Peuples d’Europe, réveillez-vous !

En Europe on aime l'échec, apparement...

Posté par ATB le 8 octobre 2013

Finalement que reste-t-il de nos démocraties, de nos droits démocratiques et de nos libertés à part le droit d’élire nos représentants, toujours les mêmes,  véritables apparatchiks inamovibles, indéboulonnables, indécrottables, mous du genou et de la tête que les partis, toujours les mêmes, nous imposent au fil des jours, des semaines, des mois, des années et des décennies ?

A vrai dire il en reste bien peu de choses, c’est regrettable, mais c’est un fait.

Alors regardons tout ça de plus près.

Quand je cherche un modèle de société je ne peux m’empêcher de regarder vers l’Amérique  (avec un grand A comme dans Romney et pas avec un tout petit a comme dans Obama). Les Etats-Unis d’Amérique sont le symbole, l’unique symbole, d’une très grande démocratie fondée  le 4 juillet 1776 par la Déclaration d’indépendance. Ce texte est d’abord l’œuvre principale de Thomas Jefferson, homme des Lumières (à l’opposé de la Révolution française qui marque le déclin des Lumières…Il faut le dire !) inspiré par des philosophes comme John Locke ou Henry Home. Cette déclaration d’indépendance établit également les droits fondamentaux des citoyens basés sur les libertés individuelles et non plus sur des libertés collectives. Elle est d’abord respectueuse des hommes, elle  est porteuse de Libertés et elle a fait la force des USA.

Rappelons que le siècle des Lumières donnera la primauté à l’esprit scientifique, au contractualisme et à l’idée de tolérance. En l’espèce et comme dit plus haut, c’est le contractualisme lockéen (John Locke) qui inspira les concepteurs de la Déclaration d’indépendance. Une fois encore Locke est un homme de Liberté défendant les droits naturels comme la liberté individuelle et la propriété privée. Dès lors son contrat social intervient d’abord pour garantir ces droits au détriment de l’Etat qui serait tenté d’y porter atteinte. Locke est un libéral dans le vrai sens du terme. On remarquera, au passage et à ce propos, que la conception de Rousseau qui, hélas, inspira plus les continentaux que nous sommes, est très éloignée des idées de Locke. Pour moi Rousseau est un socialiste Aritcle qui coupe les cheveux en quatre en rendant compliqué ce qui est facile et évident. Avec sa théorie imbécile et contradictoire de l’homme, naturellement bon, corrompu par la société il nous invente une théorie contractuelle qui veut rompre avec le droit naturel en réduisant les libertés individuelles et en accordant plus de pouvoir à l’Etat. Son pacte social est une ânerie monumentale parce que l’Etat (ou la société) n’est rien en lui-même, il est tenu par les « hommes de l’Etat » et ces hommes-là, ne sont pas meilleurs que les autres, loin s’en faut (la corruption est partout), et on ne voit pas très bien en vertu de quoi, ces hommes-là seraient préférés aux autres pour décider de ce qui est bien ou de ce qui est mal, de ce que l’on peut faire et de ce que l’on ne peut pas. On ne voit toujours pas en vertu de quoi ces hommes de l’Etat feraient, eux, plutôt que nous (les citoyens lambda) primer l’intérêt général sur leur intérêt particulier. L’histoire récente nous démontre plutôt tout le contraire. L’arrivisme, le carriérisme, le corporatisme, la corruption, l’inamovibilité du personnel politique nous éclairent une fois pour toute sur les errements rousseauistes. Nous pourrons dire en toute certitude et en toute connaissance de cause que Rousseau s’est fichu le doigt dans l’œil jusqu’au coude et bien au-delà des orbites. Mais si l’homme n’est pas bon, il est ce qu’il est, il faut s’en accommoder et être réaliste plutôt que cultiver stupidement l’entretien des dogmes et des utopies. Une chose est maintenant certaine et devrait être acquise une fois pour toute ; Le monde politique est cent fois pire que le Peuple, c’est lui qui doit être limité dans ses actions et ce sont nos libertés de citoyens qui doivent impérativement être préservées. Alors plutôt Locke que Rousseau et plutôt la Déclaration d’indépendance américaine que la Révolution française qui instaura, la Terreur, la lutte des classes, le rejet et la haine de l’autre et qui fut, faut-il le rappeler, une source d’inspiration inépuisable pour Lénine qui déclara en citant Marx : " Si même nous nous emparions de Pétersbourg et guillotinions Nicolas, nous devrions faire face à plusieurs Vendée. Marx s’en rendait parfaitement compte lorsque, en 1848, dans la Neue Rheinische Zeitung, il évoquait les Jacobins : "La Terreur de 1793, disait-il, n’est que le procédé plébéien pour en finir avec l’absolutisme et la contre-révolution". Source (le plus marrant est que cette source vient du « Parti de Gauche », comme quoi, les valeurs, chez les uns ne sont pas celles des autres, vive la guillotine, vive la Terreur et vive Robespierre !)

