C’est pas gagné !
Je viens de terminer un texte sur les « modérés qui n’en sont pas », ces emmerdeurs patentés, ces véritables tyrans auréolés de la gloire et de la vertu des autres assis sur leurs belles certitudes qui vous contraignent au silence en vous abreuvant de leurs inventions et de leurs mensonges gros comme la cuisse de Jupiter dont ils pensent être issus, je croyais en avoir fini avec eux, j’avais vidé mon sac, je pensais leur avoir jeté définitivement un sort par la justesse et la force de mes mots, je croyais qu’ils avaient pris peur, qu’ils resteraient loin de moi, qu’ils me foutraient enfin la paix, eh bien, non, je me trompais lourdement, ils sont comme les cafards, ils se reproduisent comme l’éclair, ils pullulent, ils grouillent et ils affluent, quand on croit en être débarrassés, ils arrivent par les portes, les fenêtres, les placards, les égouts et quelquefois même ils s’asseyent à votre table à votre insu quand vous pensiez benoitement être en territoire ami alors que vous ne l’étiez pas, les fascistes rouges étaient déjà là, ils avaient envoyé l’un des leurs travestis en copain pour vous casser les pieds, vous contraindre, vous insulter, vous cracher dessus, vous haïr, vous planter là et fuir lâchement ensuite. Ce schéma est connu, il ne m’a pas surpris, les ânes ne se renouvellent pas, les gauchistes non plus !
Voici les faits !
Lors d’un dîner au restaurant je me suis fait agresser verbalement par un bobo de 50 ans, la gauche n’aime pas le débat, elle ne supporte pas la contradiction, alors elle insulte, elle vous crache sa haine à la gueule et, de temps en temps aussi, elle casse tout, rien de neuf sous le soleil !
Alors que nous revenions de Séville, un voisin de table, un bobo resplendissant, s’est mis à me vanter la belle culture de l’islam (je ne lui avais rien demandé) et tous les bénéfices qu’elle était supposée avoir apportés à l’Espagne pendant l’occupation arabe. Comme il partait en vrille, emporté par un splendide enthousiasme juvénile malgré ses cinquante berges, je l’ai stoppé dans son bel élan pour lui faire part de toutes mes réserves bien légitimes sur ce sujet sensible (surtout pour les espagnols qui en ont pris plein la tronche), épineux, controversé (tout de même) et sur lequel il était habituellement de bon ton de s’aligner sur la position officielle et bien-pensante, à savoir ; le gentil islam pactisant dans la bienveillance avec les chrétiens, les juifs et les incroyants. Je ne voulais aucun clash à table, je souhaitais un repas calme, amical et consensuel (la recherche du consensus mou, pour une fois !), je voulais éviter le débat.
Je me suis donc borné à lui faire part de mes réserves polies et prudentes, je ne voulais pas être le fouteur de merde de la soirée, nous n’étions pas là pour nous prendre à la gorge et nous rouler sous la table ensuite dans une joute aussi immature qu’improvisée. Or ce « Marxopithecus belgicus » voulait manifestement en découdre (c’est classique avec les gauchistes fissurés du bocal !) et devant son entêtement, je lui ai lâché que suivant des sources aussi multiples que variées, l’islam avait plutôt massacré et pillé à tour de bras, tout au long de son histoire, partout où il était passé, en Espagne en particulier, et qu’au passage également, les musulmans en avaient profité pour piller nos ressources et nos connaissances. J’ai conclu en lui disant que c’était justement pour ces motifs que les espagnols, que je connais bien, ne portaient pas non plus ces conquérants dans leur cœur. C’est logique, pour un esprit bien fait du moins, pour un excité du bulbe au crâne vide et plat, ça ne l’est pas !
Donc il s’est fâché tout rouge (ben oui !), il a subitement gueulé, troublant ainsi la quiétude de notre modeste ripaille sous les regards éberlués des compagnes, des compagnons, des épouses et des maris qui n’y comprenaient strictement rien du tout. Il m’a hurlé ensuite que les arabes avaient, au-delà de leur bel esprit pacificateur, inventé les maths et toutes sortes de choses essentielles et fort utiles (lesquelles ??) à notre culture et à notre confort. Il a poursuivi son monologue furieux en me jetant à la figure que j’étais un ignorant, un mec qui réécrivait l’histoire et que c’était à cause de gens comme moi que les islamistes existaient (faut avoir les oreilles et le cœur bien accrochés pour entendre et accepter ça !).
Là, comme il avait dépassé les bornes et les limites des bornes, je lui ai cloué le bec en précisant qu’il inversait tout, les bons et les méchants, la culture et l’inculture et qu’il était temps qu’il se taise pour nous permettre de terminer ce dîner dans un calme retrouvé. Finalement nous ne lui avions rien demandé, surtout pas de mettre le souk dans une soirée amicale.
