Le 6 novembre dernier l’Amérique, la plus grande et la plus belle démocratie du monde s’est éteinte subitement, il nous restera l’amérique d’Obama (avec un petit a, c’est voulu), un pays qui tourne le dos à ses pères fondateurs et aux libertés individuelles voulues et profondément inscrites dans la Constitution américaine et dans la Déclaration d’indépendance.
J’avais voulu croire en la victoire de Romney et j’avais écrit ceci dernièrement : « Je crois solidement en la victoire de Romney mais j’y crois seulement si l’esprit pionnier de l’Amérique et les valeurs fondatrices de la Déclaration d’indépendance américaine reprenaient le dessus sur les non-valeurs constructivistes et dogmatiques entretenues par la gauche américaine et soutenues par l’Europe. Si cet esprit pionnier était resté majoritaire dans la conscience du Peuple américain (ce que je crois), alors Romney gagnera, sinon il perdra et la chute de notre civilisation s’accentuera jusqu’à l’effondrement total. Je ne veux pas y croire et je ne peux plus y croire ! » Article
Hélas, j’ai eu raison (à moitié !), il s’est avéré qu’un peu plus de 50% des américains ne croyaient plus dans les valeurs profondes de l’Amérique et Romney a perdu, le monde libre a perdu, les libertés ont perdu, la connaissance a perdu, l’exceptionnalisme humain a perdu, ils ont cédé la place à l’imbécilité, à l’ignorance et à la barbarie. Il n’y a que les idiots et les béotiens pour se réjouir, d’ailleurs ils font la fête, la fête des australopithèques du 21em siècle au crâne vide et à la mémoire effacée, je n’y étais pas et je ne voulais surtout pas en être !
C’est un véritable désastre et c’est évidemment très grave !
Il apparaît maintenant que même aux USA, une grande partie de la population veut vivre aux crochets « des autres » ou être entretenue par l’Etat, cette partie-là du pays se souciant fort peu de « qui sont les autres » ou de « comment pourrait bien faire l’Etat pour financer des inactifs toujours plus nombreux ». A eux les sous, le boulot, c’est pas leur problème !
Cette partie de la population revendique des droits, uniquement des droits, elle rejette les obligations sur les autres !
Voilà le modèle social-démocrate européen finalement adopté outre atlantique, il risque de leur coller à la peau pour longtemps, il suffit simplement de s’attarder sur le sort de notre vieille Europe pour voir le résultat ; déficits publics, endettement des Etats faramineux, chômage, découragement des entrepreneurs, impôts et charges toujours en hausse et structures publiques envahissantes, nombreuses, lourdes et inefficaces. En somme le bonheur et l’efficacité au service du citoyen !
Les médias « conservateurs » US ont sans doute leur responsabilité dans cet échec, ils ont renoncé à occuper le terrain et à défendre leurs opinions, les intellos « de droite » aussi, tous ont vraisemblablement baissé la garde, mais le même manque de stratégie existe chez nous depuis longtemps. J’ai une formule pour ça : « L’usure de nos démocraties qui, comme les piles Wonder, ne s’usent que lorsqu’on s’en sert (souvenez-vous de la pub) »
Nos démocraties sont usées, pourquoi ?