Pour ma part, je me retrouve totalement dans ces valeurs, celles de la Déclaration d’indépendance américaine, Romney, lui aussi est porteur de ces valeurs, Obama en est tout le contraire, il est un désastre, il est une catastrophe. Nous devons tous, aux USA et en Europe, défendre une Amérique forte, fidèle à ses valeurs d’origines, une Amérique libre, intelligente, déterminée qui servira de modèle à tous les pays soucieux de préserver leurs Libertés contre les despotismes ou les utopies socialistes. Cette démarche est essentielle et elle est également nécessaire à la victoire de la démocratie sur la tyrannie. Si les USA s’écrasent, nous nous enfoncerons toujours davantage. Si Obama est incompétent, il est aussi un pitre pitoyable perçu comme tel par les dictateurs, les théocrates et autres ploutocrates qui l’observent. Il n’y a donc aucune obsession à vouloir le départ d’Obama, c’est une nécessité absolue parce qu’il s’agit tout simplement de la survie du monde libre, ce monde, censé être notre monde (mais est-il encore libre ?). 

Mais, certains trouveront toujours un bâton pour battre leur chien, le modèle parfait n’existant pas sauf, peut-être, avec les utopies socialo-communistes et théocratiques islamistes (Ha Ha Ha ! J’en ris, mais ne faut-il pas plutôt en pleurer ?).

Au moment où j’écris ces lignes, le premier débat entre Romney et Obama vient de se terminer et un vent de liberté semble de nouveau souffler aux USA, espérons qu’une déferlante balaiera enfin Obama-le-triste-sire pour le renvoyer d’où il vient…certes de pas très loin, mais surtout de pas bien haut !

Un lecteur de Lautrevoie ayant fait une carrière brillante aux USA  m’envoie à l’instant le message suivant, je vous le livre maintenant : « J'ai regardé le débat US hier de 3 à 5 heures du matin. Romney a écrasé Obama ... qui bafouillait et répétait des âneries. Le plus impressionnant, alors qu'on disait Romney mauvais orateur/débateur, celui-ci à taclé Obama sur tous les sujets, tout en gardant le sourire et en marquant un respect pour la fonction présidentielle. Je crois que la campagne prend une autre tournure et ce ne sont pas les sondages des instituts gauchistes qui vont contredire une vague de fond d'un besoin de liberté. Cette fois-ci, ils ne pourront plus cacher la forêt derrière l’arbre. La combine serait trop grosse, elle ne passerait pas. En fait tout le débat était : moins de gouvernement contre plus de gouvernement, moins d'interventions d'Etat contre plus d'interventions; et à ce sujet Romney a été brillant en "démolissant" les comités et autres groupes de cornichons de Washington qui veulent diriger les états et les citoyens malgré eux. J’ai vu Romney donner une belle leçon de Liberté, de compétence en économie, de maîtrise de soi et, accessoirement, de connaissance de ses dossiers à un nain de jardin fuyant le regard de l’autre en regardant ses pieds. J’ai enfin vu la stature d’un Président et elle n’était pas chez Obama, qu’on se rassure enfin, qu’on se le dise et qu’on le dise ! ».

Guy Millière sur Dreuz.info ne dira pas autre chose, il titrera « Obama KO debout », vous pouvez le lire ici Dreuz , même la presse américaine qui n’est pas particulièrement pro-Romney (la presse est toujours à gauche) a dû conclure à l’échec d’Obama. Le premier sondage publié, conduit par CNN et ORC International, a interrogé 430 personnes qui ont regardé le débat. 67% des personnes interrogées donnent Romney gagnant, contre 25% pour Obama Dreuz 

Mais vous me direz-vous, où se trouve la Belgique là-dedans, mais, comme pour les autres pays, sa liberté dépend directement des USA et de son alliance avec eux, quant à la Révolution française, elle a marqué profondément notre continent puisque la gauche et les syndicats sont, partout en Europe, d’inspiration marxiste-léniniste. Le jargon de la gauche et des médias (même privés !) est directement issu de la lutte des classes. Il y a 50 ans que j’entends toujours parler des « travailleurs », jamais de salariés, employés ou ouvriers, comme s’il fallait éternellement opposer ceux qui travaillent (les travailleurs) à ceux qui ne foutent rien…les employeurs ou les patrons sans doute.

