C’est fait, je me présente à la présidence du MR !

Agacé par les politiciens de tous bords, ces inutiles, ignorants et couteux bavards

Posté par ATB le 22 octobre 2013

D’abord un mot :

Vous l’avez constaté, je me suis rapproché du PARTIPLUS (www.partiplus.be) dont « Le Patriote » dans lequel j’ai déjà écrit quelques lignes est simplement l’organe. J’ai rencontré Pierre Renversez il y a déjà plusieurs mois, peut-être une année même, à une époque où il n’avait pas encore créé son parti. Il est le fondateur de l’asbl NONALI qui s’oppose à l’islamisation de la Belgique. Pierre est un libéral, comme moi et, comme moi, il pense que la liberté n’est pas divisible. Nous étions sur le même terrain, je défendais d’abord la liberté économique en m’opposant au dogme mortifère socialo-communiste, il défendait en premier lieu  la liberté de penser et s’opposait au dogme mortifère politico-religieux représenté par l’islam. Nous nous sommes rejoints, c’est naturel, nous étions sur la même route, nous marchions dans les mêmes pas et, à force d’être dans les pieds l’un de l’autre, nous avons fini par nous trouver !

L’entourage de Pierre est composé, entre autres, d’hommes comme Pierre Cassen (Riposte laïque), Alain Wagner, Président de l’ICLA http://ripostelaique.com/licla-et-le-processus-de-bruxelles-contre-la-charia.html et Alexandre del Vallehttp://www.alexandredelvalle.com/ . C’est avec plaisir que je me joins à eux pour défendre, ensemble, notre civilisation, nos valeurs et nos libertés.

Et que sera demain ? Je n’en sais rien, en bon libéral pragmatique également défenseur d’une certaine forme d’empirisme, je m’appuie d’abord sur l’expérience et non sur de fumeuses théories. La collaboration est ouverte, elle trouvera son chemin propre !

Je continuerai donc à alimenter mon site de textes ou d’analyses, c’est ma façon de travailler, une approche globale demande une réflexion profonde, de la connaissance, une culture et des références. Il faut aussi être capable de maitriser ses sujets et ça, c’est beaucoup de boulot (même si ça ne paie pas !), je ne vous apprends rien.

A l’origine, je n’ai intentionnellement pas voulu faire un blog de mon site, je retrouve maintenant cette vertu au « Patriote », c’est une nouvelle expérience, je suis déjà curieux du résultat à venir. Je compte aussi ne publier uniquement que des textes courts sur ce média. L’avenir est devant nous, nous verrons bien !

Voilà qui est dit.

La suite :

Agacé par les politiciens de tous bords, ces inutiles, ignorants et couteux bavards, j’avais d’abord pensé à un autre titre opportun, le voici : « Il faut laisser parler les cons ! ». Mais, l’émission « Question à la une » du 2 octobre dernier de la RTBF m’a fait changer d’avis. D’ailleurs, chapeau à la RTBF, c’était une excellente émission !

Les thèmes abordés par l’émission étaient les suivants : le populisme des petits partis (on suppose toujours que les partis traditionnels ne le sont jamais !!!) et le salaire des fonctionnaires ou des députés européens. Je vous l’avoue, même si je n’ai rien appris, ce rappel insupportable des privilèges insensés des uns, le monde politique et ce qui en découle, m’a fait voir rouge écarlate, non, rassurez-vous, je ne suis pas devenu communiste, j’étais simplement très en colère de voir tant de benêts et d’andouilles nous expliquer à quel point ils étaient des as parmi les as et à quel point également ils méritaient des sommes folles !

D’abord sur le populisme, je suis lassé d’entendre les mêmes refrains : Les mouvements populaires représentés par les nouveaux petits partis sont toujours qualifiés de populistes ou de poujadistes par les médias et les grands partis en place. On pourra toujours relire, si on le souhaite, ce que j’ai déjà écrit sur le sujet icihttp://lautrevoie.org/docshtml/poujadisme.html .

