique !

Il fallait restreindre le domaine d’intervention des administrations et se demander également qui devaient payer pour les services publics :

  • les contribuables ?
  • les usagers ?
  • les consommateurs ?
  • les entreprises ?


En effet, pourquoi obliger de payer (par les impôts) pour des services qu’on n’utilise pas ? La question me semble saine, logique et respectueuse des droits élémentaires de chacun !

Les néozélandais ont alors nettoyés les services publics.

A titre d’exemple,

  • le ministère des transports employait 5.600 personnes avant la reprise en mains des services, à la fin du processus, il n’en restait plus que 53.
  • L’agence des forêts est passée de 17.000 personnes à 17.
  • Le ministère de l’industrie employait 28.000 personnes, au bout du compte il ne restait plus qu’une seule personne, le ministre lui-même !


Pourtant les emplois n’avaient pas été détruits pour autant, les forestiers qui avaient été licenciés par le gouvernement gagnaient trois fois plus que ce qu’ils gagnaient auparavant et ils  avaient aussi réussi à augmenter leur productivité d’environ 60 % ! En outre, ce qui s’applique aux forestiers s’est vérifié dans tous les domaines d’activité, la réussite était totale, un véritable cas d’école !

Qui en parle en Europe ? Personne, les politiques surtout pas !

Voici la démonstration lumineuse que ce n’est à l’Etat de s’éparpiller dans tous les sens, il le fait toujours mal parce qu’il échappe simplement à la loi du marché et, en l’absence de concurrence, les coûts s’envolent littéralement et il n’y a pas d’objectifs à poursuivre, c’est alors la fuite en avant…des dépenses publiques.

Devant tant de succès, la Nouvelle Zélande a privatisé ;

  • les télécommunications,
  • les transports aériens,
  • les services d’irrigation,
  • les entreprises informatiques,
  • les imprimeries gouvernementales,
  • les compagnies d’assurances,
  • les banques,
  • les institutions financières,
  • les institutions de crédit immobilier,
  • les chemins de fer,
  • les transports routiers de personnes,
  • les hôtels,
  • les transports maritimes,
  • les firmes de conseils du monde agricole, etc.


Au total, le transfert au secteur privé de toutes ces activités s’est traduit par une augmentation de leur productivité et une baisse des prix de leurs produits ou services, CQFD.

Euhhhhhhhhhhh, il reste encore un socialiste parmi vous ?

Mais ce n’est pas tout, d’autres administrations étatiques pouvaient encore être gérées comme des entreprises privées : elles devraient alors être capables de faire des profits et de payer ensuite des impôts.

Dans cette idée, toutes les activités relatives au contrôle aérien ont alors été regroupées au sein d’une société de droit privé qui devait réaliser un taux de profit raisonnable par rapport aux capitaux investis, par ailleurs, cette entreprise ne devait plus attendre de nouveaux capitaux de la part de son actionnaire...l’Etat, elle devait mener sa vie comme une entreprise privée et se débrouiller seule.

35 agences gouvernementales ont subi le même sort, toutes ces agences coûtaient à l’État environ un milliard de dollars par an avant les modifications. Maintenant elles versent à l’État un milliard de dollars par an, en dividendes et impôts.

Résultat pour l’Etat ;

  • avant : perte d’un milliard
  • Après : bénéfice d’un milliard


N’est-ce pas magnifique ?

Question : j’ai eu le dernier socialiste où il en reste encore un parmi vous ?



Finalement, le bilan de toutes ces actions sera le suivant :

  • Les effectifs des administrations publiques ont été réduits de 66 %, (le poids de l’État sur la société civile fut allégé d’autant)
  • La part de l’État dans le PNB est tombée de 44 à 27 %.
  • Le budget de l’État est alors devenu excédentaire.


Les excédents budgétaires ont d’abord servi à éponger la dette de l’État ;

  • la dette publique est tombée de 63 % à 17 % du PNB.
  • Les excédents budgétaires non affectés au remboursement de la dette ont permis de réduire le poids de la fiscalité,
  • le taux de l’impôt sur le revenu a été réduit de moitié et un certain nombre de taxes annexes ont été supprimées.
  • Les recettes de l’État ont augmenté de 20 %.


