La révolte des agneaux tondus

L'union fait la force

Posté par ATB le 20 octobre 2011

Je suis exaspéré par la situation politique et par les bouffons qui nous dirigent. Vous ne me connaissez pas parce que comme vous, je ne suis personne….

Comme vous tous, je suis un inconnu, un obscur, une espèce de sans grade, je ne suis pas sous les projecteurs, les medias ne me connaissent pas, je ne suis pas un personnage public, en un  mot je suis un anonyme parmi les anonymes… je suis un peu comme un rat dans la calle d’un navire !

Et qui se soucie des rats ? Personne… surtout pas ceux qui nous dirigent !

Pourtant, nous ne sommes pas des rats, seulement des agneaux tondus, mais nos dirigeants nous traitent comme des rats parce que nous sommes trop gentils ! 

Comme vous et à ce titre uniquement,  je n’ai aucune légitimité et les gens en place se fichent éperdument de ce que je pense,  de ce que nous pensons !!

Est-ce normal ? Tous s’en accommodent, mais, dans le fond, il n’y a rien de démocratique en cela !

Le fait d’être inconnu ne fait ni de moi, ni de vous un minus, un ignare ou un incapable qui ne mérite pas d’être écouté !

D’ailleurs, la valeur d’un homme ne repose pas sur sa célébrité ou sur son argent. Il y a des millions de belges, de toutes origines, brillants ou performants qui sont parfaitement inconnus simplement parce qu’ils n’ont pas un métier public. Nous vivons une époque absurde où l’on confond célébrité et compétence.

Prenons nos politiciens… ils sont connus, parfois célèbres, mais ils sont aussi rarement compétents, loin s’en faut !

Il suffit de regarder ce qu’ils font, parce que pour dire vrai, ils ne font rien, ils font de la politique qui est l’art de ne rien faire et de faire croire le contraire !

Je suis agacé, énervé, totalement dégouté par cette caste immuable de privilégiés, cette élite autoproclamée par elle-même et par le système qui occupe le terrain sans partage. Ces politiciens professionnels sont des catastrophes, ils crânent, ils prennent des grands airs avec les dossiers, qu’on leur prépare, sous le bras, mais ce sont souvent des tonneaux vides qui n’ont, en général, aucune expérience réelle. Ils se sont, souvent, lancés en politique dès leur plus jeune âge pour faire carrière, au lieu de faire carrière pour mettre ensuite et seulement leur expérience au service de la Nation.

Ils ne produisent rien, ils n’entreprennent rien, ils n’ont jamais créé un seul emploi de leur vie, ils n’ont pas d’idées, ils n’ont pas d’imagination,  ils n’ont aucune solution réelle et ils prétendent nous diriger !

Quel paradoxe, quelle bêtise et quel non- sens !!!

Ces politiciens pensent d’abord et surtout à leur carrière politique et à leurs nombreux privilèges  avant de penser à la population qu’ils sont censés représenter, défendre et honorer.
Ils nous ruinent, ils ruinent le pays, ils ont multiplié les structures,  ils ont régionalisé, divisé le pays, ils ont multiplié les emplois… pour eux-mêmes, pas pour nous (d’ailleurs comment feraient-ils ?)

Ils ont créé 6 gouvernements, 6 parlements, des structures, des asbl, des comités, des commissions, enfin, des tas d’organes ou de structures parfaitement inutiles pour se placer eux-mêmes avec les petits copains !

Ils sont aussi à l’origine de l’insécurité grandissante parce que la police n’est plus à sa place et qu’elle n’est pas soutenue par ceux qui nous dirigent. Quelle image avons-nous de notre police sinon celle qui met des radars partout sur nos routes, pas aux endroits les plus dangereux, mais là où cela rapporte le plus, et qui bouscule les manifestants. Pourtant cette image est aussi tronquée parce que notre police est également ailleurs, elle fait ce qu’elle peut, avec les moyens qu’on lui donne, pour lutter contre la délinquance. Mais cette police-là, on ne la voit pas, on oublie qu’elle existe, pourtant elle est utile, courageuse et elle nous sert dans l’ombre.