Or si la démagogie est le premier défaut supposé de ces partis dits populistes, je rappelle tout de même qu’il n’y a pas plus démagogiques, donc plus populistes, que les partis traditionnels qui pratiquent tous un clientélisme effréné pour récolter des voix et rester au pouvoir. Leurs thèmes favoris : la chasse aux riches, la critique de la finance, des banques et des banquiers, la mise en place d’une politique de redistribution doctrinaire et utopique qui tue l’initiative privée et multiplie les pauvres, les assistés, les réfugiés, les sans-papiers et tous les « candidats à la glandouille aux frais des autres ». Donc, je le répète avec force, s’il y a bien un populisme, je le situe plutôt au PS, au MR, au CDH, chez Ecolo, bref chez tous ceux qui sévissent dans nos nombreux gouvernements et parlements, ceux aussi qui voient la paille qu’il y a dans l’œil du voisin mais pas la poutrelle d’acier trempé qui est largement enfoncée dans le leur, tellement enfoncée même qu’elle leur traverse la tête en leur bousillant le cerveau (en ont-ils ?). Mais encore une fois ; chuuuuuuuuuuuuut, c’est tabou, il ne faut rien dire de désobligeants sur ces « brillants » personnages parce qu’ils sont supposés être les gentils, les gens compétents, intelligents, indispensables et ceux aussi sans lesquels le monde serait si morne, si dangereux et tellement inefficace. En fait ces politiciens se prennent tous pour Superman, le seul type au monde qui porte pourtant son caleçon au-dessus du pantalon. Du coup je me demande comment, eux, ils le porte leur calbar et je me dis alors qu’aveugles et sourds comme ils sont, ils doivent plutôt le porter  sur la tête !!

Evidemment, tout cela n’est qu’une question de perception et d’angle d’attaque, parce que pour moi, les gentils sont les méchants et les méchants (c’est nous ça !) sont les gentils. En outre, ces supposés gentils, ceux qui sont pourtant les méchants, sont aussi souvent les corrompus. Ben oui, la politique c’est surtout fait pour ça, faire une belle carrière entre copains, on joue les importants ou les savants, on se coopte les uns les autres, on rejette les intrus (ça c’est encore nous !), on se partage le gâteau et quand le gâteau n’est encore assez épais, on pique dans la caisse. Vous ne me croyez pas, mais c’est pourtant comme ça et encore, on ne voit que la partie émergée de l’iceberg (10 % !) !

La corruption, un bref rappel s’impose :

En mars 2012 j’écrivais ceci http://lautrevoie.org/docshtml/combat.html :

« En Belgique aussi de nombreuses affaires éclaboussant le PS ont fait la une de la presse, il s’agit des affaires Agusta, de celle des mutualités socialistes, du dossier Ibraco, de l’assassinat d’André Cools, de l’affaire Inusop, du scandale de la Smap, des affaires de Charleroi  http://www.nation.be/web/le-ps-parti-politique-ou-mafia/ .

Spitaels qui est une figure socialiste du monde politique belge sera condamné par la Cour de Cassation à deux ans de prison avec sursis dans le cadre du contrat Dassault sur la modernisation des F16 de l’armée belge. La justice découvre, à l’époque, que des pots de vin ont été payés, des têtes du PS tombent, parmi elles, celle du président du PS, Guy Spitaels. Spitaels déclara, à la sortie de l’audience (minute 01 :19) : « nous avons reçu de l’argent, oui mais fausser un marché pour recevoir de l’argent, non, et c’est ma vérité je continuerai à le répéter jusqu’à mon dernier souffle, ne fut-ce que pour l’honneur de mes enfants et de mes petits-enfants ».