Parce qu’elles ont toujours divisé de plus en plus les populations, elles ont créé de nombreux antagonismes, elles les ont entretenus (en clamant le contraire), elles ont nivelé par le bas, toujours plus bas, elles ont pratiqué la démagogie permanente (demain on rase gratis), elles ont accru et entretenu les pauvres, les dépendants, les assistés, elles ont découragé les initiatives privées en taxant à tort et à travers les plus performants ou les créateurs d’emplois au nom d’une justice sociale arbitraire et préétablie, elles ont asphyxié l’économie libre et l’initiative privée, elles ont abdiqué devant la tyrannie, elles ont rejeté notre civilisation au nom d’une culpabilité inventée, elles ont multiplié les niveaux de pouvoir en créant pléthore de structures (dont l’Europe) pour placer les petits copains, finalement si elles n’ont peut être pas créé les dogmes ou les utopies, elles les ont imposés aux peuples. Les médias gauchistes ou gauchisants largement dominants ont été les complices de cette manœuvre décadente, les idées salutaires étaient et sont bannies de toutes les tribunes, tous ceux qui ne pensaient pas ou ne pensent pas comme eux étaient et sont taxés d’extrémistes, de fascistes (cfr l’idiot utile plus bas qui voit un facho en Romney), ensuite les plus performants ont perdu, eux aussi, le goût de l’effort, tous ont suivi le vent et, par facilité ou pour ne pas se prendre de maux de tête, ils finissent par répéter sans cesse et en boucle ce que les médias imbéciles veulent bien leur raconter. Il n’y a plus de pensée, plus de réflexion, plus d’intelligence, l’individu est mort, il ne reste qu’une société molle, irresponsable et stupide qui, à force de vouloir représenter tout le monde ne représente plus personne. L’Europe était dans le néant depuis longtemps, l’enseignement jusque dans les universités a aussi lâché prise, l’amérique (d’Obama) nous a rejoint maintenant au fond du trou, merci à toi Obama et merci aussi à tous tes conseillers d’extrême gauche qui t’ont guidé vers la catastrophe annoncée. Pour ma part, j’attendais une Amérique forte, solidaire (eh oui !) et intelligente, celle de Romney qui justement devait nous sortir du trou. L’Histoire des minus en marche en aura voulu autrement, résultat ; Nous pourrirons ensemble au fond du puit de la déchéance !
Beau résultat, il est vrai, j’en suis triste et fâché, ne sachant pas très bien si je suis plus triste que fâché. Le pire est arrivé à l’Amérique, les dirigeants européens sont satisfaits, c’est normal ce sont des gnomes, des ignorants et des apparatchiks dignes de l’ancienne URSS (voir Boukovski).
Le drame; la connaissance isole celui qui réfléchit quand les autres ont décidé de ne plus réfléchir et de se laisser dominer par l’utopie en marche.
Le pire, on nous prend pour des extrémistes, nous, qui nous nous opposons justement aux extrémismes, c’est le monde à l’envers et la culture du mensonge, une fois encore j’en suis triste, mais je resterai déterminé.
La chute de l’Amérique est le nouveau signal de notre décadence, pas de la nôtre, notre décadence personnelle, mais celle de notre civilisation qui file à l'égoût dans la joie et avec le sourire de tous les abrutis.
J’en reviens à l’idiot utile (donc inutile !) de service, cité plus haut et rencontré par hasard, qui, après la réélection d’Obama Ier, me confiait le fruit de toute sa pensée (sa non-pensée, devrais-je dire, puisque cet état d’âme irréfléchi relève plus d’un psittacisme, reflet du chant monocorde des médias, que de la réflexion pure !) : « Romney est un fasciste, on peut être libéral sans être ultra libéral, ce qui me dérange le plus, c’est son manque d’intelligence. C’est un mongolien, de plus il n’a aucun courage ! ». Voici une pensée profonde tellement caricaturale et tellement crétine qu’elle n’appelle aucun commentaire, aucune réponse de ma part. Pour ceux qui connaitraient mal Romney, voici qui il est, tout le contraire, un type brillant et soucieux d’autrui DreuZ
Le perroquet que je cite plus haut pourra toujours prétendre que les sources sont fausses et que Romney reste un idiot, ce n’est pas grave, je me suis accoutumé à lire et à entendre des âneries monumentales, elles glisseront, une fois encore et avec aisance, sur mon cuir durci par des années d’existence.
La gauche au pouvoir a, partout, choisi le verbe plutôt que l’action, elle décrète, elle clame, elle hurle presque qu’elle veut encourager la croissance, l’emploi, l’esprit d’entreprise, les exportations et tout ce qui est profitable à l’économie, elle fait même dans le solennel, avec les mines sévères d’usage, mais elle y va de la voix, uniquement de la voix parce qu’elle prend toujours toutes les mesures contraires au résultat demandé. Ce comportement inepte m’inspire l’adage suivant : « En politique, il suffit de dire et de marcher à l’unisson, peu importe le résultat, au pouvoir les mêmes cornichons toujours on trouvera ! »
Non seulement c’est navrant, mais c’est surtout choquant, très choquant parce que cette comédie politicienne coûte très cher au peuple qui doit tout accepter et éternellement supporter cette même bande de corniauds dans nos gouvernements. Les grecs en ont largement assez d’ailleurs, la dernière fois que je les ai vus, ils étaient dans la rue et ils étaient très fâchés, vraiment très fâchés!