Oh, stop les gars, ça use votre bourrage de crâne, à la longue, il faut redescendre sur terre.  

Pour en terminer, Marx et Lénine, comme on l’a vu, ayant été eux-mêmes, largement inspirés par les révolutionnaires et coupeurs de têtes français (si c’est pas beau ça !)…La boucle est bouclée, les jeux sont faits et l’Europe s’enfonce inexorablement.

Ma thèse ne changera jamais, tout est global (comme l’intelligence d’ailleurs), c’est ce que je veux montrer ou démontrer, tout se tient et les comportements de nos politiciens ou de nos médias vont tous dans ce sens-là, celui d’une mono-vue, d’une monoculture, d’une soumission irréfléchie aux dogmes et d’une étroitesse d’esprit affligeante. Chez nous TOUT tient à l’UTOPIE gauchisante, au mythe et à la pensée unique issue finalement des révolutionnaires français. L’Europe se trompe de modèle !

Rien n’est jamais remis en cause, les œillères restent bien en place, les cerveaux sont figés, bétonnés et hermétiques au raisonnement pragmatique. Il n’existe dans aucun parti politique de véritables réflexions sur des véritables choix de société novateurs, les vues sont courtes, elles sont obtuses, elles volent au ras des pâquerettes et elles ne prennent jamais de distance ou de hauteur. Nos politiciens ne tirent aussi des leçons de rien, ils ignorent ce que font les voisins, comme ils ignorent les leçons de l’histoire. Je dis souvent que ce sont des analphabètes économiques, mais, je crois que je me suis trompé parce que ce sont plutôt des analphabètes tout court doublés de prétentieux imbéciles !!!

Les dirigeants européens qui sont tout aussi dogmatiques et n’en sont plus à une bêtise près en ont d’ailleurs encore lâché une « bien bonne » sur « Télé-Matin » (5/10/12) par la voix de sa vice-présidente, Viviane Reding. Je ne reprendrai pas tout son discours qui m’agace au plus haut point, tant il est dans la lignée de ce que je déplore, la langue de bois habituelle très éloignée des réalités et des hommes. Je me bornerai à un extrait choisi que je laisse mot pour mot : « Lorsqu’on partage une monnaie on partage un avenir et donc il faut des politiques pour renforcer cette monnaie, pour que cette monnaie soit forte pour qu’elle puisse servir de créer de la recherche, donc c’est cela qu’il faut fédérer au niveau européen. »

Je lui répondrai ceci : Non Madame, on ne partage pas une monnaie européenne naturellement, vos pairs nous ont imposé une monnaie théorique et arbitraire au forceps, certains pays en crèvent aujourd’hui. Pourquoi, tant que vous y êtes, ne pas imposer « votre » euro à la Guinée-Bissau, à la Papouasie, au Liberia ou au Lesotho, ce sera finalement du même ordre de ce que vous faites subir à l’Europe, le domaine de l’arbitraire, du dogme, du monde à l’envers et du n’importe quoi. Quant aux politiques pour renforcer l’euro dans le but de créer de la recherche…je vous laisse le soin de vous expliquer vous-même…parce que, selon moi, il n’y a rien à comprendre dans cette curieuse affirmation si « joliment » exprimée. Enfin, vous avez raison, vous devriez être payée +/- 25.000 €/mois (salaire d’un commissaire européen auquel on ajoute 41.334 € en frais d’installation –entrée en fonction- et 20.667 € - sortie de fonction- source LeJournalduNet), à ce prix, on ne doit pas se tromper…en principe, on peut toujours rêver !

Puisque je parlais d’analphabètes, que nous concoctent nos politiciens belges en ce beau moment de période électorale ? 