Ils ont aussi plongé nos pays dans tant de dettes que nos Etats sont en faillite. Au lieu d’être honteux, de faire profil bas et de rentrer chez eux, la queue entre les jambes, nous devons les soutenir, les plaindre et les laisser en place dans un grand jeu de chaises musicales qui leur est réservé. Ils nous parlent de faire ceinture, mais ils sont responsables de la situation dans laquelle nous sommes, alors s’il faut soutenir nos pays, soit, mais sans eux. Qu’ils aillent au diable, qu’ils aillent se cacher et qu’ils arrêtent de  nous la jouer en maîtres du monde absolus. Nos démocraties n’ont pas engendré des hommes d’Etat digne de ce nom, elles ont engendré des pitres, des zouaves et de vains prétentieux. L’avenir doit se faire sans eux.

Il faut maintenant en finir avec ces politiciens opportunistes, ces donneurs de leçons qui jouent les grandes âmes, les humanistes, les démocrates ou les professeurs et qui montrent du doigt celui qui ose montrer sa colère, son désaccord ou son indignation. Vous verrez on dira que je suis poujadiste, populiste ou extrémiste simplement parce que j’en appelle au bon sens  et que je leur mets le nez dans leur…confiture (restons polis…)!

Or je ne suis rien de tout cela, je suis un type normal, un vrai démocrate qui veut rendre sa place au Peuple et qui se sent abusé depuis si longtemps par ceux qui nous dirigent sans partage et sans nous écouter ou nous entendre !

D’autres encore diront que je suis véhément, parce que le ton que j’utilise parfois ne leur plaira pas. Pourtant, je ne le suis pas du tout, je suis passionné, motivé et surtout indigné par tant d’incompétence et de vanité. Or, l’indignation ne se susurre pas timidement dans les oreilles, ce n’est pas un chuchotement à peine audible, l’indignation est  comme la colère, elle s’exprime avec la force extrême du désespoir parce qu’elle est la tempête de nos sens !

Nous sommes  la force vive de la Nation, il ne faut pas l’oublier. Nous sommes l’armée des anonymes, véritable armée des ombres qui crée les emplois et qui remplit les caisses d’un Etat vorace que ces politiciens ont imaginé pour eux-mêmes et pas pour nous. Nous sommes leurs esclaves, ils abusent de nous tous et ils se fichent de nous.

Voici un plus d’un an que ces « politiciens de génie », c’est eux qui le disent, forts satisfaits d’eux-mêmes, sont incapables de former un gouvernement tant ils se chamaillent, ergotent ou se disputent. Ce sont de vrais enfants gâtés qui se roulent dans le pouvoir avec délice pour eux-mêmes et désintérêt des autres !

Soudain, après 485 jours ils nous ont sorti un accord de misère, un accord, à l’image de ce qu’ils sont…fort peu de chose.

Ces véritables apparatchiks du système confondent surtout l’intérêt supérieur de l’Etat avec leur petit intérêt personnel.

Mais, dans le fonds qu’ont-ils fait pendant tout ce temps et que font-ils maintenant, parce que si accord il y a, gouvernement il n’y a toujours pas. C’est la vraie question, parce que l’on en sait peu de chose. Ils communiquent peu sur le sujet, mais une chose est certaine ils touchent toujours leurs gros salaires !

La réponse est simple…Comme toujours,  ils ne font rien, ils font leur politique, celle qui consiste à penser à leur avenir et pas au nôtre !

Ils sont le ver dans le fruit, nous sommes le fruit et nous sommes l’arbre. Ce n’est pas l’arbre qu’il faut couper ou le fruit qu’il faut jeter, c’est le ver qui doit être éliminé. Il faut défaire ce qu’ils ont fait pour tout reconstruire ensuite. Nous sommes tous capables de nous entendre, nous le voyons tous les jours, belges francophones, néerlandophones ou  germanophones. Quelle différence entre nous, aucune !

A y regarder deux fois…Ces politiciens nous divisent pour servir leurs intérêts, on ne leur a pourtant rien demandé !