Nous nageons en plein cauchemar, dans le culte de l’ignorance et de l’oubli, au nom de non-valeurs qui sont élevées au rang de valeurs éternelles. On me dit aussi qu’il faut évoluer, évoluer vers quoi, on se le demande, parce que moi, je ne vois que l’idiotie, la réécriture de l’histoire, la haine des juifs et de l’Occident, le rejet de l’intelligence et du mérite, bref tout part en couille (sorry pour le mot) quand les analphabètes (économiques surtout) se réjouissent béatement.
Or, si personne ne bosse, n’étudie, ne se pousse en avant dans la recherche de la perfection, de la connaissance ou la progression de la science, des technologies, de tout ce qui a fait et fera le monde d’hier et de demain, ils vivront comment et de quoi tous ces martyrs gauchisants qui vomissent notre civilisation libre et nécessairement libérale. Tout est bon pour critiquer les valeurs qui ont fait l’Amérique et aussi l’Europe, à une certaine époque, mais, il faut vivre avec son temps, me dira le Troll de service, et donc (je suppose !) s’adapter aux ignares et aux nouveaux barbares, cons et fiers de l’être, qui composent cette nouvelle société. Il paraît que c’est le progrès, permettez moi d’en douter. D’ailleurs et cela ne date pas d’hier, les forces de gauches se sont, jadis, autoproclamées « progressistes », comme si nécessairement être contre le capital, la libre entreprise et la liberté était un progrès en soi. Les médias serviles ont toujours laissé dire, c’est normal et c’est, encore une fois, la preuve de leur immense parti-pris et de leur manque total de jugement et d’honnêteté intellectuelle !
Au diable donc la récompense de la performance, de l’effort et du travail. Pourtant, il me semble tout de même que les sportifs sont jugés sur leur performance, Si Usain Bolt est le meilleur au 100 m, ce n’est pas parce qu’il l’aurait décrété un jour en se levant (comme un politicard qui dit mais ne fait pas !), c’est parce qu’il l’a fait, tout simplement.
Les entrepreneurs sont confrontés au marché et à la concurrence, ils doivent être performants aussi, sous peine d’échec, pour eux-mêmes et pour les personnes qu’ils emploient (adieu l’emploi !). Est-ce qu’un socialiste peut comprendre ça, non il ne le peut pas, puisqu’il fait tout pour casser l’économie et la réussite sociale des uns sensée entraîner les autres.
Mais…nous savons tous que le monde politique est le rendez-vous du copinage, le lieu où placer ceux qui ne trouvent pas de jobs ailleurs et enfin le débouché des fils à papas politiciens. La formation, l’intelligence et la compétence n’ont rien à voir là-dedans. Ceci explique cela, le RV des nullards, nos gouvernements en sont partout de superbes illustrations.
Je ne le dirai jamais assez non plus, la Liberté économique crée la richesse économique, le socialisme la détruit tandis que la force et la rigueur seront toujours nécessaires à combattre les extrémismes. On ne combat pas l’islamisme à « fleuret moucheté », l’arme des faibles et des capitulards.
Une question subsiste : Où va l’Europe, vers l’explosion bien sûr, et l’euro, il prend la même route !
Revenons-en à Obama.
Dans mon dernier texte j’avais brièvement évoqué le désastre Obama, renvoyant aussi le lecteur aux textes et livre de Guy Millière sur le sujet. Je ne vais pas y revenir ici, mais un livre de Mélanie Phillips, journaliste et auteur britannique, mérite tout de même un petit détour. Il s’agit de : « America goes into the darkness », moi qui parlait justement du retour vers les ténèbres de l’Occident, je vais m’y attarder.
Que nous dit donc cette brave dame :
Les médias ne sont plus objectifs, mais partisans corrompus d’Obama. Ils ont impitoyablement censuré la vérité au sujet d’Obama pendant qu’ils colportaient la propagande de diabolisation de son adversaire Romney. Avec Obama et quatre années de plus à la Maison Blanche, l’Iran aura sa bombe atomique génocidaire dirigée contre les juifs et l’Occident. La troisième guerre mondiale n’aura jamais été aussi proche…
Obama se concentrera sur la politique étrangère, nous devrions tous frissonner. Jusqu’ici, il a autorisé l’Iran à déstabiliser la région, appuyé les islamistes en Egypte, en Libye et en Syrie. Il a refusé de venir en aide aux américains qui étaient attaqués par al qaeda à Benghazi avec pour résultats l’assassinat de quatre fonctionnaires US.