Curieusement, le lien que je donnais, à l’époque ne fonctionne plus (tiens tiens, on veut nous cacher quelque chose ?), il ne ramène plus à l’interview de Spitaels faite à la sortie de la Cour de Cassation, celle qui venait de le condamner. Le film provenait pourtant de la Sonuma. Or, la Sonuma  a précisément été constituée pour sauvegarder les archives de l’INR, de la RTB et de la RTBF : « Officiellement constituée en société anonyme en janvier 2009 et dotée d’un  capital de 40 millions d’€, la Sonuma prend en charge la préservation, la numérisation et la commercialisation du fonds d’archives télévisuelles et radiophoniques de la RTBF dont elle est devenue propriétaire. Elle entend appliquer un modèle d’archivage qui respecte les normes internationales en vigueur, sur la base d’échange d’expériences déjà menées dans les pays voisins, notamment avec l’INA en France. Installée à Liège, la Sonuma cherche en outre à collaborer avec les entreprises de la Région wallonne et de la Communauté française qui ont développé un réel savoir-faire dans ce secteurhttp://www.sonuma.be/la-sonuma-propos . Or voilà, je ne retrouve plus cette vidéo, elle a tout bonnement disparu, bizarre non, la mission de cette société au capital important est de conserver les archives, évidemment, conserver n’est pas montrer, on peut aussi conserver et cacher…parce que ce qui est montré ne sont que les documents vantant les qualités immenses du « grand homme ». Enfin, j’ai dû mal chercher, c’est certainement de ma faute !

Ajoutons aussi qu’un ami a téléphoné à la Sonuma pour demander des explications sur cette malheureuse disparition. Une dame, fort aimable par ailleurs, lui a répondu qu’il fallait écrire pour obtenir une réponse. Nous ne l’avons pas fait, si le but était de nous décourager, c’est gagné, on ne nous paie pas pour perdre notre temps, d’ailleurs on ne nous paie pas du tout, ce qui n’est pas non plus une bonne raison pour le perdre, nous avons mieux à faire !

Pour revenir à cette honteuse affaire pour le PS, il est utile de rappeler aussi http://www.dhnet.be/actu/faits/agusta-dassault-arret-le-2-juin-51b7c6dae4b0de6db98d7733 que du 2 septembre au 23 décembre 1998trois anciens ministres et 9 autres personnes ont comparu devant la Cour de cassation à Bruxelles. (NdlR: aujourd'hui, c'est la cour d'appel qui est compétente pour juger les ministres). Ces prévenus sont Guy Spitaels, ancien président du PS, Willy Claes, ancien ministre SP des Affaires économiques, et son chef de cabinet Johan Delanghe, Guy Coëme, ancien ministre de la Défense nationale, et ses chefs de cabinet André Bastien et Jean-Louis Mazy, Merry Hermanus, ancien secrétaire général de la Communauté française, François Pirot, ancien secrétaire général du PS, décédé depuis, Luc Wallyn, ancien secrétaire général adjoint du SP, Etienne Mangé, ancien grand argentier du SP, Alfons Puelinckx, avocat d'affaires, et Serge Dassault, l'avionneur français.

Ces 12 personnes ont été condamnées fin 1998 à des peines de prison avec sursis allant de trois mois à trois ans, la peine la plus lourde étant infligée à Willy Claes. Les deux Guy et Serge Dassault, eux, ont été condamnés à deux ans »

Donc si on récapitule, en 98, neuf ou dix « TRES GRANDS PONTES » des PS et SP ont été condamnés à la prison (avec sursis !!!) pour des faits graves de corruption (prendre du pognon indûment !!!) et tout va bien, ces partis continuent à nous donner des leçons et à diriger le pays et, accessoirement ils nous traitent aussi de populistes. Tout va bien !

On est où là ? Mais chez nous, mon bon Monsieur au « Belgistan » fort heureux de son nouveau Roi, de sa nouvelle Reine et de son nouveau mais « presque identique gouvernement » (quoiqu’il arrive ce sont les mêmes pignoufs qui gouvernent, ah, la magie des alliances) !!!!

Pourtant, si l’on est sain d’esprit, soucieux du bien commun et d’une justice équitable, que l’on dispose également d’un certain sens moral , en 1998, ces escrocs, accessoirement dinosaures de la politique politicienne  auraient dû tous être condamnés à de lourdes peines de prison ferme et PS et SP auraient dû être tout simplement dissous. Seulement voilà, nous ne sommes pas en démocratie, mais dans une particratie ignoble gérés par des salopards (je parle des corrompus, pas d’amalgame rapide SVP !!). Quand on sait, qu’en plus les partis nomment pléthore de hauts fonctionnaires, que le monde politique de tous les bords occupent des postes d’administrateur ici ou là dans les grandes entreprises dans lesquelles l’Etat est partenaire, on comprendra mieux la mansuétude des juges et des médias subsidiés. On leur tape un peu dessus et on les condamne aussi à vraiment peu de choses simplement parce que l’on ne pourrait moins faire.

