D’abord un mot sur l’élection pour la présidence américaine.
Après le deuxième débat télévisé entre les candidats, j’avais trouvé que Romney avait encore très largement dominé son adversaire et j’écrivais ceci : « Romney est sûr de lui sans être arrogant, il semble calme, il dispose d’une force tranquille, naturelle parce que cette force vient de lui-même, de son expérience réelle en tant qu’homme d’affaires privé et de son expérience en tant que gouverneur. Romney dit ce qu’il sait, il parle de ce qu’il a fait, il a le regard maintenu à la hauteur des yeux de son auditoire, Il a le sourire, il est compétent, sympathique, intelligent, intéressant à écouter, c’est un chef d’entreprise, un chef naturel qui s’impose par sa stature, par ses connaissances et par les valeurs qu’il porte. Obama est un type fade qui met uniquement l’autorité dans le ton de sa voix qu’il veut artificiellement dominante, il est agressif, il n’a pas de vues globales, pas de politiques cohérentes à opposer à son adversaire, c’est une marionnette politicienne, une construction théorique, un misérable ectoplasme roublard qui détruit l’Amérique et le monde libre. »
Après le troisième débat, je persiste et je signe. Je crois solidement en la victoire de Romney mais j’y crois seulement si l’esprit pionnier de l’Amérique et les valeurs fondatrices de la Déclaration d’indépendance américaine reprenaient le dessus sur les non-valeurs constructivistes et dogmatiques entretenues par la gauche américaine et soutenues par l’Europe. Si cet esprit pionnier était resté majoritaire dans la conscience du Peuple américain (ce que je crois), alors Romney gagnera, sinon il perdra et la chute de notre civilisation s’accentuera jusqu’à l’effondrement total. Je ne veux pas y croire et je ne peux plus y croire !
Romney est, faut-il le dire, un modèle et il est un modèle en toutes choses parce qu’il est non seulement compétent, mais il est également porteur de valeurs morales exceptionnelles. Il représente l’efficacité, le bon-sens, la générosité (n’en déplaise aux gauchistes de tous poils), le don de soi et il a compris qu’il n’existera aucun succès pour l’Amérique ou pour son peuple sans une réussite économique éclatante, sans une défense forte et sans une ligne claire en politique extérieure. Romney connait aussi très bien l’adage « si vis pacem para bellum » qui impose à l’Amérique un budget de la défense en adéquation avec ce principe. Tout affaiblissement de la défense américaine portera irrémédiablement atteinte aux USA et au monde libre. Ne pas voir cette évidence correspond à se voiler la face, le genre humain est ce qu’il est, les tyrans et les théocrates surtout !!!
Romney est également attaché à l’économie libre et à la liberté, son modèle s’inspire de Milton Friedman (prix Nobel d’économie) et de Friedrich Hayek ou de Ronald Reagan et de Margaret Thatcher. Romney est un homme qui a tout réussi dans la vie, c’est un fait incontestable, la gauche le déteste, c’est normal, elle est uniquement attachée à la défaite, à l’échec et à l’affaiblissement de notre civilisation. D’ailleurs, en août 2012, le journal Libération fera la Une de son journal en titrant : « Romney, l’horreur américaine »
La gauche, comme toujours, sera dans l’excès, le mensonge, l’affabulation, la falsification de l’histoire et l’insulte, parce que, si l’on peut parler d’horreur pour des personnages comme Hitler, Lénine, Staline, Castro, Pol Pot (alias « Frère numéro 1 » chez les Khmers rouges) et tous les tyrans du globe, je ne vois pas en quoi Romney serait une horreur, même si l’on pourra ne pas être d’accord avec son projet politique. La seule chose que je sache est qu’Obama est un désastre et une véritable catastrophe pour l’Amérique et le monde libre, mais la gauche aime ça, elle adore même et elle fait tout pour qu’Obama rempile pour quatre ans !
Pour rappel, voici un extrait du bilan exécrable d’Obama Ier :
- Le nombre de personnes sans emploi (demandeurs d’emploi et personnes radiées des listes) s’élève à 14.7%
- Les emplois à temps partiel se sont accrus de 600.000, la dernière année pour atteindre un total de 8.6 millions de personnes.
- Le nombre de gens s’alimentant grâce aux « food stamps » est passé de 32 millions à 47 millions en quatre ans.
- L’endettement du pays est colossal, il se poursuit à près de 6.000 milliards USD supplémentaires en quatre ans.
- Le prix des carburants a augmenté de 110 %.
- La baisse des impôts votée sous Bush expirera en fin d’année, ce qui provoquera une hausse de la fiscalité avec, comme corollaire, le retour de la récession.
- Les seules restrictions budgétaires envisagées par Obama concernent le secteur de la défense.
- L’administration Obama a transformé le Moyen-Orient en un baril de poudre.
- La dénégation d’Obama envers l’existence des diverses formes d’islamismes radicalistes a amplifié la menace djihadiste.