Selon un rapport du mois dernier Obama aurait repris secrètement les négociations avec le régime iranien par le biais de sa conseillère et amie Valérie Jarrett. Pour qui ne le saurait pas, Jarrett, qu’Obama consulte chaque fois qu’il doit prendre une décision, est un personnage controversé, d’extrême gauche, né en Iran de parents américains. Elle est aussi la personne la plus influente de son entourage. Elle aurait aussi été opposée à l’élimination de Ben Laden. Dans ce contexte, il est à craindre que loin de prévenir le terrorisme nucléaire iranien, Obama ait l’intention de permettre aux iraniens de sauver la face au moyen d’un compromis sous le couvert duquel l’Iran achèvera la construction de son arme nucléaire.
Il y a quatre ans, l’Amérique a mis à la Maison Blanche, un personnage narcissique ayant des liens étroits avec des voyous, l’extrême-gauche, le Black Power, des anti-juifs et ceux qui étaient opposés à la politique de l’Ouest. Obama décrit lui-même son mentor, l’agitateur communiste Frank Marshall Davis comme étant un promoteur du Black power. En 1995 Obama s’est rendu à la « Million Man March » organisée par l’activiste du Black power et antisémite radical Louis Farrakhan. Obama a appartenu pendant 20 ans à une église dont le pasteur, Jeremiah Wright, colportait des théories conspirationnistes antisémites et dénonçait l’assimilation des Noirs dans la société blanche.
L’agenda d’Obama est clair comme le cristal depuis le début. Il veut augmenter le pouvoir de l’Etat sur les citoyens chez eux (aux USA) et neutraliser le pouvoir de l’Amérique à l’étranger (il démolit l’Amérique, note d’ATB). Encore quatre années à ce régime et il aura réussi, l’impact sur la sécurité de l’occident pourrait être cataclysmique.
Les anglais et les européens aiment Obama parce qu’ils imaginent qu’il va mettre à mal l’exceptionnalisme américain et réduire le pays à l’ombre de ce qu’il était. Ce qu’ils ne réalisent pas, c’est leur propre dégringolade annoncée.
Source ici
Vous voilà avertis, si vous ne le saviez pas encore, de l’homme « d’exception » qui habite à la Maison Blanche. Je vois en cet homme toutes les raisons de m’inquiéter, je n’en vois vraiment aucune de me réjouir. Ce type est non seulement un désastre, mais c’est aussi un réel danger pour le monde libre, mes doigts en sont usés de taper ces mots sur un clavier. Ma pipe, ma canne et mon chapeau que Di Rupo Ier se réjouit du résultat de l’élection américaine, je ne vais même pas voir ce qu’il en dit, tant je suis certain du résultat.
S’ils vous restent des libertés, comptez-les, elles ne vont pas tarder à s’envoler. Un ami m’a envoyé un commentaire suite à l’échec de Romney. C’est un jeune homme qui termine un Master en économie (ULB) et qui voulait s’envoler pour les USA ensuite en passant par Harvard. Voici ce qu’il me dit : Mon grand père a rêvé de l'Amérique, mon père a rêvé de l'Amérique et j'aimerais encore rêver de l'Amérique, mais Obama est en train de détruire le rêve américain. Et comme le disait hier Grumberg et aujourd'hui Guy, la transformation de la société américaine la mènera à son déclin. L'Amérique où le courage et l'intelligence sont récompensés semble désormais être une idée du passé, je ne sais même plus si j'ai envie de m'y rendre si des gens comme Obama la dirigent.
Que faire ? Où est le monde meilleur ? »
Le texte auquel se réfère ce commentaire un peu triste (mais réaliste), est un texte de Guy Millière que voici
Je vais terminer par une anecdote, j’aime bien les anecdotes.