IV  Les partis nomment les hauts fonctionnaires :

D’ailleurs, L’’Echo écrivait encore en mai dernier : « Elio Di Rupo recherche 101 hauts fonctionnaires et parmi eux 5 administrateurs délégués, 13 président de conseil d’administration et 83 administrateurs pour 17 entreprises publiques ».Je ne comprends plus…est-il chef de gouvernement ou président d’une multinationale le dénommée « Di Rupo SA » notre chef de gouvernement ? Mais les deux mon général, les deux évidemment et cela choque-t-il quelqu’un ? Mais non, absolument pas, tout le monde trouve ça normal en terres belgicaines, il n’y a que les sans grades et les types infréquentables de mon acabit pour s’en indigner. C’est vrai ça, il ne faut pas leur en vouloir, il faut bien placer les potes et verrouiller également les portes de tous les niveaux de pouvoir pour éviter de partager  ou d’avoir à se justifier auprès de nouveaux venus ! La politique a horreur du vide et du neuf, elles multiplient les postes à pourvoir et vire les hommes nouveaux. Circulez, il n’y a rien à voir ! Article ici

Les affaires en cours :

En mars 2012 j’écrivais aussi ceci : « le PS est toujours là, il se porte très bien et nombre de cadors de l’époque y siègent encore, pourquoi se gêneraient-ils si on les laisse faire ?

Plus récemment c’était au tour d’Alain Mathot d’être dans la tourmente. Il a été inculpé en novembre dernier de corruption et de blanchiment d'argent dans le cadre du dossier Intradel-Inova : « Alain Mathot aurait bénéficié d'une somme d'environ un million d'euros, alors qu'il en réclamait deux. Le quotidien précise aussi qu'entre 12 et 15 millions d'euros auraient illégalement été distribués à des intermédiaires afin qu'ils aident Inova à remporter cet important marché public ». Source

La justice suit son cours…on le suppose et on espère aussi qu’elle pourra travailler sereinement et librement. »
Alors, qu’en est-il aujourd’hui, près de 19 mois après ?

Eh bien, la justice suit son très lent et long cours, mais elle ne lâche pas, pourvu que ça dure Article ici , après une instruction qui aura duré près de six ans, le juge Philippe Richard, spécialisé dans les matières économiques et financières, a transmis ce dossier sensible au parquet. Mais Alain Mathot a affirmé n’avoir commis "aucun acte contraire à la légalité" et pour lui, la justice veut "fabriquer un coupable. Wait and see, je ne me prononce pas, même si ça sent déjà fameusement le purin, mais bon, on est à la campagne, il s’agit sans doute de l’odeur des champs, alors prière de ne pas tirer de conclusions hâtives !!!!

Et pendant ce temps, le contribuable paie et repaie tandis que les malfrats (qui sont-ils ???) courent en liberté les poches bien remplies. Elle est pas belle la vie, certainement, mais ça dépend pour qui !!!!

Bilan de ce qui précède :

A observer tout ce joli monde je comprends fort mal l’acharnement contre les petits partis, ou plutôt je le comprends si bien. Les grands partis  n’ont vraiment aucune envie que des petits malins fraichement élus viennent fouiller dans leurs poubelles archi pleines. Quant aux médias, s’il faut reconnaitre qu’ils citent les « affaires », il faut bien admettre également qu’ils s’acharnent peu sur le monde politique. On aura compris qu’ils ne sont pas libres, on ne peut pas leur vouloir…pas tout à fait du moins !

Voilà un univers de complaisance, toujours, et de complicités parfois. C’est tellement vrai que j’ai vu, je vous le confesse ici, des relations personnelles qui frayent avec la politique « traditionnelle » s’écarter de moi. C’étaient pourtant des « amis » !