- En Egypte, Obama a choisi de dialoguer exclusivement avec les Frères musulmans plutôt que de se rapprocher de la jeunesse, des femmes, de la classe moyenne, des ouvriers et des minorités.
(sources « Le désastre Obama » de Guy Millière Dreuz et Atlantico )
Last but not least, Obama risque aussi de se prendre très sérieusement les pieds dans le tapis de ce qu’il est coutume d’appeler maintenant le « Benghazi gate » dont la presse et les médias européens serviles, lâches, imbéciles, partisans et obamalâtres se gardent bien de parler. Pourtant, il suffit de taper « Benghazi gate » dans Google pour trouver 823.000 résultats (cette affaire n’est donc pas confidentielle pour tout le monde !). Heureusement qu’Internet est là pour informer les braves gens, les médias traditionnels étant eux, à l’image de l’ancienne Pravda, uniquement au service du mensonge, du dogme ou de l’utopie socialiste et du léchage de bottes du clan Obama.
Ainsi donc, on sait aujourd’hui que des demandes de moyens de sécurité supplémentaires ont été adressées pendant des mois au Département d’Etat et au Secrétariat à la Défense par l’ambassadeur Stevens. Ces demandes n’ont pas abouties. Au moment de l’attaque des emails ont été envoyés au Département d’Etat et à la Maison Blanche demandant de l’aide suite à une attaque terroriste (il s’agissait donc bien d’une attaque terroriste) et rien n’arriva jamais !
Bref, des tas de tentatives de demandes d’aide ont été entreprises par les assiégés, elles sont restées lettres mortes au plus haut niveau de l’administration Obama, puisqu’aucune décision d’action n’aura été prise. En moins d’une heure les forces armées US auraient pu intervenir sur place, rien n’aura été fait, le personnel du consulat américain de Benghazi a été abandonné par des lâches au plus haut niveau de l’Etat, ce sont des salauds et des incapables qui avaient tous les moyens d’agir efficacement entre les mains. Ils ont choisi de ne rien faire, s’il y a bien une horreur, elle est bien là, chez Obama et dans son administration, elle n’est pas chez Romney comme le titrait bêtement, très bêtement « Libération » en août dernier Dreuz
On peut également consulter d’autres sources ici et ici
Sourde et aveugle concernant Obama, la gauche reprochera aussi à Romney d’être mormon (il faut bien lui chercher des puces quelque part), comme si cela pouvait faire de lui un épouvantable extrémiste appartenant à une espèce de secte dangereuse pour l’humanité. Tout est bon pour le salir, la recette est connue, archi connue. Il suffit de mentir et d’entretenir le mensonge, tout le monde connait la citation ; « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose ». Peu importe que cela soit vrai, il faut colporter n’importe quoi, pour autant que cela soit repris par le plus grand nombre. A ce petit jeu, les médias, à gauche et à l’extrême gauche, pour la très grande majorité, sont très forts et ils sont aussi tous complices dans leur œuvre de destruction des valeurs qui ont fondé notre civilisation.
Laissons la gauche à ses mensonges absurdes ou à ses fantasmes et regardons, de plus près, ce que sont les principes ou les valeurs de la religion mormone, les voici donc :
- Fortifier les familles
- Servir autrui
- Une œuvre missionnaire
- Apprendre tout au long de la vie (accumuler des connaissances)
- La liberté de choisir
- L’aide humanitaire
- Le civisme
- L’histoire familiale
Ceux que ça intéresse pourront avoir tous les détails sous le lien suivant
Pour ma part, moi qui ne crois ni en Dieu, ni au surnaturel, je ne vois rien de mal dans les valeurs que défendent les mormons, j’y vois, bien au contraire, des principes sains, des principes de bon-sens, des principes d’altruisme et de charité. Je suis maintenant certain d’une chose, c’est qu’au-delà de la réussite matérielle de Romney, il a aussi de très solides valeurs morales, des valeurs qui m’apaisent, qui me rassurent, les valeurs d’un homme qui sera, j’en suis certain, s’il était élu, un Président américain qui laissera une trace profonde dans l’histoire de son pays. Romney sera un excellent Président, il sera surtout un très Grand Président.
Le combat entre Romney et Obama est déterminant, il incarne la défense des Libertés contre l’asservissement à l’Etat et il incarne également le combat pour une Amérique forte militairement contre une Amérique affaiblie se présentant déjà à ses ennemis la tête sur le billot.
Moi, j’ai choisi mon camp depuis longtemps, les américains qui aiment la Liberté le feront le 6 novembre et ils chasseront l’imposteur de la maison Blanche. La voie est enfin ouverte au réveil de l’Amérique !