Ne se contenant subitement plus, ce gauchiste minable et mal-élevé m’a alors traité d’extrémiste (reductio ad hitlerum, encore !) et de con, ensuite il s'est barré du resto (à pieds, sa compagne avait les clés de la voiture en poche) devant l’air embarrassé et incrédule de tout le monde. Ma présence était insupportable dixit Marxopithecus belgicus ( ?).
On ne l’a plus revu ! S’est-il excusé depuis ? Non évidemment, les gauchistes ont tous les droits, spécialement celui d’être odieux avec leur entourage. J’attends encore des excuses, elles ne viendront jamais j’imagine, mais je m’en moque, un couillon de perdu, ça met plutôt de bonne humeur !
Jean François Revel : le mythe de l’islam tolérant
SourceTout le monde connait Revel, l’un des plus grands esprits du XXe siècle également membre de l’Académie Française, quand j’étais jeune j’attendais ses éditoriaux avec gourmandise et je les dévorais d’une seule traite pour les relire presque immédiatement ensuite. Il aura marqué profondément ma jeunesse comme il aura aussi contribué à former mon esprit. Je l’admirais énormément !
Revel écrira dans « L’obsession antiaméricaine » (Plon, 2002) ; « Ce qui dicte la vision du monde des musulmans, c’est que l’humanité entière doit respecter les impératifs de leur religion, alors qu’ils ne doivent eux-mêmes aucun respect aux religions des autres, puisqu’ils deviendraient alors des renégats méritant l’exécution immédiate. La “tolérance” musulmane est à sens unique. Elle est celle que les musulmans exigent pour eux seuls et qu’ils ne déploient jamais envers les autres. Soucieux de se montrer tolérant, le pape a autorisé, encouragé même, l’édification d’une mosquée à Rome, ville où est enterré Saint Pierre. Mais il ne saurait être question de construire une église à La Mecque, ni nulle part en Arabie Saoudite, sous peine de profaner la terre de Mahomet ».
Il poursuivra ; « Le deuxième volet du mythe de l’islam tolérant consiste à soutenir hautement que le gros des populations musulmanes désapprouve le terrorisme, et au premier rang l’immense majorité des musulmans résidents ou citoyens des pays démocratiques d’Europe ou d’Amérique. Les muphtis ou recteurs des principales mosquées en Occident se sont fait une spécialité de ces assurances suaves. Après chaque déferlement d’attentats meurtriers, par exemple en France en 1986 et en 1995, ou après la fatwa ordonnant de tuer Salman Rushdie en 1989 ou Taslima Nasreen en 1993 pour “blasphème”, ils n’ont pas leurs pareils pour garantir que les communautés religieuses dont ils ont la charge spirituelle sont foncièrement modérées. Dans les milieux politiques et médiatiques, on leur emboîte avec empressement le pas, tant la crainte nous étrangle de passer pour racistes en constatant simplement les faits. Comme le dit encore Ibn Warraq, « la lâcheté des Occidentaux m’effraie autant que les islamistes ». Leur connerie aussi et ça c’est moi qui le dit !
Qu’on se le dise et qu’on aille également l’expliquer au « Marxopithecus belgicus » qui baigne dans sa compréhension adaptée de l’islam et dans sa haine de l’Occident et du monde libre !
Les espagnols se sont bien amusés pendant l’occupation arabe !
Ça c’est bien vrai !
Comme le sous entendait mon compagnon de table ; « les échanges avec l’islam pendant l’occupation arabe étaient formidables et tout le monde vivait dans la paix, le confort et la compréhension mutuelle ». Tu parles !!!!
Bill Warner qui n’est rien de moins que docteur en physique et mathématiques et le fondateur également d’un site intitulé « Political Islam » dira :
“My mission is to educate the world about the doctrine and history of Political Islam. I deal with facts, not opinions”. Des faits, rien que des faits, mais les bobos n’aiment ni les faits, ni la réalité, ils vivent dans un monde inventé !
Warner est aussi le créateur d’une animation qui reprend les guerres et les attaques connues du monde musulman contre tous les autres ou toutes les autres Nations. L’image ci-dessus vient de cette animation, elle montre très bien, par le nombre de points rouges qui représentent ces conflits, que l’Espagne a énormément souffert de la présence musulmane sur son territoire. C’est vrai que les espagnols ont dû se marrer, à se taper sur les cuisses avec vigueur, nous n’en doutons pas un seul instant.
De son côté, Alain Wagner qui est le président de l’ICLA et qui aura repris cette animation dans une présentation personnelle visible dans l’un de mes derniers textes commentera cet épisode espagnol tellement « joyeux » par ces mots : « Regardez l’Espagne, eux ils ont eu à fréquenter très très longtemps la religion de la paix, ils se sont battus pendant 700 ans, des massacres épouvantables, des révoltes des oppressions, les chrétiens sur place étant traités comme des citoyens de seconde classe, comme des sous-citoyens, des dhimmis, écrasés par les taxes, l’humiliation, la violence, donc ils se sont battus, ils se sont révoltés, ils ont fini par libérer leur pays…. ».