Ils nous pondent des propositions navrantes à l’image de ce qu’ils sont, le zéro absolu. Sans rire et avec le plus grand sérieux, le parti socialiste avance 1000 propositions pour la ville à Bruxelles Article . Que tout cela est cohérent pourquoi pas 100.000 propositions tant qu’on y est, quelles sont ces propositions, faire des dettes et créer plus d’impôts ? Dans l’article de L’Avenir je ne vois pas grand-chose, sinon que pour favoriser l’emploi et l’économie, ces écervelés mono-neurones veulent créer un guichet unique (génial non !), soutenir la création d’entreprise (comment, en écrabouillant tous les entrepreneurs de taxes ?) ou encore miser sur la poursuite des grands projets urbains ou des grands évènements (des dettes et des déficits publics, c’est ce que je disais). Non franchement, en matière d’économie, la seule grande nouvelle serait que ces socialistes, véritables doctrinaires analphabètes économiques, arrêtent de nous polluer avec des propositions ineptes et qu’ils disparaissent d’une plaine de jeu (l’économie doit être un jeu pour eux) dont ils ignorent toutes les règles. S’il y avait une seule prière à faire, ce serait celle-ci : Mon Dieu faites qu’ils partent immédiatement et sans délai, nous crevons de leur ignorance, de leur incurie et de leur bêtise, c’est insupportable, qu’avons-nous fait pour supporter tant de souffrances, tant d’injustices ! 
Si l’idéologie ou l’utopie socialiste dirige l’Europe, elle n’est pas la seule. Dan Levy sur Dreuz et Dreuz  nous expliquera avec brio l’existence d’un autre extrémisme, celui du « consensualisme » reposant sur un conformisme intellectuel strict, monolithique et universel censé mettre un terme à toute forme de conflits, sinon les faire disparaître entièrement.

Sur ce thème, tout conflit est néfaste, condamnable et doit être évité, peu en importe le prix. Les accords de Münich en sont un triste exemple, ils feront dire à Churchill cette formule connue de tous : « ils devaient choisir entre le déshonneur et la guerre. Ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre ». Au-delà de cela, j’ajouterais que ce consensualisme idéologique s’est répandu comme une tâche d’huile, il touche tous les domaines, même les plus modestes, il fera aussi que nos dirigeants européens baisseront l’échine et la garde devant la montée de l’islamisme ou de l’islam dans nos pays.

Le plus amusant là-dedans (si on peut dire) c’est que les détenteurs ou plutôt les maîtres d’œuvres de cette idéologie du consensus, nos politiciens chéris, n’ont absolument pas conscience du fait qu’ils imposent aux populations un régime politique basé sur un nouveau dogme ou sur une nouvelle utopie malfaisante (encore un/une autre !).  Cette idéologie souterraine du consensus qui est soutenue par tous les médias est particulièrement perverse parce qu’elle frappe en silence et dans la paix apparente. Si elle est perverse, elle est aussi complètement fausse,  parce que médias et politiques écrasent sous une chape de plomb tout ce qu’ils ne veulent pas entendre. Non seulement ce consensus n’est qu’apparent parce qu’il n’existe pas dans la population, ensuite cette idéologie agit comme le cholestérol ou comme une tension artérielle trop importante, asymptomatiques, qui tuent sournoisement et sans s’annoncer parce que, c’est bien de cela dont il s’agit, la mort de nos civilisations, une mort voulue par bêtise, par lâcheté, par facilité, par ignorance, par suivisme, par cupidité (l’argent du pétrole) et par la culture des valeurs inversées. Nos démocraties molles et « consensuelles »  laissent tout faire au nom de la liberté de penser, mais elles laissent surtout faire les criminels (les droits de l’homme sont plutôt les droits des délinquants que la défense des droits des victimes) et les barbares comme elles font aussi stupidement l’impasse sur l’islam qu’elles refusent de voir comme il est, une religion qui s’érige en modèle sociétal complet totalement incompatible avec les valeurs naturelles et celles d’une véritable démocratie. Certes, nos « politiques » tapent un peu sur l’islamisme comme s’il était une particularité rare, limitée, ou fantaisiste d’un islam global de paix et d’amour. Or les islamistes ne font rien d’autre que lire le coran, les hadiths ou suivre le prêche d’imams remplis de haine à l’égard du monde non musulman. S’il y a bien une chose à revoir c’est le coran, tous les textes qui gravitent autour et toute cette religion de rejet et de haine de l’autre. A ce propos, on pourra me relire ici 

Ce monde consensuel n’est donc, en définitive, qu’une apparence car il cloue le bec à tout ce qui n’est pas dans la ligne, leur ligne celle du consensus…mais du consensus avec le diable. 