Y-t-il un socialiste qui respire encore
, j’espère que non, ou alors il est très con ou très corrompu, ou les deux !

Encourager la créativité ?
Supprimer les subventions !

D’abord un exemple :

En 1984, les aides gouvernementales représentaient quelques 44 % des revenus des éleveurs de moutons en Nouvelle Zélande. Le principal débouché de cet élevage est la viande d’agneau. L’agneau se vendait 12,50 dollars la bête sur le marché mondial et l’État donnait en plus aux éleveurs le même montant, soit 12,50 dollars par bête.

Les néozélandais ont alors fait la seule chose à faire :

Toutes les aides gouvernementales aux éleveurs de moutons ont été supprimées.

Mis devant le fait les éleveurs se sont organisés, ils ont revu totalement leur modèle économique (toujours le marché détesté par les rouges sans cerveaux) et ils ont réussi, dans les années qui ont suivi, à vendre leur produit à 30 dollars au lieu des 12.5 initiaux. Ce chiffre a ensuite évolué, il est passé à 42 dollars, en 1994 il s’établissait à 74 dollars et vers 1999 il atteignait les 115 dollars.

Conclusion : les éleveurs de moutons ont revu leur modèle de production, ils sont allés à la recherche de nouveaux marchés, ils ont développé un produit de qualité et ils ont trouvé des clients qui acceptaient de payer plus cher leurs produits.

Bref, le capitalisme, le vrai, ça fonctionne, le collectivisme ça ne fonctionne pas du tout !

Dans les faits il n’y aura que 0.75 % des éleveurs de moutons qui auront jeté le gant après la libéralisation du marché, cela a contredit tous les alarmistes étatistes qui avaient prédit un véritable cataclysme (comme toujours) dans la profession. CQFD !

Last but not least : certains prévoyaient la disparition d’un grand nombre d’exploitations familiales au profit de « grosses entreprises capitalistes déshumanisées ». Ce fut le contraire ; les grosses exploitations ont reculé, et celles de type familial sont devenues plus nombreuses.



« Si les gens n’ont d’autre choix que de faire preuve de créativité et d’esprit d’innovation, ils trouveront par eux-mêmes des solutions ».

Que fait l’Europe ? Encore une fois le contraire, elle emmerde son monde avec la PAC qui coûte (à fonds perdus) 50 milliards d’euros par an aux contribuables, ce faisant elle fausse le marché, crée la misère, la corruption, la connivence, elle contrôle les prix et bilan de tout ça, personne n’est content, les producteurs agricoles dans tous les domaines sont pris à la gorge et le consommateur est bloqué sur les filières officielles, la grande distribution. Je comprends les politiciens de tous les bords qui vivent pour eux-mêmes de la captation de l’argent privé, ils voient leurs intérêts, ceux qu’on appelle, à tort, les intérêts de l’Europe (bande de salopards et bande d’ignorants, ça c’est pour les politicards), mais je ne comprends pas ces « producteurs libres » (non employés par l’Etat), en principe ce sont des indépendants, mais bordel qu’attendent-ils pour s’organiser, comme l’ont fait les néo-zélandais (et je crois les franc-comtois en France) pour vendre en direct, sur le plan national déjà, à l’international ensuite. Nous serions tous heureux d’acheter de la viande de porc en direct, qu’ont-ils à la brader à de grosses boîtes. L’Europe est tellement gangrenée par le socialisme que même certains indépendants ne savent plus ce qu’est la liberté, c’est effarant !
Redresser le niveau scolaire ?
Responsabiliser les enseignants !

En Nouvelle Zélande même le système éducatif était en complète déconfiture, l’économie c’est bien, l’éducation c’est mieux, du coup le système a été libéralisé :

  • 30 % des enfants scolarisés étaient en échec complet, principalement ceux en provenance de zones économiquement et socialement les plus défavorisées.
  • Depuis vingt ans, il avait été consacré toujours plus d’argent à l’éducation mais les résultats empiraient d’année en année.
  • En vingt ans, les sommes consacrées à l’éducation avaient doublé, avec des résultats plus mauvais qu’au départ.


Il fallait tout changer, encore !

Des consultants internationaux ont fait apparaître que 70 % des fonds consacrés à l’éducation nationale allaient au financement des services administratifs.