Voilà qui est dit et qui ne plaira pas aux imposteurs et aux falsificateurs.
Revel, Warner et Wagner sont-ils seuls à le dire ?
Non évidemment, on retrouve des multitudes de références qui corroborent ces faits, j’ai aussi évoqué de nombreuses sources et de nombreux spécialistes sur le sujet dans mon texte intitulé « C’est pas l’Islam, mon œil ».
Quant au mythe « Al Andalus » il est attaqué de tous les côtés par les gens honnêtes et indépendants. La période andalouse aurait été l’âge d’or de l’islam et de la civilisation européenne ? Quelle foutaise ! Pourquoi, si l’islam avait été si magnifique, aurait-il oublié, pendant 1400 ans, de briller ailleurs qu’en Espagne. L’islam a dominé partout par la violence et la contrainte, l’Andalousie n’a jamais été un modèle ou une exception, les non-musulmans étaient soumis au statut de “dhimmi”(soumis avec des droits restreints) et l’esclavage des chrétiens étaient en cours dans l’Espagne conquise.
D’ailleurs pourquoi les espagnols excédés, épuisés par des siècles de domination auraient-ils renvoyé les musulmans dans leurs pénates à grands coups de pieds au cul si la vie avait été si formidable en leur compagnie ?
Pendant cette domination, les savants, même les savants musulmans étaient maltraités et leurs œuvres brûlées.
Si des palais ou des édifices spectaculaires ont été construits à cette époque, il ne faut pas, pour autant, idéaliser cette période et en faire le mythe de la coexistence pacifique inter-religieuse qui sert encore aujourd’hui à apaiser tous les musulmans d’Europe. La réalité n’est pas mono forme, elle sera simplement le reflet du rapport de forces entre les différentes communautés sur le terrain.
« Les Almoravides déportent en Afrique du Nord des villages entiers de chrétiens récalcitrants. Le théologien juif Maimonide doit feindre la foi musulmane avant de pouvoir s'exiler. La coercition exercée par l'administration musulmane joue son rôle : pour échapper à la capitation et à l'impôt foncier dus par les Infidèles, beaucoup choisissent la conversion…Les chrétiens - les mozarabes - ont le statut de dhimmi, ce qui signifie qu'ils sont protégés. Protection en réalité précaire. S'ils ne s'acquittent pas des taxes auxquelles ils sont astreints, ils risquent l'esclavage ou la mort.
Les chrétiens sont obligés de porter des vêtements distinctifs. »
« Leur culte est autorisé, mais ils ne peuvent ni bâtir une nouvelle église, ni sonner les cloches, ni effectuer de processions, ni exposer une croix ou du vin. Tout prosélytisme est réprimé. Le musulman qui se convertit en secret au christianisme encourt la peine de mort.
« La situation qui est faite aux chrétiens mozarabes, conclut Philippe Conrad, a pour but d'affaiblir leur communauté et d'encourager les conversions. » Avec les non-musulmans, il n'y a donc pas tolérance, mais coexistence. Une coexistence qui n'a rien d'irénique : la clémence d'al-Andalus est un mythe. »
« Il faut renoncer à une idée reçue, constate Joseph Pérez, celle d'une Espagne dans laquelle les trois religions du Livre - chrétiens, musulmans et juifs - auraient vécu en bonne intelligence pendant les premiers siècles de la domination musulmane, puis dans l'Espagne chrétienne des XIIe et XIVe siècles. »
« On ne peut forcer les esprits : nul n'abdique sa culture et sa foi sous la contrainte. C'est une grande leçon.
Toutefois, en faire le procès à la seule Espagne chrétienne, c'est mentir par omission.
« À cette époque, aucun pays musulman ne tolère les chrétiens sur son territoire. Il en est encore ainsi, au XXIe siècle, dans un grand nombre d'États musulmans ».
En clair, les musulmans pouvaient venir chez nous, dans les circonstances que l’on sait, mais nous ne pouvions (et ne pouvons) mettre les pieds chez eux. Si c’est pas un bel exemple d’intolérance, je ne sais pas comment on devrait appeler ça ?
En outre, « la fortune d’Al-Andalus s'est construite en partie par le pillage du pays et pour l'essentiel sur l'esclavage…Comme dans le reste du monde musulman l'esclavage est très répandu dans Al-Andalus. Le nombre d'esclaves des deux sexes semble même augmenter ». Il y avait cinq sources d’approvisionnement ; les opérations militaires, la population espagnole, l’importation, les razzias sur les côtes de Provence, de Sicile, d’Italie, de la Grèce, de la Crête, dans les Alpes, en Autriche, en Hongrie et en Bulgarie.