Comme je le disais plus haut, nous avons failli à Münich, mais l’histoire se répète (elle se répète toujours !), les crétins, sans discernement, sans tête et sans tripes (j’avais pensé à un autre mot, mais il est peu poli !) bazardent notre civilisation à des gauchistes et à des barbares qui n’ont aucun sens des valeurs de l’humanité, notre humanité, celle que nos ancêtres, nos philosophes et nos grands-penseurs ou scientifiques ont mis tant de temps et d’efforts à bâtir. Ces crétins ont abdiqué depuis longtemps, ce sont des idiots et des lâches car abdiquer c’est perdre, et ça et ça, je l’ai déjà dit !

Restons confiants, mais, confiants en nous-mêmes et pas en ceux qui nous dirigent. Le combat est en route, rien ne l’arrêtera et nous vaincrons si nous y mettons le cœur, le courage, l’intelligence et la plus forte détermination.

Un mot pour ceux qui douteraient encore de la nuisance de l’islam pour nos libertés. Après avoir lu Guy Millière, JP Grumberg, M.Garroté, AM Delcambre, Rosaly  sur Dreuz.info et d’autres ailleurs il est aisé de constater que l’islam est incompatible, totalement incompatible avec nos valeurs. Des crimes épouvantables sont commis au nom d’Allah, c’est un fait, il n’y a que les islamistes qui massacrent à tour de bras sur notre planète, faire mine de rechercher des extrémistes dangereux ailleurs, chez les chrétiens ou chez les juifs, par exemple, dans le but unique de ne pas « stigmatiser » ou d’isoler les musulmans dans la criminalité religieuse relève de l’imposture totale et du mensonge absolu. J’entendais encore un idiot utile, commentateur « autorisé »sur une grande chaîne française dire avec conviction, il y a quelques jours : « L’islam est une religion d’amour et de paix ». Tu parles Charles, la démonstration du contraire nous en est donnée tous les jours. Comme je l’ai déjà écrit ;  J’attends encore que des musulmans « modérés » nous rejoignent dans notre combat pour la Liberté, pour la Vie, pour le respect des femmes, pour le respect de toutes les religions et des juifs en particulier, pour la reconnaissance d’Israël…Bref pour la modernité et pour le 21em siècle !!!

Il fera peut-être chaud au pôle nord avant cette échéance, ce n’est pas une raison pour nous laisser faire. Pour ma part, je n’abdiquerai JAMAIS (malgré les tentatives de l’OCI auprès des USA et de la Commission européenne pour faire interdire toute critique de l’islam). Cette religion doit être réformée et certains textes revisités ou proscrits quand ils appellent à la haine de l’autre et à leur assassinat. Oui je sais, le coran est incréé, il est la parole d’Allah, il est donc incontestable, il ne peut pas faire l’objet de critiques, de réformes, de débats et blablablabla….Si les mahométans veulent rester sur ce terrain, évidemment, ce n’est pas gagné,  par contre, j’ai la conviction intime que la majorité des musulmans, s’ils étaient libérés de la pression de textes criminels et des imams sanguinaires, pourrait se fondre, avec nous, dans la modernité. Il est évident que la plupart des musulmans sont des braves gens, victimes, comme nous d’une lecture stricte du coran et des hadiths. On ne peut pas rejeter 1.3 milliards d’êtres humains d’un simple coup de balai. Mais il n’y aura que la fermeté qui permettra le progrès en ce domaine, la capitulation n’apportera que l’augmentation des abominations et de l’horreur. La mollesse ou la lâcheté nous conduisent droit dans le mur. Il faut délimiter une frontière nette entre l’acceptable et l’inacceptable et sanctionner sévèrement le non-respect de cette limite.

Quant à la caricature, tellement à la mode ces temps-ci, elle fait partie de la liberté d’expression, elle est non seulement compatible avec la démocratie, mais elle est surtout souhaitable. La limite au droit de la presse commence avec la diffamation et cela, c’est l’affaire des tribunaux et seulement des tribunaux.  Interdire la caricature, c’est comme brûler des livres (suivez mon regard vers le 3em Reich) et comme disait Heinrich Heine ; « Là où on brûle des livres, on finit aussi par brûler des hommes » (resuivez mon regard et comprenez que brûler, couper les gorges ou décapiter, tout ça c’est choux verts et verts choux). Alors, regardons aussi le passé, même les ânes (dit-on) ne buttent pas deux fois sur la même pierre, ne soyons donc pas plus bêtes qu’eux et ne commettons plus les mêmes erreurs. Voici, pour information un texte de Charles Amblon sur la vraie nature de l’islam Article , le site général de l’ASBL qui met en ligne cette publication étant www.nonali.com .