Alors, ne nous laissons plus faire, regroupons nous, sortons des sentiers battus, laissons ces partis vieillots avec leurs contradictions, leur guéguerre et leurs coups de gueule stériles. 
Renvoyons- les chez eux et prenons notre avenir en mains.

Rejoignez moi dans ma lutte, unissons- nous et bâtissons, ensemble, une société de liberté ou le citoyen de base, le citoyen anonyme, sera enfin entendu et écouté.

Nous devons absolument sortir de ce cercle infernal dans lequel nous sommes retenus prisonniers depuis tant d’années par les mêmes opportunistes… eux, leurs fils ou leurs filles.

Que faire, alors ?

- D’abord nous regrouper dans un ensemble neuf en dehors des partis existants pour éviter qu’ils ne s’accaparent d’une victoire qui ne sera pas la leur. Si nous ne formons pas une masse cohérente, nous ne serons rien, nous ne représenterons rien et nous retournerons à rien. C’est ce qu’ils veulent, nous ne serons aidés par personne parce que les forces en place ont horreur du changement, Ils veulent rester à n’importe quel prix et ils sont prêts à tous les parjures pour ça. La politique n’a pas d’honneur, elle est vile, elle est malsaine et elle nous a menés où nous sommes aujourd’hui.

- Il faut rétablir les valeurs naturelles, j’entends déjà  battre les tambours des bons démocrates, Je veux dire ceux qui se croient les bons démocrates et qui ont droit à la parole !

Ils vont me dire : on connaît la rengaine, les valeurs naturelles c’est l’exploitation du faible par le fort et ça, ce n’est pas la démocratie !

Evidemment il ne s’agira pas de ça, mais plutôt du don de soi, du culte et du respect du travail bien fait, de la recherche de la perfection, de l’envie de toujours s’améliorer par les études ou dans son boulot, de la solidarité, la vraie solidarité naturelle entre les hommes pas celle de pacotille imposée par nos Etats avec leur redistribution arbitraire, injuste et totalement inefficace…, il s’agira aussi du sens de l’honneur, de la parole donnée, du respect que l’on doit à nos parents, à nos aînés, à nos professeurs, à quiconque nous assiste sur le chemin de la vie….
Bref…des choses si simples, si naturelles mais si souvent oubliées.

- il faut Une Belgique unie à l’image de notre population qui est dynamique, entrepreneuriale, intelligente, polyglotte et largement appréciée au-delà de nos frontières.

- il faut plus de liberté et moins de contraintes administratives, les PME, les artisans et les indépendants sont les plus gros employeurs du pays. Ce ne sont pas les profiteurs, les exploiteurs ou les fraudeurs qu’on nous présente trop souvent, ils sont tout le contraire de ça !
Ils sont aussi l’économie du pays et les petits entrepreneurs d’aujourd’hui ne sont pas ceux de demain, parce que ceux-là sortiront du rang, ils viendront du Peuple et cette naissance sera impossible si, avant de naître, ils étouffent déjà sous les charges, sous les contraintes et sous le mépris !

Personne ne veut de privilèges, chacun veut simplement profiter du fruit mérité de son travail. La prise de risque doit être encouragée, elle doit être respectée et elle doit être rémunérée plus justement.

- il faut plus de sécurité, les délinquants doivent être punis sévèrement. Le laxisme actuel ne profite qu’aux voyous qui sont souvent impunis et qui se moquent des braves gens. Les assassins doivent être condamnés à la perpétuité, plus de peines compressibles, plus de libération anticipée pour les tueurs, les agresseurs violents qui s’en prennent, armes à la main à la population démunie devant la barbarie.

- Il faut rendre le pouvoir à la population en instaurant le référendum et l’initiative populaire à l’image de la Suisse qui est une vraie démocratie.

- il faut rejeter notre particratie anti-démocratique qui vole véritablement notre conscience politique parce que nous n’avons rien à dire malgré le suffrage universel. Notre démocratie est devenue  une farce, une très mauvaise blague. Notre pays est totalement laissé aux mains des partis politiques. Ce n’est pas normal. Qu’ont-ils fait pour mériter ce privilège, on se le demande !