« Ce sont de six à huit millions d'esclaves qui ont été vendus par Al-Andalus, pour le plus grand nombre au califat de Damas, et du septième au dix-neuvième siècle ce sont de l'ordre de vingt millions d'esclaves noirs et blancs qui ont été castrés, prostitués et exploités par les califats musulmans ».
Mais, Al Andalus c’est aussi,
- la grande persécution antichrétienne de 822,
- en 850 un groupe de prêtres, de diacres et de moines originaires de Cordoue furent décapités, leur corps fut brûlé et les cendres furent jetés dans le fleuve afin qu’ils n’aient pas de sépulture,
- en 851 l’on ordonna la conversion forcée à l’islam de tous les enfants issus d’un mariage mixte, deux jeunes filles qui renoncèrent furent décapitées,
- en 852 d’autres martyrs chrétiens sont mis à mort à Cordoue,
- en 852 Muhammad Ier ordonna d’abattre toutes les églises construites en Espagne depuis l’arrivée des Arabo-musulmans dans le pays (711),
- Il continua à faire exécuter les chrétiens,
- En 856, à Cordoue, deux jeunes vierges chrétiennes décidèrent de se rendre spontanément auprès du cadi (juge musulman) pour confesser leur foi en Jésus-Christ. Elles furent décapitées,
- En 859, ce fut au tour du prêtre saint Euloge et de la jeune vierge sainte Lucrèce. Ils furent frappés de verges, souffletés et décapités,
- En 860, le prêtre de Cordoue saint Parfait, qui avait un jour critiqué Mahomet en le traitant de faux prophète, fut capturé et décapité par les musulmans.
- En 872, l’abbé bénédictin saint Étienne de Cardena fut massacré avec toute sa communauté monastique par les musulmans à Burgos, en Castille.
- Abd al-Rahman III, qui prit le titre de calife (successeur de Mahomet) et qui est considéré comme le plus grand souverain omeyyade de Cordoue, fit torturer jusqu’à la mort, le 26 juin 925, le jeune chrétien saint Pélage, qui s’était refusé à lui (J.-P. PERONCEL-HUGOZ, Le Radeau de Mahomet, p.193). L’adolescent de 13 ans fut mis en prison durant 3 ans puis fut égorgé, déchiqueté et coupé en morceaux avec des pinces de fer, et mourut après 6 heures de souffrances.
- En 981, la ville de Zamora (royaume de León) [dans le Nord chrétien de l’Espagne] et les campagnes environnantes subirent la dévastation et la déportation de quatre mille captifs.
- Quatre ans plus tard, Barcelone fut incendié et presque tous ses habitants massacrés ou réduits en captivité ; Coïmbra [au Portugal], conquis en 987, demeura un désert durant plusieurs années ; León [ville de l’Espagne chrétienne] fut démoli et les campagnes alentour ruinées par les razzias et l’incendie. » BAT YE’OR, Les chrétientés d’Orient entre jihâd et dhimitude, Paris, Cerf, 1991, p.40-41.
- Al-Mansûr, en 997, décida de frapper les chrétiens dans ce qu’ils avaient de plus sacré : le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Les musulmans s’emparèrent de tout le butin qu’ils trouvèrent dans l’orgueilleuse ville de Saint-Jacques ; ils abattirent les constructions, les murailles et l’église, si bien qu’il n’en restera aucune trace. Les palais solidement construits furent pulvérisés. Almanzor avait obligé ses alliés chrétiens – des comtes qui étaient ses vassaux – à l’accompagner.
- Almanzor fit aplanir les sentiers par des ouvriers pour que les troupes puissent passer. L’armée musulmane atteignit Vigo, pillant et brûlant tout sur son passage. Ils rasèrent entièrement les oratoires consacrés à saint Jacques et entrèrent dans la ville pour la piller. Quand tout fut terminé, Mansur récompensa ses alliés chrétiens par des cadeaux, surtout des étoffes précieuses. Puis il rentra à Cordoue. Il était accompagné de nombreux prisonniers chrétiens portant sur leurs épaules les portes de la ville de Compostelle. Elles furent utilisées pour la construction de la grande mosquée de Cordoue. Les cloches de la basilique Saint-Jacques furent suspendues dans l’édifice “pour y servir de lampes”. » Anne-Marie DELCAMBRE, La schizophrénie de l’islam, Paris, Desclée de Brouwer, 2006, p.93-94.
- En 1220, les moines Bérard, Pierre, Accurse, Ajut et Othon, envoyés par saint François d’Assise pour évangéliser les musulmans d’Espagne, furent torturés et massacrés au Maroc : ils furent fouettés à différentes reprises et si cruellement que leurs côtes furent à découvert ; après quoi, les musulmans versèrent sur leurs plaies de l’huile bouillante et du vinaigre et les traînèrent sur des morceaux de pots cassés. C’est le souverain musulman en personne qui leur fendit le crâne d’un coup de sabre. Leurs reliques furent transférées à Coïmbra, au Portugal.