Evidemment, on n’apprend rien aux enfants en payant des services administratifs….

Alors,
 

  • tous les Conseils d’Education (« Boards of Education ») du pays ont été supprimés. A leur place, chaque école a été dotée d’un Conseil de Gestion (« Board of Trustees ») dont les membres étaient élus par les parents d’élèves de l’école,
  • les fonds alloués aux écoles par l’État seraient uniquement fonction du nombre d’élèves de l’établissement,
  • les parents obtenaient le droit le plus absolu du choix de l’école de leurs enfants. Ce nouveau système a été appliqué le même jour à 4.500 établissements.
  • Les écoles privées ont obtenu la possibilité de bénéficier des mêmes avantages financiers que les écoles publiques.
  • Les parents bénéficient ainsi d’un « bon scolaire » qui leur permettait d’avoir un plus grand choix en matière d’écoles pour leurs enfants.


Tout le monde prévoyait qu’il y aurait un véritable exode des écoles publiques vers les écoles privées, l’écart de niveau entre celles-ci et celles-là étant estimé entre 14 et 15 %. Cette crainte ne s’est pas concrétisée et, qui plus est, la différence de niveau a disparu rapidement.

Pourquoi ?

Les enseignants des écoles publiques ont réalisé tout d’un coup que, si leurs élèves partaient ailleurs, les financements qu’ils recevraient seraient réduits d’autant, les fonds alloués, et destinés entre autres à rémunérer les enseignants, dépendant du nombre d’élèves de l’établissement. Ils avaient pris conscience qu’ils risquaient leur emploi.



Avant la réforme, 85 % des élèves fréquentaient l’école publique, un an après, ce pourcentage ne s’était que peu réduit, il était passé à 84 % et trois ans plus tard, il était remonté à 87 % !

Avant la réforme, le niveau scolaire du pays était considéré comme inférieur à celui des pays comparables à la Nouvelle Zélande d’un pourcentage estimé à 14 ou 15 % ; à la fin du processus, le niveau scolaire était estimé supérieur à ces autres pays d’un pourcentage de l’ordre de 14 à 15 %.

Le libéralisme avait encore gagné. Y-a-il encore un socialiste dans la salle ? J’espère que non !

Assurer à l’État d’abondantes recettes fiscales ?
Diminuer le taux de l’impôt !

La compétition économique mondiale est un fait, le secteur public ne le comprend pas toujours, sans doute protège-t-il aussi ses intérêts. Il n’y a qu’une seule solution à cela :

« Faire de telle sorte que l’environnement institutionnel et culturel soit plus favorable au développement des entreprises chez soi, qu’ailleurs ».

Exemple : Dans le temps, la politique fiscale irlandaise, en matière d’impôt sur les sociétés surtout, avait été critiqué par l’Union européenne, les irlandais avait décidé de réduire cet impôt de 48 à 12 % et cela avait déplu à l’UE du fait aussi des délocalisations vers l’Irlande que cette mesure avait suscitées.

Les Irlandais ont refusé de suivre les pressions européennes, les européens parlant carrément de concurrence déloyale, je me demande en quoi cette concurrence était déloyale, les irlandais ne « vendaient pas un produit à perte », ils pondaient des mesures saines susceptibles de doper la croissance économique, ils y ont réussi. La seule réponse intelligente que les « autres » auraient pu apporter est plutôt de faire la même chose chez eux. A défaut de comprendre ou de savoir, que la croissance est « infinie », qu’elle est la conséquence directe de l’expression de la liberté dans un monde qui n’est pas écrasé de charges, d’impôts et de lourdeurs administratives, à défaut de comprendre également que les richesses se créent et ne sont pas une ressource finie qu’il faudrait partager entre les hommes et, finalement, à défaut de comprendre que nous avons tous à gagner de la vigueur de la santé de l’économie des pays voisins, ils devraient lire la théorie des échanges de Jean Baptiste Say, ce serait déjà un bon début ! Comprendront-ils ? J’en doute !

Le plus comique dans l’histoire, c’est que devant les hurlements européens qui gueulaient à la distorsion de concurrence, le Ministre des Finances irlandais a répondu qu’il était parfaitement d’accord avec cet argument : en effet, en Irlande, le taux d’impôt sur les sociétés était de 12 % alors que celui de l’impôt sur les revenus personnels était de 10 %. Du coup le Ministre a décidé que tout le monde ne paierait plus que 10% et l’Europe l’a eu dans l’os !