- Il faut utiliser Internet pour écouter  directement la population sans les interfaces inutiles ou couteux que les esprits tortueux  mettent en place.

- Il faut avant toutes chose mettre de l’ordre dans les finances de l’Etat de manière drastique parce que, soyez en sûrs, cela n’a jamais été fait !

- Il faut moins d’impôts parce qu’il n’est pas normal d’être ponctionné à la mesure de ce que nous le sommes en Belgique. D’autres pays ont un taux maximum de 10 ou 15 % alors que d’autres encore pratiquent un impôt NUL sur les revenus du travail. Nous devons nous aligner sur les meilleurs et pas sur les derniers de la classe,  parce que les richesses doivent  d’abord se créer avant d’être partagées. Les impôts trop hauts pénalisent d’abord les petits en lessivant les classes moyennes avant  seulement de s’en prendre aux plus gros. La richesse économique va de pair avec peu d’impôts et peu de charges sur les salaires. La solidarité naturelle n’est pas de taxer les uns à 25 % et les autres à plus de 50 %. Passons à un taux UNIQUE de 10 ou 15 % qui dynamisera notre économie en motivant ceux qui entreprennent et en donnant plus de pouvoir d’achat à toute une population. Les salaires nets sont beaucoup trop bas et ce sont justement les bas et les moyens salaires qui trinquent en premier en laissant les gens dans la précarité.

Moins d’impôts sera aussi plus équitable etpermettra de faire face, plus facilement, aux défis que nous lancent la Chine ou l’Inde. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre !

- Il faut un monde juste et ce monde doit être un monde où chacun peut vivre de son travail. Or, aujourd’hui les très riches deviennent de plus en plus riches et les salariés, les petits entrepreneurs et les plus démunis  sont exploités. La spéculation a creusé l’écart entre les riches et les très riches, véritables rois du monde servis par une caste politique mondialiste et transnationale qui leur mange dans la main. Cela doit cesser !

Mais la réponse à ces injustice n’est pas dans la collectivisation de la société parce que nous savons que le collectivisme a conduit partout, où il s’est installé, à la paupérisation des masses et à l’édification d’une classe politique dictatoriale et hyper privilégiée. La liberté économique ne doit pas être remise en cause mais ce sont les abus des oligarques internationaux privés ou publics qui doivent être condamnés. Il est indigne que certains privilégiés prennent des millions ou cumulent les mandats pendant que les autres crèvent la fin.

- Il faut supprimer toutes les niches fiscales, sociales et remettre à plat ce qui ne donne des avantages qu’aux uns et pas aux autres.

- Il faut respecter l’environnement, mais, pour ça, il faut s’attaquer aux vrais problèmes, pas au CO2 qui est un  vrai faux problème qui occupe toute la place et qui est surtout un prétexte supplémentaire à nous taxer de façon imbécile et arbitraire. Que fait-on des pesticides ou des polluants de toutes natures,  qui en parle, personne dans notre monde politique ? Pourquoi n’en  parlent-ils pas, simplement parce que cela ne leur rapporte rien !

- Il faut remodeler et simplifier les structures de l’Etat et revenir à un seul gouvernement et un seul parlement. Cela ne plaira évidemment pas aux politiciens bien installés, à nos frais, dans leur fauteuil. Ils vous diront d’ailleurs, qu’au nom de la diversité de nos régions, toutes ces structures sont essentielles. Elles le sont certainement pour eux, mais pas elles ne le sont pas pour nous !

- Il faut une Belgique ouverte sur l’extérieur, notre balance commerciale est positive, il ne faut pas mettre en péril une des rares choses qui fonctionnent bien en Belgique. Mais il ne faut pas se mêler des affaires des autres comme, en particulier, de  la Lybie ou de l’Afghanistan. Voici ce que Guy Millière en pense ... Ce n’est pas notre rôle, nous ne sommes pas les gendarmes du monde et nous n’avons pas à imposer nos vues aux autres. Les peuples doivent disposés d’eux-mêmes, c’était d’ailleurs ça le principe de la décolonisation. Ne l’oublions tout de même pas, parce que nous n’avons rien à faire chez les autres. D’ailleurs lorsqu’on y va c’est pour mettre la main sur leur gaz ou sur leur pétrole et ce n’est pas par altruisme comme on voudrait nous le faire croire. Laissons donc les autres régler leurs problèmes chez eux, il y en a assez chez nous !