- En 1230, Jean de Pérouse et Pierre de Sasso-Ferrato, envoyés eux aussi par saint François d’Assise en Espagne pour convertir les musulmans se rendirent à Valence, ville sous domination musulmane : ils furent arrêtés et jetés en prison puis, comme ils refusaient de se convertir à l’islam, ils furent décapités.
- Pierre Paschase, né à Valence (Espagne), étudia la théologie à Paris puis, revenu à Valence, entra en 1251 dans l’ordre de la Merci avant de devenir évêque de Jaén (Andalousie). Après avoir été le précepteur du fils du roi d’Aragon Jacques Ier, il fonda en Espagne plusieurs maisons de son Ordre. Il allait souvent à Grenade pour y racheter les chrétiens captifs, prêcher l’Évangile et gagner ceux qui avaient renié la foi chrétienne. Les musulmans, furieux du zèle qu’il montrait, se saisirent de lui, le jetèrent en prison avant de le décapiter le 6 décembre 1300 à l’âge de 72 ans.
- En 1397, les saints franciscains, Jean de Cétina et Pierre de Duenos vinrent à Grenade, ville alors musulmane, pour y prêcher le christianisme. Sommés par le cadi (juge musulman) de quitter la ville, ils refusèrent. Capturés et jetés en prison, les deux franciscains furent torturés. Les musulmans frappèrent saint Jean de coups de bâton, lui arrachèrent un œil, le dépouillèrent de ses vêtements et lui tranchèrent la tête avec un glaive. Quant à Pierre de Duenos qui avait assisté au martyre de son ami, il subit le même sort quelques jours plus tard.
- Durant tout le temps qu’ils ont occupé l’Espagne (711-1492), les musulmans ont donc constamment persécuté les chrétiens et massacré ceux qui osaient critiquer Mahomet et l’islam, conformément au Coran ; . « Tuez-les [les infidèles] où que vous les rencontriez et chassez-les d’où ils vous ont chassés ! » Le Coran, sourate 2, v.191 (trad. du cheikh Si Hamza BOUBAKEUR, père de Dalil Boubakeur, actuel recteur de la mosquée de Paris).
C’est vrai qu’elle était belle la vie sous le joug arabo-musulman, d’ailleurs notre ami le « Marxopithecus belgicus » trouvait ça formidaaaaaaaaaaaaable et il insultera quiconque ne sera pas d’accord avec lui !
Avec un peu de chance, s’il avait vécu à l’époque et sous le soleil andalou, il aurait pu sauver sa peau en servant de gardien de harem. Bon, il aurait sans doute laissé sa virilité, mais la perte de deux olives charnues et poilues contre la récompense de pouvoir baigner enfin dans une culture si fantastique et tellement riche, ça vaut la peine, non ? Quel veinard il aurait fait !
Plus de couilles, des gonzesses à poils plein les yeux (les esclaves chrétiennes), un pas de travers ou un geste déplacé, quick, tchak, wizzzz, tortures et adieu la tête, au sabre ou au couteau de boucher ! Super, vive Al Andalus et vive les cons !
Celui qui voudra pourra encore consulter d’autres sources ici, ici et ici .
Et les mathématiques alors !
En principe, nos chiffres arabes ont été inventés en Inde au 3e siècle av. J.-C, puis empruntés par la civilisation arabo-musulmane et introduits en Europe ensuite.
Quant à l’art et la philosophie, l’un est européen et l’autre grecque, « Les Arabes ne firent que prendre de force (comme le grand savant Moïse Maïmonide) les meilleurs des savants, artisans et philosophes juifs, chrétiens et syriaques (la chrétienté araméenne) et leur accorder la vie sauve comme domestiques, dhimmis, voire esclaves à condition qu'ils mettent leur science au service des émirs et califes arabes. Les moines échangeaient leur survie et la non-destruction de leurs monastères contre la traduction en arabe de textes grecs, latins et indous ».
Bref ils nous ont piqué nos nanas, nos copains, nos enfants, nos têtes, nos vies, nos biens, nos richesses, notre pognon, ils nous ont réduits à l’esclavage, ils nous ont coupé les burnes et ils nous pompé au passage nos connaissances, c’est bien ce que je disais à mon « Marxopithecus belgicus » à qui ça n’a pas plu du tout. Il voulait absolument réécrire l’histoire de sa menotte stupide, rouge, partisane et soumise à l’islam…
Et aujourd’hui alors ? Eh bien ça continue !
Tout le monde connait les crimes et les tortures abominables que les islamistes répandent dans le monde actuel, je ne vais pas y revenir ici. Quant à la connaissance et aux découvertes, on leur doit encore une fois tout ;
« Erdogan persiste et signe : les musulmans ont découvert l'Amérique » 200 ans avant Christophe Colomb. Il veut déjà édifier une mosquée sur les côtes cubaine en souvenir de cet heureux évènement, il se dit prêt à en parler à ses « frères cubains » (ah, ils sont frères, frères de sang alors !).