La Nouvelle Zélande a donc décidé qu’il n’y aurait que deux types d’impôts,
 

  • un impôt sur les revenus,
  • un impôt sur la consommation.


Les revenus élevés furent taxés uniformément à 33% alors que le taux d’impôt de la tranche supérieure était de 66 % auparavant.

Un taux uniforme de 19 % a été appliqué aux petits contribuables quand les tranches inférieures étaient auparavant taxées à 38 %.

Par ailleurs, une taxe uniforme sur la consommation de 10 % a été instaurée et tous les autres impôts furent supprimés : impôts sur les plus-values en capital, impôts sur le patrimoine, etc.

Bilan de ces mesures : les recettes ont augmenté de 20 % !



Merde le libéralisme a encore gagné et le socialisme a encore perdu !!! Pas de chance pour les cons !

Ce coup-ci, j’en suis certain, le dernier socialiste à me lire a compris, il est devenu libéral, si ce n’est pas le cas, il faut appeler les pompiers, il a besoin d’urgence de soins importants !

Faire respecter la réglementation ?
En réduire la complexité !

Pour qu’une règle soit respectée, il faut qu’elle juste et simple, il fallait tailler dans le lard de tous ces codes qui empestaient la vie des citoyens (ça, c’est moi qui le dis). Dans cette optique tous les codes ont été réécrits : le code des impôts, les lois relatives à l’agriculture, celles relatives à la sécurité et la santé…et en Europe aussi (du moins il faudrait le faire, ça c’est moi qui le dis)

Réformer l’État ?
Veiller à l’utilité de ses services !

Je ne donnerai ici qu’un seul exemple tant il est caricatural et me fait aussi penser à notre « bonne vieille Belgique ». L’administration néo-zélandaise voulait augmenter les taxes sur les permis de conduire, pourquoi ? Parce que le coût du renouvellement des permis était supérieur au produit de la taxe existante. En voilà « un motif qu’il est bon » !  Je plaisante, la vraie question était celle-ci : Pourquoi changer de permis ? Il s’est vite avéré que cela ne servait à rien, le permis de conduire est un  papelard qui atteste qu’on a le droit de conduire, il n’atteste nullement qu’on en ait les capacités (sauf à l’origine), alors pourquoi le changer ? Il fut alors décidé, en toute logique, de ne plus renouveler les permis inutilement, la solution retenue fut celle d’accorder au permis de conduire une validité jusqu’à ce que son titulaire atteigne l’âge de 74 ans, à partir de cet âge et pour conserver son permis il faut maintenant passer un examen médical tous les ans, du coup les taxes n’ont pas été augmentées et un département administratif entier a été supprimé !

En Belgique je viens de raquer pour un tout beau, tout nouveau permis, il m’en a coûté 20 euros, il est valable 10 ans, avant il était en carton  et n’avait pas de date limite, qu’on le modernise, soit, mais pourquoi une date-limite, nous y perdons tous, celui qui paie surtout !

L’efficacité est au cœur de toutes les entreprises humaines, l’Etat n’échappe pas à cette règle, il y a deux principes économiques de base que chacun devrait graver en lettres de feu dans son esprit :

« Il n’y a pas de repas gratuit et l’argent public n’existe pas », avis aux ignorants et aux étatistes de tous poils !

Ce n’est pas pour rien que la Nouvelle Zélande est l’un des pays les plus libres au monde du point de vue économique, la « Fondation Heritage » classe le pays au 3ème rang mondial en 2016, en quelques mots et en quelques chiffres, tout est dit !



« New Zealand’s modern and competitive economy benefits from a strong commitment to open-market policies that facilitate vibrant flows of trade and investment. Transparent and efficient regulations are applied evenly in most cases, encouraging dynamic entrepreneurial activity in the private sector. Financial markets, although relatively small, provide adequate access to financial resources »
.

Et la Belgique comment va-t-elle ? Très mal, merci !

La première chose que j’ai évidemment envie de faire c’est de regarder les chiffres avancés par la « Fondation Heritage » pour la Belgique et les comparer ensuite avec ceux de la Nouvelle Zélande, attention, ça va faire mal aux yeux, je vous préviens tout de suite !