On sait également que l’Europe baisse les bras devant la montée des exigences de l’islam et de l’OCI (Organisation de la coopération islamique) au nom de ce consensus mou, honteux et défaitiste que je viens de décrire. A ce propos, le 22 septembre 2012, le président du parlement européen (un rouge désigné par ses pairs) Martin Schulz déclara : « L’islam et les valeurs occidentales ne s’excluent pas », il ajoutera : « Je suis profondément convaincu et je l’ai dit à mes deux collègues que l’islam et les valeurs occidentales ne sont pas incompatibles, nous devons fusionner nos valeurs et nos opinions ». Alors, non seulement ce type est un parfait idiot qui devrait apprendre à lire les textes de haine contenu dans cette religion de paix et d’amour, mais il devrait aussi s’inquiéter des crimes épouvantables commis au nom d’Allah. Accessoirement, il pourrait aussi respecter la liberté de parole, donc de questionner (qui en découle !?) du journaliste hollandais auquel il refuse de répondre après lui avoir donné un rendez-vous. En effet, il préfèrera le mettre tout simplement à la porte en prenant, pour sa part, ses jambes à son cou. Lâche, idiot, grossier et dangereux pour notre démocratie, voilà le profil de cet abruti, à la tête du parlement européen. Quelle belle leçon de démocratie venant d’un homme exerçant de telles fonctions. Est-il à sa place ? Assurément pas ! Dreuz  . Vous me demandez s’il est gêné le sieur Schulz, non, pas du tout, il s’en fiche complètement, il plane sur les hauteurs des institutions européennes auxquelles il s’accroche avec délice et il vous ignore totalement. Alors, juste pour le « très mauvais élève Schulz », voici laSourate 5, verset 33 [V,37] : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment. » (Source, La nature de l’islam par Charles Amblon). Mais papa Schulz, trouve cela compatible avec les valeurs occidentales. Moi, ce que je trouve surtout, c’est que mon pied est fort compatible avec les fesses de cet imbécile et je reste gentil et modéré !

Pour en terminer, aujourd’hui, avec l’islam et ses dérives, je vous livre maintenant la fin d’un article de Gilles-William Goldnadel que vous pourrez lire ici 

GW Goldnadel : « Pour éviter toute spéculation intellectuelle, je vous livre ci-après, sans le moindre commentaire, ce qu’on trouve à présent sur le site officiel du nouveau gouvernement égyptien et vous renvoie à la lecture de l’article de M. Ayad. Je vous conseille de le serrer précieusement, car il pourrait hélas rejoindre dans notre mémoire collective celui de son confrère Patrice De Beer, décrivant benoitement l’entrée des Khmers rouges dans Phnom-Penh. »

Site du gouvernement égyptien : «Sur quelle base une réconciliation durable entre musulmans, juifs et chrétiens peut-elle se fonder ? Nous devons comprendre que dans les circonstances actuelles, aucune amitié n’est possible. Les juifs et la chrétienté se sont associés pour nous détruire et détruire tout ce que nous chérissons. Le sionisme, la franc-maçonnerie, l’activité missionnaire et l’orientalisme se sont combinés pour nous annihiler sur le plan spirituel, sur le plan culturel et même sur le plan physique. Ce serait folie pur et simple que de baiser les mains qui nous frappent. (…).Nous devons établir un état islamique solide dans lequel le monde verra nos préceptes transcrits en action. Enfin nous devons écraser les conspirations du sionisme, de la franc-maçonnerie, de l’orientalisme et des missions étrangères avec la plume mais aussi avec l’épée. Nous ne pouvons offrir la paix et la réconciliation aux gens du Livre sans les avoir humiliés et sans avoir pris l’ascendant sur eux…».