C’est sûr mon petit gars, continue comme ça, réécris l’histoire à la sauce mahométane et prends nous pour des andouilles au passage, on adore !
Erdogan dira encore que « si l'histoire des sciences était écrite avec objectivité, elle montrerait que la contribution des géographes musulmans à la science est bien plus importante que ce que l'on sait ». C’est vrai que l’Occident manque d’objectivité, mais pas dans le sens où Erdogan le prétend !
Si le monde musulman était constitué de génies et nous aurait tellement apporté en matière scientifique, j’aimerais bien qu’Erdogan m’explique une seule chose ; Pourquoi les musulmans ont-ils raflé si peu de prix Nobel (je ne compte pas le prix Nobel de la Paix qui est politique) et les juifs tellement ?
En effet, les juifs qui représentent 0.2% de la population mondiale ont accumulé, depuis 1905, 22% des 862 prix Nobel. Poser la question, c’est y répondre !
Allez, passons à un autre chapitre, ce type m’épuise, enfin, il plaira beaucoup au « Marxopithecus belgicus » et à ses potes, c’est déjà ça !
L’aveuglement du monde libre
L’Europe des gouvernants a capitulé depuis longtemps, elle crève de la pensée-unique et du consensus mou qui étouffent la réflexion intellectuelle (le débat d’idées n’existe pas). Ils ne veulent pas faire de vagues, ils veulent plaire à tout le monde et à n’importe quel prix. Ils sont préoccupés d’une seule chose ; leur réélection.
Si l’on ajoute à cela l’incapacité totale des dirigeants politiques ou des médias classiques à se remettre en cause et à tirer des enseignements de l’histoire en regardant les faits tels qu’ils sont, nous avançons à reculons.
Nous vivons dans un monde où « modération » rime avec manipulation de l’information, mensonge, entrave aux libertés, réécriture de l’histoire et inversion des valeurs. La vérité n’est jamais bonne à dire, surtout si elle devait choquer des syndicats, des minorités de toute nature ou la « pensée formatée » de la population.
Le mythe « Al Andalus » entre dans cette sphère ; le refus de regarder la réalité en face par complaisance et par lâcheté.
Je suis un libéral, le libéralisme s’accommode mal de la tyrannie, de toutes les tyrannies, qu’elles soient brunes, vertes, noires ou rouges.
J’en ai assez d’être pris pour un « ultra-libéral » donc pour un extrémiste, voire un fasciste par des fascistes de gauche, bornés, stupides et incultes. A force de prendre des poires pour des pommes et l’inconnaissance pour la connaissance, on écrit une histoire imaginaire, une histoire qui n’existe pas, une histoire folle qui sert uniquement la doctrine au service de la dictature de la pensée, cette pensée unique qui voudrait casser le capitalisme, la libre entreprise, la liberté, la civilisation occidentale et la rendre responsable de tous les maux de la terre.
Alexandre Del Valle écrira « "L'Occident doit cesser de se sentir coupable", il précisera : « La première menace pour notre survie est la culpabilisation des Européens, maladie psychique collective qui nous empêche de défendre notre identité et nos frontières y compris face à nos ennemis déclarés… », il poursuivra ; « Aucune collectivité ne peut survivre, produire un vivre ensemble et intégrer les nouveaux venus sans être un minimum fière d'elle-même ».
Dans son dernier livre ; « Pour en finir avec le complexe occidental», il s’attaquera aux « 9 principaux mythes fondateurs de la pensée politiquement correcte » (Croisades, Moyen-âge âge des Ténèbres, diabolisation de l’Eglise catholique et du christianisme, dette envers la science arabo-musulmane, mythe d’Al-Andalus, esclavagisme, colonialisme, mythes de la mondialisation, de la financiarisation, de l’euro-fort et de l’Union européenne).
Ce mythe d’Al-Andalus nous dessert aujourd’hui parce qu’il sert également de prétexte à la volonté de « Reconquista à l’envers» de l’Espagne de la part des extrémistes musulmans qui la considèrent comme terre historiquement musulmane. Nous sommes en plein délire, le mensonge se retourne contre nous, merci le consensus mou, merci à la gauche et à tous les bobos qui la servent !
Ces islamistes déclarent maintenant sans se gêner :
- « Nous rétablirons l’islam par la coercition, en vous rouant la face de coups et en vous coupant la tête».
- « Nous établirons l’État islamique avec des bombes et des explosions. Avec des soldats qui ne voient pas de difficultés dans la difficulté et qui dans la bataille sont des lions qui boivent le sang des infidèles. Le califat est de retour.»