Ce qui frappe tout de suite, c’est d’abord la place que nous occupons dans ce classement mondial, nous sommes 44ème  entourés de l’Espagne (pas fameux !), de la Barbade et de la Jordanie, tout un symbole !



Où ça coince également, c’est au niveau des dépenses de l’Etat et de la liberté fiscale, il est manifeste, au vu des chiffres, que le gouvernement belge balance l’argent par portes et fenêtres (1.1/10, je n’ai jamais eu une telle note dans mon bulletin !) et que la liberté fiscale est…restreinte, la Belgique n’obtient même pas la moyenne (4.42/10). Bref de ce côté-là, la Belgique est mofflée, elle est en seconde session, à mon avis elle ratera son année ! Bon, elle rate son année depuis….je cherche…30 ans ou peut-être plus et elle continue sur la même voie, ils ont la tête dure les politicards et vide aussi !

Je constate que « Le Peuple » parle de ce résultat ici, et c’est en français, les grands esprits se rencontrent !

Luc Rivet conclura son article par ces mots :

« La Belgique a tout faux! Ce gouvernement ne fait pas ce pour quoi il a été élu. Les nuages s’amoncellent pour la Wallonie particulièrement ».

Bravo, rien à ajouter, si, pardon, la Belgique c’est aussi 6 parlements (631 députés et sénateurs – à re-vérifier-), 6 gouvernements et « je-ne-sais-combien-de-ministres », ils étaient 67 en 2011, j’en avais compté 62 au début de mon activité d’écriture et je n’ai pas envie de perdre mon temps à les dénombrer aujourd’hui, cela doit être du même ordre, la politique garde ses mauvaises habitudes, elle multiplie les inutiles et quand elle ne les multiplie pas, elle en garde le même nombre !

Rappelons tout de même que Léopold 1er avait 5 ministres, les chiffres se sont véritablement emballés entre 1951 et 1993 comme l’atteste l’image suivante.



Il est évident que la Belgique ne s’engage pas sur la voie des réformes structurelles, Bart De Wever, celui que je perçois pourtant comme étant l’homme politique le plus libéral du pays, ne voit la possibilité d’économies que dans le budget de la sécurité sociale, où ça, il ne le dit pas ! Je rappelle tout de même que notre taux de dépenses publiques est de 55% de PIB etIl n’y a rien à faire, au fou !

Mais alors, comment ont fait les autres pays, tous ceux que j’ai cités, la Nouvelle Zélande en particulier, quand on veut on peut, évidemment quand on souhaite surtout ne rien changer et laisser les choses en l’état pour le plus grand bonheur des « profiteurs-du-système », on ne trouve jamais de solution et…les impôts pleuvent !

Je rappelle, pour l’avoir déjà publié ici que :

« La Belgique est le troisième pays le plus imposé au monde, ce n’est pas neuf et le gouvernement « ultra libéral » de Monseigneur Michel n’est pas près de changer ça, ça se saurait ! » 

« Selon 
Le Vif « un examen du budget de 2015 indique que les impôts ont encore augmenté par rapport à 2014, et ce dans une proportion plus importante que le PIB et que l'inflation. Il faut donc s'attendre pour 2015 à un taux encore plus élevé que l'an dernier ».

 Je constate toujours que le MR (des libéraux ? Mon œil !), par la voix de Denis Ducarme (encore un fils-de) rappelle son attachement à la taxe Tobin. Il veut la faire entrer en vigueur le plus rapidement possible. Ces imbéciles veulent « lutter contre la spéculation », comme l’extrême-droite ou l’extrême gauche, ils n’ont rien compris à l’économie ! Ces gens ne sont capables que d’inventer des taxes, c’est triste et c’est surtout lamentable, ils n’apprennent jamais rien et sont totalement incompétents, ce sont des « étatistes doctrinaires », à droite, comme à gauche !

Une autre idée géniale, elle vient d’un socialiste flamand, est celle de vouloir instaurer un péage urbain sur les tunnels bruxellois, histoire de nous gratter encore 325 millions d’euros par an, une paille ! Ces ânes sont incapables de gérer les problèmes avec ce qu’ils nous pompent déjà, et boum,  encore une taxe de plus, ça cessera quand ? Les cons ça ose tout, disait Audiard !