- Il  faut arrêter de diviser les belges entre gauche et droite, travailleurs et patrons, fonctionnaires et salariés du privé, écologistes et non écologistes, chômeurs et ceux qui travaillent.  Cet antagonisme voulu et cultivé par les partis politiques ne profite qu’aux politiciens qui se multiplient sur cette division de la population. Ils profitent de nos divisions pour se greffer en nombre toujours plus grand sur notre dos comme des sangsues ou des vampires avides de notre sang. Créons plutôt  ensemble une Belgique de CITOYENS, une Belgique unie, une Belgique de collaboration entre tous où nous pourrions mettre en œuvre une allocation universelle unique pour tous les citoyens belges à la place de toutes les aides actuelles qui ne vont qu’à certains en laissant trop de place au fait du Prince Politique… qui donne ou ne donne pas, selon son bon-vouloir.

Notre régime actuel est l’Ancien Régime appliqué aux partis politiques, sauf qu’en matière d’impôts l’Ancien Régime pratiquait la Dîme, soit 10 %. On en est loin !!!

D’ailleurs, nos politiciens installent aussi leurs fils ou leurs filles aux commandes…ça c’est aussi l’Ancien régime !!!

Alors lorsque j’en entends certains parler d’en finir avec la Monarchie…je rigole parce que je constate qu’ils installent simplement leur Dynastie politique !
Cherchez l’erreur, une fois encore !

Nous devons impérativement bousculer  toutes les forces en place parce qu’elles n’ont pas la moindre envie de changement. Elles sont comme de grosses souris bien grasses installées confortablement dans un fromage qu’elles ne veulent pas partager avec les autres. Elles s’accommodent de tous les dysfonctionnements parce qu’elles en tirent un large profit dont l’ampleur doit à peine être imaginable à la masse des anonymes  que nous sommes. 

Il n’y a qu’une seule solution, nous devons nous réunir, nous rassembler en dehors de toutes les  structures, de tous les partis existants et former une masse nouvelle qui forcera les portes du pouvoir. Nous sommes le Peuple, nous avons le devoir et surtout le DROIT de nous prendre en mains pour bâtir enfin une société équitable pour tous.

Je terminerai par cette jolie phrase de Léopold Sedar Senghor : « Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants ». La Belgique  ne nous appartient pas, elle appartient à nos enfants et à nos petits- enfants. Conservons notre pays intact pour eux et ne le saccageons pas au nom de principes douteux, c’est notre premier Devoir !

Il faut également sortir de ce clivage gauche droite qui nous sépare et entretien le rejet et la haine de l’autre. Ce concept est totalement dépassé, il nous a conduits dans l’impasse actuelle. Il n’y a pas de classes, il n’y a que des hommes et des femmes avec des métiers différents. Evidemment cette formule est haïe par les partis et les politologues de tous poils qui vivent de nos divisions. Ils crient alors au fascisme, mais c’est pour cacher leur propre bêtise, leur mauvaise foi, leur manque d’imagination ou plus simplement, leur totale incompréhension. On les comprend un peu, si nous faisions table rase de ce principe absurde, ils n’auraient plus de métiers. Ce principe est pourtant de bon sens et il est rempli de noblesse. Un homme comme le général de Gaulle qui n’avait rien d’un dictateur se voulait d’ailleurs au-dessus des partis. 

Rappelons- nous aussi de la devise de notre pays ; l’Union fait la force, Il suffira de l’appliquer.
Les solutions sont dans nos cœurs, elles sont dans nos têtes.

Rejoignez- moi  et organisons ensemble la « révolte des agneaux tondus ».

Je compte sur vous.