- « L’État islamique, par la grâce d’Allah, s’étend de jour en jour. Nous ne nous arrêterons pas, par la volonté d’Allah. Les bombardements ne cesseront pas tant que la croix n’aura pas été détruite, les porcs assassinés et la loi islamique établie »
En dépit de ces menaces précises, l’Europe baisse l’échine et se soumet à l’OCI (Organisation de la coopération islamique) alors que Barack Hussein Obama n’hésitait pas à déclarer en 2009 ;
- « L'Islam a une fière tradition de tolérance. Nous le voyons dans l'histoire de l'Andalousie et de Cordoue pendant l'Inquisition.» (ce type est fou, il ne connait rien, l’histoire certainement pas !)
Il est vrai que si l’Europe est en péril, l’Amérique n’est pas mal située non plus avec Obama à la présidence, heureusement que les républicains ont emporté les dernières élections, mais tout n’est pas gagné pour autant car Obama conserve une réelle capacité de nuisance pour les USA et pour le monde libre.
Ensuite qui lui succèdera ? Hillary Clinton, ce sera alors un nouveau désastre !
Conclusion
Pendant que l’Europe censure, l’islamisme s’épanouit !
Un site Internet d’opposition vient d’être fermé par le régime socialiste français en place, il s’agit de « Minurne », un site qui publiait des articles politiques, économiques, sociaux et sociétaux en toute liberté, sans parti-pris, sans le moindre dogmatisme et sans aucune censure. Minurne était libre, il était critique, l’Etat socialiste (comme le « Marxopithecus belgicus ») n’aime ni la critique, ni la liberté, il lui a cloué le bec par la force !
« Le mercredi 3 décembre 2014, le blog d’opposition et de réinformation MINURNE-RÉSISTANCE a été fermé.
À huit heures, un lieutenant de police a fait irruption chez le prestataire et exigé la fermeture immédiate de l’accès à MINURNE-RÉSISTANCE.
Pas d’avertissement préalable par courrier, mail ou téléphone.
Aucune référence à un texte pénal ou civil, aucune notification de décision de Justice, aucune mention de procédure judiciaire.
À ce jour, 9 décembre 2014, aucun motif valable n’a été communiqué justifiant cette censure ».
La dictature socialiste vient encore de montrer son véritable visage, Staline n’aurait pas mieux fait, si, il aurait collé les opposants au goulag, en France on ne peut pas, pas encore, mais si on laisse faire les socialistes, ça viendra, ce n’est plus qu’une question de temps.
A son tour, Riposte Laïque publiera ; « Censuré par le régime socialiste français, Minurne reparaît… depuis la Suisse »…
C’est encore la Suisse, cette Suisse indépendante que l’Europe aime si peu et que j’aime tant, qui viendra au secours de la liberté. Bravo la Suisse !
Nous devons nous taire et l’islamisme progresse, les politiques et les médias parleront de terroristes, de tueurs isolés, de déséquilibrés mentaux ou de fous mais ils parleront rarement d’islam, le nom d’Allah est cité par tous les assassins, par tous les bourreaux sanguinaires et par tous les extrémistes, mais eux n’ont rien entendu…L’islam ce n’est pas ça, car l’islam doit rester une religion de paix et d’amour, c’est bien connu. Méthode Coué, ignorance, complaisance, minimisation ou dénégation, il y a un peu de tout ça sans doute dans ces comportements opportunistes, lâches et imbéciles.
Il y a quelques jours, au Pakistan 132 enfants ont été assassinés dans un attentat commis par les talibans, on nous parlera de guerre contre l’armée, le huffingtonpost nous dira aussi « qu’en touchant des enfants, les talibans ont violé toutes les règles de l'Islam », comme si les islamistes en étaient à leur coup d’essai en massacrant des enfants au nom de l’islam, on évoquera des terroristes, certains talibans afghans ont même condamné cet acte le jugeant « contraire à l’islam », bref, on tourne autour du pot, on hésite, on manipule et personne, dans la communauté musulmane surtout, ne décidera, une fois pour toute, de prendre une position claire, nette et tranchée en faveur d’un islam de paix et contre un islam de haine, de rejet de l’autre et de persécution. Des « autorités » musulmanes devraient proposer d’expurger du Coran et de tous les textes de l’islam, les appels aux meurtres et toutes les horreurs que ces textes contiennent. Elles ne le font pas, elles préfèrent nous traiter d’islamophobes quand nous nous plaignons de cette face « cachée » de l’islam pendant que nos médias et nos gouvernements leur emboitent le pas dans ce jeu abominable.