Dans nos pays, le problème de fond est représenté par les dépenses publiques et les prélèvements obligatoires qui ont explosés au fil du temps, comme je l’ai expliqué plus haut certains pays ont pris le taureau par les cornes, la Belgique ne l’a jamais fait et il n’en est jamais question non plus, on vient encore de le voir avec les dernières mesures prises ou à prendre. Qu’on ne me parle surtout du « TAX SHIFT », ce principe socialiste qui a pris d’un côté, ce qu’il donne de l’autre et qui ne règle en rien le problème des charges sociales qui restent démentielles en Belgique, c’est de la poudre aux yeux, les baisses de salaires resteront symboliques. La FEB (Fédération des entreprises belges) qui est une organisation patronale qui va plutôt dans le sens du consensus général écrira :

« Concrètement, il (le gouvernement) a prévu pour la réduction des coûts du travail dans le secteur privé un montant de 1,8 milliard EUR en 2016, passant à 2,9 milliards EUR en 2019 et 3,7 milliards EUR en 2020. Cela représentera en 2020 environ 3,5% de la masse salariale du secteur privé ».

Oui, vous avez bien vu, 3.5% de la masse salariale du privé, elle est où la révolution quand globalement on paie +/- 60% de charges sur les salaires brut, qui le dit ? Personne, jamais personne !



Puisque j’évoque les prélèvements obligatoires que jamais personne ne remet en cause et qui ne sont pas une fatalité (ils sont de l’ordre de 50% en Belgique et en France, pour 34% en Suisse, 25% aux USA et 14% à Singapour – je le dis de mémoire), voici comment ils ont évolué en France.

Avant la première guerre mondiale, le taux de prélèvements obligatoires fluctuait entre 11% et 15% du PIB, dans l’entre-deux guerres il a dépassé  les 30% pour retomber à 20% ensuite et revenir à 30% plus tard, entre 1953 et 1973, il ne s’écartera plus beaucoup d’une valeur de 35% et au milieu des années 70, il augmentera (à cause de la crise, déjà !!!) pour arriver à 45% en 1985, il restera à ce niveau jusqu’aujourd’hui.

Voilà, en 2013
, la France vice-championne du monde en matière de prélèvements obligatoires (45%), seul le Danemark fait pire (48.6%) et…la Belgique se situe en troisième position  avec un taux de 44.6%, ce qui n’est pas fameux pour nous non plus !

Que font nos dirigeants ? Ils se grattent les burnes, les dames je ne sais pas !

Nous l’avons vu, le socialisme, ça ne marche pas, Friedrich Hayek, prix Nobel d’économie en 1974, nous en exposait, en quelques minutes, les raisons, c’est à écouter ici !



Malgré toutes les évidences, celles que je décris très largement, et toutes les preuves matérielles de l’inefficacité totale des politiques économiques de gauche, que j’apporte également, tous les politiciens restent ancrés à ces pratiques ineptes, évidemment, plus il y a d’argent public (donc de l’argent privé détourné), plus ils se servent et plus aussi ils peuvent « acheter » leur « clientèle » en balançant du fric n’importe comment, on appelle ça le clientélisme, somme toute, leur attitude est assez logique !

Ce qui l’est moins, c’est que le public n’ait pas encore compris à quel point il se fait blouser et, ce qui l’est moins encore (l’info est toute fraîche, elle date du 10/02/2016), c’est qu’il existe encore, de nos jours, quatre-vingt économistes (majoritairement marqués à gauche évidemment, les autres n’ont pas voix au chapitre) qui réclament finalement moins de marché et plus d’Etat pour sortir de la crise. Pourtant, si les faits sont contre eux, l’histoire l’est aussi, comme quoi le dogme rend aveugle et complètement sot !

Voilà donc ces économistes qui appellent, dans une tribune publiée sur « Mediapart » et dans « Le Monde », à un changement de politique en France.

Que disent-ils ?