GW Golnadel n’a pas jugé utile de faire de commentaires sur ce texte, je n’en ferai pas non plus. Cet extrait est si fort, si choquant, si abjecte qu’il s’impose à tous sans qu’il faille ajouter une note d’explication. Nous aurions envie de hurler, de taper du pied ou de donner des coups de poings dans le mur, à défaut d’autre chose…Nous n’en ferons rien et prendrons simplement acte de cette terrible déclaration dans sa force brute et dans toute sa violence, refusant ainsi d’ajouter des mots aux mots quand les mots parlent déjà tout seul. A chacun de juger et à Martin Schulz de se déjuger !

Je le disais plus haut, l’Europe baigne en plein dogme, elle cultive d’abord le dogme, tous les dogmes parce que l’antiracisme est également devenu une idéologie au service de la perte de notre civilisation, de notre culture, de notre intelligence et de nos valeurs. Cet antiracisme militant qui va exclusivement du « Blanc » aux « non-Blancs » a réussi à culpabiliser les occidentaux, à les rendre honteux en les figeant définitivement et sans appel dans leur position d’anciens colonisateurs et d’exploiteurs de l’Afrique et des africains. Cette idéologie malsaine a décidé une fois pour toute où étaient les exploiteurs et où étaient les exploités, qui sont les bourreaux et qui sont les victimes, elle fait fi de la réalité historique (quid des barbaresques et des conquêtes de l’islam ???) et balaie de façon péremptoire, définitive toutes les objections mais elle veut surtout réécrire l’histoire à l’image des mensonges qu’elle colporte. Aujourd’hui des voix s’élèvent et condamnent cette attitude, même Jean-François Copé, patron de l’UMP, en France, y va de son couplet dans son livre,  « Manifeste pour une droite décomplexée » . Ravi que l’UMP s’y mette, mais pourquoi aujourd’hui seulement et pas hier. Moi, ce racisme anti-Blancs, je le connais depuis au moins 30 ans, mais, à la différence de l’UMP, je ne suis pas aux affaires de l’Etat et je n’y étais pas davantage hier, donc je vois plus d’opportunisme dans cette attitude que de franchise réelle et je ne ferais pas confiance à un homme qui tourne sa veste au gré des circonstances.

Pierre-André Taguieff écrira sur Dreuz.info : « En France, le communautarisme, qui favorise et alimente le rejet des « Blancs », est encouragé par une propagande islamiste hostile à l’intégration des musulmans. Elle est le véhicule d’un rejet haineux de l’Occident et de ses valeurs, racisme culturel visant particulièrement les chrétiens et les Juifs. »  Article 

Taguieff a parfaitement compris la double portée de cette idéologie raciste qui frappe les Blancs d’un côté et qui favorise la propagande islamiste de l’autre. Nous voilà donc deux fois victimes, quand on nous crache dessus d’abord et quand, ensuite, on dénie notre civilisation.

En conséquence de tout ce qui vient d’être dit, je ne crois plus en nos démocraties du nivèlement par le bas, de la culture de l’ignorance, de l’imposture, de la lâcheté et de la courbette à l’islam et à la tyrannie socialiste. Comme je l’ai souvent écrit, nos démocraties sont des particraties issues justement de toutes ces idéologies (Révolution française et rejet des valeurs naturelles, consensualisme, antiracisme unilatéral) néfastes à nos libertés et à nos droits élémentaires. Il est navrant de détenir un beau projet de société basé sur la Liberté, l’efficacité, le bon-sens, un solide réalisme, la connaissance de l’économie et des hommes, la Vérité et la solidarité réelle, pas cette solidarité du mensonge et de la haine chantée par Marx et ses adeptes diaboliques pour constater ensuite l’impossibilité quasi matérielle de faire changer les choses. Pour ma part, je suis au-delà de nos pseudo-démocraties vulgaires et imbéciles, je suis ailleurs, je surfe sur des idées franches, nettes et sans ambiguïté qui établissent la frontière absolue entre le Bien et le Mal, même si je comprends aussi le pardon, mais,  le pardon ne doit pas tout justifier, tout excuser et occulter l’essentiel, ce qu’on peut faire et ce que l’on ne peut absolument pas. En deux mots je suis un réaliste, mais aussi un idéaliste, parce que le réalisme est peut-être un peu froid sans une part de rêve, cette part de l’idéal que l’on n’atteint jamais.