Encore un mot sur l’économie ; Le malheur, chez nous surtout, est que les populations croient encore trop souvent que la richesse économique vient de l’Etat, alors que l’Etat ne représente qu’un coût et ne produit aucune richesse. Le problème avec la gauche américaine est identique, elle s’en remet à l’Etat présumé capable de tout (surtout du pire) mais pourtant incapable de créer richesses, emplois et bien-être. Je sais pourtant qu’il faut des routes, des hôpitaux, une Défense Nationale et tous les autres services qui concernent notre bien commun. Mais, en règle générale, la richesse économique (dont l’emploi) vient de la capacité d’investissement des entreprises qui, elle-même, découle du niveau de liberté et de taxation qui est appliqué dans le monde dans lequel elles évoluent. Plus de taxes, plus de charges, moins de mobilité des salariés, un pays fermé sur lui-même, cela correspondra toujours à la pauvreté économique. Il suffit de regarder autour de soi et d’ouvrir les yeux, ce que beaucoup ne font pas !
On constatera que la part des dépenses de l’Etat dans le PIB est, en Belgique, de 24 ou 26% (voir mes autres textes, je ne le répèterai jamais assez !), on en déduira, en pur bon-sens, que l’action de l’Etat dans la création de richesses est marginale. Ce sont donc les entrepreneurs et les entreprises qui doivent être motivés, la croissance dépend principalement d’eux. L’Etat ne pourra qu’accompagner la croissance par ses investissements dans un contexte déjà favorable issu de la liberté et de l’envie d’entreprendre, elles-mêmes conséquences de la modération des impôts et des charges. C’est une évidence !
De toute façon, chaque fois que l’Etat pousse à la dépense publique, il crée des dettes et des déficits, là aussi, il suffit de regarder vers l’Europe et vers l’Amérique d’Obama pour s’en convaincre. Pour démontrer, par la caricature, que l’Etat n’est pas le moteur de l’économie, soyez assurés que si l’Etat investissait massivement dans toutes sortes de projets pharaoniques, couteux (et inutiles) au détriment des impôts qui devraient nécessairement être augmentés de façon drastique (par exemple 80% sur les revenus du travail), il n’y aurait très vite, plus d’entreprises, plus d’emplois, plus de revenus, plus rien sinon la pauvreté et la misère pour tous !
L’économiste Elie Cohen disait hier sur Télématin (Heure de vérité 2/11/12) : « Lorsqu’on demande à un élève de première année d’économie ce qu’il faut faire lorsqu’on est en récession ; il répondra qu’il faut faire de la relance, c’est à dire augmenter la dépense publique ou baisser les impôts...Là on fait l’inverse ». Il a raison, mais comme je le disais plus haut, favoriser la dépense publique sans créer les conditions favorables à l’investissement privé (peu d’impôts et peu de charges pour les entreprises) ne servira à rien, sinon à creuser les déficits, à étouffer les entreprises, à favoriser l’extension du chômage et à créer la récession et la pauvreté pour tous. L’investissement public vient en aval d’une politique économique intelligente, favorable aux entreprises et aux entrepreneurs. La richesse d’un pays se situe d’abord auprès de l’initiative humaine privée, jamais dans la lourdeur et la lenteur des actions de l’Etat.
Je ne le répèterai jamais assez, je ne suis ni à gauche, ni au centre, ni à droite, je suis un libéral, un vrai libéral, le libéralisme n’est pas un dogme, ni une utopie, il est apolitique par essence ou par nature, il s’appuie simplement sur l’analyse des faits et il évolue en fonction de son environnement. Le socialisme est utopique, dogmatique ou idéologique, il est figé, tyrannique, il est la négation de l’Homme et des Libertés, il est voué à l’échec et restera éternellement voué à l’échec et au malheur des hommes. Il faut rester pragmatique et adopter naturellement les recettes qui fonctionnent. Ce n’est pas plus difficile que ça !
Je commençais ce texte par le titre : « De l’eau à mon moulin », en voici la raison, le tableau ci-dessous.
Je terminais l’un de mes derniers texte « Peuples d’Europe, réveillez-vous » par une véritable apologie de la Suisse dont je vantais la réussite économique éclatante. Je disais que la cause de cette réussite se situait également dans le fait que la Confédération Helvétique pratiquait un impôt modéré, en voici la preuve, ouvrez vos mirettes, ajustez vos lunettes et préparez-vous à un choc, un très grand choc !
Maintenant que vous avez vu, retenez vos larmes devant des chiffres si cruels pour notre petit pays bien aimé et préparez-vous, soit, à faire enfin vos valises, soit, à voter pour des gens compétents et plus pour les idiots qui nous gouvernent. Vous me direz, à juste titre, que vous ne trouvez personne qui aurait le profil ad hoc sur les listes des partis existants, c’est normal parce qu’il n’y a personne, seulement les oligarques socialo-socio-démocrates habituels élus pour leur seul plaisir ou pour leur bien personnel et non pour le vôtre. Alors plutôt de vociférer sur place et taper du pied avec une colère justifiée, rejoignez moi et boutons ensemble ces indécrottables ignorants, ces imposteurs invétérés hors d’un pouvoir qu’ils accaparent depuis si longtemps à leur seul profit.
Si vous ne le faites pas, c’est que vous aimez les idiots, la souffrance, l’injustice et les larmes, mais dans ce cas, je ne pourrais rien pour vous, véritablement rien pour vous !