En attendant ce grand nettoyage de l’islam qui ne vient pas voici un extrait d’un discours « d’amour et de fraternité » de 42 minutes, agrémentés de versets coraniques justifiant les appels à tuer les non musulmans :
« Nous allons conquérir votre Rome, briser vos croix, et faire de vos femmes des esclaves, avec la permission d’Allah, l’Exalté. Ceci est sa promesse. Il est glorifié et ne faillit jamais à sa promesse. Si nous ne parvenons pas à le faire, nos enfants et nos petits-enfants réussiront et ils vendront vos fils comme esclaves sur le marché aux esclaves. »
Dans une vidéo, le porte-parole de l’Etat islamique, Abu Muhamma al-Adnani dit aux musulmans :
« Si vous pouvez tuer un infidèle américain ou européen, surtout un sale et méprisable français, un australien ou un canadien ou n’importe quel autre incroyant, citoyen d’un pays membre de la coalition contre l’EI, alors faites confiance à Allah et tuez-le immédiatement de n’importe quelle manière. »
« Ne demandez conseil à personne. Tuez l’incroyant, qu’il soit civil ou militaire, car ils ont le même gouvernement. Les deux font la guerre contre l’EI. Il est légitime pour vous de verser leur sang et de détruire leurs biens. »
Al-Adnani continue :
« Vous payerez le prix, quand vous marcherez dans les rues, tournant la tête à droite, à gauche, par crainte des musulmans. Vous ne vous sentirez pas en sécurité, même dans vos chambres à coucher.
« Vous payerez le prix pour cette croisade, qui vous conduira à votre propre effondrement et ensuite nous vous frapperons dans vos pays et vous ne pourrez plus jamais faire du mal.
« Vous payerez le prix et nous avons préparés pour vous ce qui vous fera mal, très mal. »
En voilà de belles déclarations ! On me dira encore que cela n’est pas l’islam, je connais la chanson, le « Marxopithecus belgicus » me l’a chantée récemment, mais comme je suis (parait-il ?) un ignorant, un extrémiste et un con, moi, je prends l’islam pour ce qu’il est au travers de ce que je vois. J’ai le tort, sans doute, d’être un homme simple, un homme pragmatique, un homme aussi qui ne prendra pas des vessies pour des lanternes.
Si j’ai des doutes à propos de l’islam, je ne doute pas d’une seule chose, c’est que mon gouvernement me baise et l’Europe aussi…
A chacun ses idées, mais pas à chacun ses faits, les faits sont ce qu’ils sont, le devoir d’un historien sera de les découvrir en dehors de tout parti-pris et de toute doctrine. Si nous avons la liberté de penser et d’avoir aussi nos idées personnelles sur tous les sujets, nous n’avons pas celle de travestir la réalité pour orienter nos analyses de façon partisane. Tout le monde peut se tromper, mais personne n’a le droit de mentir !
Une technique connue du terrorisme intellectuel pratiqué par la gauche est de vous prêter des propos que vous n’avez pas tenus, même lorsque vous n’avez rien dit. Alors pour éviter, à l’avenir, d’être mis en cause par des ânes gauchistes, incultes et doctrinaires, j’ai décidé de me taire et je me contenterai d’écrire.
« Je ne dis pas autre chose que ce que j’ai écrit, vouloir me faire dire ce que je n’ai pas écrit relève de l’imposture. Celui qui voudra m’entendre n’aura qu’à me lire, celui qui ne voudra ni m’entendre, ni me lire n’aura qu’à passer son chemin tranquillement. Je ne veux m’imposer à personne comme je ne souhaite pas davantage que l’on s’impose à moi ».
Je n’aime qu’une chose la liberté et la paix.
Encore quelque chose qui m’agace prodigieusement ; Lorsqu’on parle des massacres perpétrés par l’islam, il y a souvent une bonne âme, même parmi ceux qui condamnent les crimes des islamistes, pour nous rappeler que oui, mais, les chrétiens aussi ont du sang sur les mains…
Pourquoi cette affirmation ? Pour établir une espèce d’équilibre et gommer d’un même coup de baguette magique le caractère odieux des abus de l’islam, chaque religion vaudrait l’autre et chacune serait coupable d’excès similaires…C’est quoi cette blague !
En fait, pendant la seconde guerre mondiale, les nazis ont massacré les juifs dans un génocide organisé par les autorités allemandes de l’époque, mais les alliés ont tué plein de gens aussi, ils ont bombardé Dresde, balancé des bombes atomiques sur le Japon, tués des centaines de milliers ou des millions d’innocents, donc, finalement, les uns ne sont pas pires que les autres, c’est ça l’argument ? Sophisme ou mauvaise foi, je pose la question !
Celui qui hésite devrait lire le formidable livre de Mark Gabriel : « Jésus et Mahomet». Il sera éclairé !
J’ai eu 60 ans le 29 novembre, j’étais en Espagne, en Andalousie justement, j’y ai des amis formidables depuis plus de quarante ans, j’aime cette région pour son soleil, la chaleur humaine, la gentillesse et la simplicité des andalous, j’aime aussi cette terre quelquefois aride, parfois généreuse, mais toujours belle, j’aime l’odeur des orangers, des citronniers ou du jasmin qui vous monte soudain dans le nez sans prévenir au détour d’un chemin ou d’une rue de Marbella, de Ronda, de Séville, de Grenade ou de Cordoue, mais finalement, si j’aime l’Espagne c’est d’abord parce qu’elle est espagnole !