Nos politiciens démocrates sont des girouettes, sans courage, sans âme et sans tête qui « suivent le vent » ou le sens de l’histoire, toujours le même sens d’ailleurs, vers la gauche ou vers le bas, contre notre culture et contre notre civilisation. C’est plus facile et ça ne demande pas de boulot, pas de réflexion, juste du suivisme, on fait comme tout le monde, comme tous les médias (à gauche) et comme cette Europe administrative (soi-disant libérale mais à gauche aussi) qui a un nouveau pote « Obama I d’Amérique » qui fait tout ce qu’il peut pour détruire l’Amérique des Pères Fondateurs. Que du beau monde !!!

A mon sens, la démocratie doit d’abord être le lieu de la Liberté, du bon-sens (ce n’est pas ce qu’on apprenait à l’école !) et de la Vérité. Pourtant, quand je regarde ceux qui nous gouvernent, je ne vois rien de tout cela, ils nous bouffent nos libertés, ne connaissent pas le bon-sens, quant à la vérité, il doit s’agir d’un mot dont ils ignorent jusqu’à l’existence !

En conclusion, je dirais que l’Europe suit de mauvais guides, ceux qu’elle puise dans la Révolution française, dans l’idéologie du consensualisme et de l’antiracisme, elle tourne le dos aux valeurs naturelles, elle préfère le dogme, tous les dogmes, elle étouffe nos libertés, elle décourage nos initiatives, elle tue notre économie et elle ne finit pas d’installer une cohorte d’oligarques à la tête d’une administration publique et politique pléthorique, prétentieuse, inefficace surpayée et totalement incompétente.

Si le diable est dans les détails, le génie l’est aussi. C’est justement l’accumulation de ces petites choses ou de ces « détails » (les règles et les dogmes absurdes) qui nous coulent, ne pas le voir fait partie du processus volontaire ou involontaire de destruction de notre civilisation. Le remède est pourtant là, dans cet ensemble de petits éléments qu’il faut corriger ou totalement reprendre pour reconstruire une société nouvelle, juste, équitable, intelligente qui laissera enfin la priorité aux hommes, à leur bon-sens et à leur liberté.

Pour terminer par une note positive, mais, hélas, elle ne vient pas de chez nous…comment se porte la Suisse ?

Elle va très bien et elle vous remercie du fond du cœur. Pour être franc, elle ne doit son succès qu’à elle-même parce qu’elle a su garder sa neutralité, c’est-à-dire ; son intelligence, sa liberté (économique aussi), sa créativité, son indépendance, sa démocratie réelle, son rejet des minarets, sa culture, son histoire et ses racines. En terres helvétiques, les charges et les impôts sont modérés, les salaires sont bons, le taux de chômage moyen pour l’année 2011 s’établissait au plan national à 2.8% (source : Département fédéral de l’économie-septembre 2012), maîtrise des finances publiques (dette publique 34.9 % du PIB, PAS de déficit public), balance commerciale excédentaire, mais surtout, les suisses ont gardé leur monnaie et ils sont maîtres de leur politique monétaire. Oui, il y a bien un petit point noir, victime du succès de l’économie helvétique, le franc suisse est naturellement fort et les pauvres touristes européens désargentés renâclent un peu à passer des vacances dans ce pays de cocagne tant ils sont empêtrés avec leur euro faible (et artificiellement soutenu) et leur économie socialisante moribonde.

Mais ce n’est pas grave, l’échec, on aime ça, en terre d’Europe, nous continuerons à élire les mêmes idiots inutiles, ceux qui se foutent de nous et coulent sans vergogne notre économie. Nous continuerons aussi à regarder la Suisse comme un paradis fiscal honteux, injuste qui favorise les riches et vit de la finance, celle qui dépouille scandaleusement le peuple, vit sur son dos et profite de sa sueur.

Evidemment la Suisse ce n’est pas ça, c’est même tout le contraire, à dire vrai, elle pourrait nous donner des leçons sur tous les points (comme décrit plus haut !). J’aime tout en Suisse et je la vois plus comme un modèle dont les crétins qui nous dirigent (pas !) devraient s’inspirer plutôt que de s’attacher à d’éternels schémas utopiques, liberticides et mortifères.

Comme dirait l’humoriste Lafesse : «  Pourvu que ça dure ! »

Devant un tel désastre de la pensée, je commence à m’interroger solidement sur la santé mentale des hommes et, en cette période électorale, je me demande si je ne vais pas plutôt voter pour mon chat, il s’appelle Poupousse (pas très original !), faites comme moi !