  • Que les politiques libérales de  réduction des dépenses publiques et de « démantèlement » du droit du travail sont vouées à l’échec (on vient de voir le contraire, en Nouvelle Zélande notamment).
  • Ils plaident en faveur d’un plan de sortie de crise (encore un plan !) construit autour de trois volets: un pacte productif écologique et social, un programme de soutien à l'activité et à l'emploi, et une remise en cause des règles européennes (que de pactes, de programmes et de « machins » étatiques).


Sont-ils devenus fous ?
Oui, je le pense sincèrement !

Il faut préciser aussi que «Le Monde » et « Mediapart » sont deux médias marqués à gauche, auraient-ils donné la même publicité à une requête qui demanderait « moins d’Etat et plus de marché » signée par tous les économistes libéraux français ? J’en doute fort !

Dogme quand tu nous tiens !

Bref, tout le monde, enfin le monde politique et « celui qu’on écoute », est à gauche en Europe, il semblerait qu’il n’y ait rien à y faire, c’est triste, mais c’est surtout affligeant !

Alors, pas étonnant que devant tant de bons conseils, « l’Europe socialiste-démocrate des politicards opportunistes » s’entête à conduire une politique économique absurde.

Pourquoi se gêneraient-ils ? Et puis, nos aimables politiciens sont aussi juges et parties, alors, quand d’estimables économistes les poussent dans la voie qu’ils souhaitent, ils y vont, à fond les manettes, c’est trop facile !

Dans ce contexte on ne sera pas étonné non plus que les citoyens de l’Union européenne sont convaincus que leurs hommes politiques soient corrompus et ce sentiment s'ancre de plus en plus dans les esprits. N’ai-je pas écrit plus haut que la corruption avait été chiffrée à 4 milliards par an en Belgique, ceci prouve le bienfondé de notre conviction. Pensez-vous que ces politicards de mes bottes soient gênés ? Ils ne le sont pas du tout, en tous les cas rien ne l’indique, ils plastronnent toujours haut et fort en voulant donner des leçons de déontologie et de bonne gestion à tout le monde, c’est un comble !

Je disais des politiciens socialistes vénézuéliens qui avaient piqué des milliards dans la caisse et qui avaient conjointement conduit leur pays à la ruine que c’était des voleurs et des cons, que dire d’autre, ils ont planté le pays, alors qu’on connait les recettes du succès économique depuis des siècles, ce sont donc bien des cons et ils ont volé dans la caisse, ce sont donc bien des voleurs ! Je sais, on ne peut plus dire la vérité quand cela concerne nos dirigeants, pourquoi, pourtant « ils le valent bien » !

Mais que dire des belges alors, ceux qui piquent dans la caisse et conduisent aussi le pays à la ruine avec le sourire, la même chose, ce sont des voleurs et des idiots, il y a un an ou deux j’avais fait imprimer ce T-shirt, le revoilà, il est d’actualité :


Pour terminer je vous livre le commentaire récent d’un « ami facebookien » à propos d’un éminent membre du MR (les libéraux francophones belges), j’ai retiré les noms, ils importent peu, seul le principe compte :

 « J'ai écouté l'interview de xxxxxx sur la RTBF ce soir. Il n'est pas méchant, ce n'est pas ça. Mais ce n'est plus qu'un animal politique, à la langue de bois bien affûtée, défendant l'indéfendable, étatiste jusqu'au bout des ongles, à des kilomètres des idées libérales, malgré qu'il s'en défende. Et c'est ce qu'il y a de plus angoissant chez ces membres haut placés du MR : ils n'ont plus aucune idée de ce que c'est que le libéralisme... Seul le score électoral compte, avec la lutte pour le pouvoir, quitte à marcher sur ce qui devrait être leurs principes de base. Des socialistes, quoi ! On n'est pas sauvé... »

Ben voilà, tout est très bien dit et ça ne changera JAMAIS, à moins de les foutre tous dehors et de les remplacer par des gens comme nous, des gens qui viennent du réel, celui du travail et de l'entreprise, qui ont un peu de bouteille et, et, et, qui ont aussi une carrière DERRIÈRE eux. Eux c'est tout le contraire, ils viennent faire carrière en politique alors, ça marche pour eux, pas pour nous, c'est ce que je me tue à expliquer en long, en large et en travers dans mes textes et analyses. Avec eux; NO SOLUTION, NEVER !

Je n’ai pas changé d’avis, qu’ils dégagent fissa!