Souvenez-vous, en début d’année, j’avais été contacté par une réalisatrice de la RTBF (appelons la MATA HARI pour la suite de mon texte, par ailleurs, je ne mets absolument pas la RTBF en cause, il faut que cela soit clair !) qui voulait faire une émission sur moi. Elle avait vu mon site par hasard et se disait très intéressée, elle voulait me rencontrer rapidement. Je l’ai vue à 2 ou 3 reprises pendant 2 à 4 heures chaque fois. J’étais même accompagné par l’un de mes meilleurs amis lors d’une de ces réunions, toutes au demeurant fort sympathiques. Elle voulait faire une émission type reportage filmé, sans interview et sans écrire d’article. Je ne voyais pas très bien comment entrer dans ce format, mais, soit, pourquoi ne pas y réfléchir !
Pourtant, si ce n’était pas pour écrire un texte ou un article, je n’ai pas compris pourquoi elle avait pris tant de notes lors de notre première entrevue (elle en a gribouillé des pages entières). Je m’en suis ouvert à elle et, sa réponse, que j’ai oubliée, ne m’a pas convaincu du tout. Pour moi, elle venait aux renseignements, pourquoi, je n’en sais rien, pour qui, je ne le sais pas davantage.
Par ailleurs, je crois vous avoir également confié qu’un anonyme (appelons le Gorge profonde) m’avait prévenu, quelques mois avant la prise de contact par Mata Hari que j’avais été mis sur écoute. Vrai, faux, je n’en sais encore rien (comment le pourrais-je) et je m’en fiche, je n’ai rien à cacher, il ne sert à rien de m’espionner, il suffit de demander. Où cela se corse, c’est que lorsque j’ai reçu cette invitation de la part de Mata Hari qui prétendait être tombé sur mon site « par hasard » (pourquoi pas, mais, à l’époque mon site était très confidentiel et, tomber dessus par hasard me semblait possible mais peu crédible), J’en ai parlé au téléphone à 3 personnes seulement. Ce sont tous des amis proches, il faut le préciser. Nous nous interrogions uniquement sur la possibilité qu’en effet, ce contact était bien dû au simple hasard d’une visite fortuite sur mon site. Nous en avions conclu, tous les quatre, que Mata Hari me cachait quelque chose.
Bref, nous pensions, à l’unanimité et, cela n’engage que nous, qu’« on » venait aux infos (qui ?) au travers de Mata Hari. Or, fait troublant, pendant l’une de ces conversations j’ai reçu un curieux email de Gorge profonde qui me précisait simplement ces mots là : « Pas par hasard ». Etonnant non !!!
Soit « on » m’écoutait réellement et Gorge profonde voulait me prévenir (les amitiés insolites existent) de deux choses, la première ; que j’étais toujours écouté, il utilisait mes propres mots, la seconde ; que cette prise de contact par Mata Hari n’était pas le fruit du hasard.
Soit, c’était l’un de mes 3 amis qui me faisait une blague (il faut bien évoquer toutes les possibilités, ils étaient les seuls au courant de cette affaire). Evidemment mes trois amis m’ont juré sur les Saints-Evangiles qu’ils n’y étaient pour rien. Donc, si ce n’est pas eux, il faut bien que ce soit quelqu’un d’autre (je ne crois pas à la main du Saint-Esprit). De qui provenait l’info, d’un « service » qui m’écoutait ?
Je n’en sais rien, mais le fait est là et il a laissé des traces dans mes emails, preuve que je n’invente rien !
Le plus marrant c’est que lors de notre première rencontre et, après plusieurs heures de conversations et de prises de notes par Mata Hari, je lui ai mis le mail suspicieux sous le nez en lui demandant platement si elle n’était pas un sous-marin envoyé par la Sûreté d’Etat. Elle a nié, fortement nié, mais elle a aussi pâli, fortement pâli…Certes, pâlir n’est pas une preuve (c’était très rigolo), mais comme me disait mon père, vos gestes et vos actes vous suivent…Ne pouvant rien faire, je me suis alors dit que j’allais attendre parce que le temps qui passe apporte quelquefois, tout seul, les réponses.
Quid alors ?
Et bien, il n’y a jamais eu d’émissions, (elle m’avait dit que c’était une idée, sans plus, avec peu de chance d’aboutir), il n’y a jamais eu aucune suite à ces nombreuses et longues entrevues, aucune proposition, aucune réflexion utile à la poursuite de mon projet, au contraire de cela, il n’y a eu que le vide et l’oubli…Mais alors, où est la logique dans cette démarche et devant tout ce temps perdu, parce que, moi non plus, je ne crois pas à un hasard de cette sorte ?
Question numéro un ; pourquoi avoir pris des pages de notes sur moi pendant quatre heures, si ce n’est pour rendre compte. Question numéro deux ; si j’étais si intéressant pourquoi avoir coupé les ponts depuis presque un an, comme si j’étais un pestiféré et pourquoi aussi, question numéro trois ; quand récemment je lui ai téléphoné en lui demandant si elle n’avait pas des idées pour me faire participer à des émissions ou pour me faire connaître…elle m’a dit ne rien pouvoir faire pour moi, vraiment rien faire pour moi. Bizarre…Je me trompe ou elle travaille dans l’un des plus grands médias belges ?
Elle est pourtant en contact avec le monde de l’information, c’est son métier, mais elle ne peut strictement rien faire. Allez dire ça à un cheval de bois et il vous collera une ruade !
Moi qui suit un type simple, je pense ceci ; un boucher vend de la viande, quand on lui en demande, il vous la vend, un marchand de vins vend…du vin et quand on lui demande quelques bouteilles, il les fournit, un marchand de glace vend de la glace et quand on lui demande 3 boules vanille dans un cornet, il les fournit aussi…Mais il faut croire qu’une réalisatrice de TV de l’un des plus grands médias du pays qui s’intéresse à vous, qui vient elle-même vous chercher (je ne lui ai rien demandé !) pour vous interviewer pendant des heures réparties sur plusieurs jours ne pourra rien faire pour vous dans le cadre strict de son métier. A mon avis elle me prend pour un con, c’est son droit !
Si cela vous intéresse, et pour illustrer mon anecdote, voici le premier mail que j’ai reçu d’elle :
« Bonsoir,
Je suis réalisatrice à la RTBF et je suis tombée par hasard sur votre site
qui m'a beaucoup intéressée.
J'aimerais beaucoup vous rencontrer pour discuter avec vous d'un éventuel
projet de reportage.
Voici mes coordonnées : xxxxxxxxx.
Ce serait très aimable de votre part de me rappeler.
Bien à vous
Sent: Tuesday, January 10, 2012 7:40 PM »
C’est bien ce que je disais, être « beaucoup intéressée », pour ne rien faire, absolument rien faire, c’est qu’il manque nécessairement une pièce au puzzle.
Conclusion : si vous n’êtes pas dans les clous, dans la ligne de la pensée-unique, du gauchisme, du multiculturalisme, du nivèlement par le bas, d’Obama, de Hollande, de Di Rupo, de cette Europe administrative et dirigiste, de l’euro, du sens de l’histoire qu’on vous impose et de tous les gauchos du monde, vous êtes un pestiféré, un type à éviter, un monstre, nécessairement un facho comme Romney et tous les libéraux de la planète. Le Dogme réécrit inéluctablement l’histoire, si vous n’en faite pas partie, « ils » tirent la chasse d’eau sur vous…Et on appelle ça la démocratie !
Cherchez l’erreur !
Pendant ce temps, nos ministres ignares, analphabètes-économiques et véritables incultes récidivistes disent appuyer la relance, l’emploi et les investissements productifs en…augmentant les taxes.
« Ils disent, mais ils ne font pas », c’est ce que j’expliquais plus haut.
Pendant ce temps, toujours, on cherche des poux aux libéraux qui sont stupidement diabolisés, mais on laisse s’installer le parti « islam » dont les représentants ont, soit par leur programme électoral ou par leurs déclarations télédiffusées, clairement exprimé leur intention de transformer notre Belgique en un état islamique, reconnaissant leur Coran comme la seule loi valable à leurs yeux. Les médias et le pouvoir rejettent les démocrates libéraux (dont je suis) en leur taillant le costard de l’extrême droite, mais ils laissent des partis non-démocratiques s’installer dans le pays.
Je ne peux conclure ce texte que par ces mots…Au fou, mettez-vous à l’abri, ces gens sont bêtes et très dangereux !!