Pour finir cette partie, j’ajouterais qu’en plus de tous leurs défauts, ils sont aussi corrompus, nous le savions, c’est prouvé, ils n’aiment pas qu’on le dise, on s’en foutnous le dirons tout de même, nous le clamerons si fort que les arbres trembleront à en perdre les feuilles. D’ailleurs, elles tombent en ce moment, est-ce l’effet de ma colère ou celle de mes cris, non c’est l’automne, je lui fais concurrence, il ne m’en voudra pas !

Les autres privilèges :

Quid maintenant des autres privilèges, ceux de certains politiciens bien planqués par papa, ceux des fonctionnaires et des élus européens cités par l’émission « Question à la une » ?

  • Les fonctionnaires :

On apprendra qu’un fonctionnaire européen, jeune candidat type, universitaire avec 5 années d’expérience gagnera 3.559 € brut. C’est déjà pas mal, mais le plus comique arrive maintenant parce que son salaire net sera supérieur au salaire brut, du jamais vu au Royaume des éclopés belgicains taxés à mort. Ainsi donc, le jeune candidat touchera 4.676 € net. Pourquoi ? Parce que la si généreuse Commission européenne octroie, en plus du salaire, une allocation de foyer (sans rire), une allocation pour les enfants et enfin une troisième allocation si vous êtes expatrié (16% du brut), même si vous venez de Lille ou de Tourcoing. Dans le détail ce jeune fonctionnaire touchera 241 €  parce qu’il vit en couple, il recevra encore 372 € par enfant et 722 € d’indemnité d’expatrié. Vous, avec 3.559 € vous seriez massacré à +/- 50% d’impôts sur vos revenus, pas lui, il ne paiera que 88 € d’impôts…soit 2.47%. Encore un cadeau de l’Union européenne ; cela s’appelle l’impôt communautaire suivant un barème très préférentiel décidé par l’UE.

Ne pleurez pas, il fallait aller bosser à la Commission comme me disait une connaissance (pas un ami, lui n’oserait pas !). Seulement quand nous serons tous à la Commission, qui va ramener le blé pour les payer ?

En plus, les fonctionnaires européens ne cotisent pas pour leur pension, tout cela est pris sur le budget de la Commission européenne, l’argent que versent les Etats, celui qu’ils piquent aux dindons que nous sommes. Rappelez-vous aussi, ces gugusses européanisés voulaient porter leur budget de 800 millions à 1.000 millions d’euros pendant que l’Europe entière bouffe des clous, les citoyens surtout. Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !

Pour justifier leurs salaires et leurs privilèges scandaleux, les oligarques de la Commission n’y vont pas de main morte: Il parait que nous n’avons pas conscience de tout le travail qui est fait là-bas. Ah bon, de quoi parlent-ils, ces planqués, ils oublient qu’ils sont d’abord des charges pour l’économie européenne et qu’ils dépendent à 100 % de la productivité et de l’efficacité des autres (encore l’argent des autres). L’économie est portée par les entrepreneurs qui prennent des risques, créent les richesses, les emplois (les leurs !!!!) et génèrent la base taxable. Sans ces derniers il n’y aurait pas de fonctionnaires nationaux ou internationaux et pas d’économie du tout ! L’inversion des valeurs qui a envahi l’Europe a également inversé les rôles des intervenants économiques, ceux qui dépendent des autres se sont parés des plumes du paon, ils font la roue avec audace, ils sont fiers d’eux, de ce qu’ils font et de leurs mérites imaginaires. Comme on le dit à Anvers : « Met heel Antwerpen, maar niet met mij! »

Toujours pour justifier leurs salaires et leurs avantages, il parait aussi qu’ils parlent plusieurs langues, bref ce sont des as, du moins, ils se prennent pour des as, il est vrai que l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même. A côté de cela, il parait aussi que je parle 5 langues (en fait et pour être franc, je me débrouille très bien dans plusieurs langues, mais je ne maitrise parfaitement que le français). Puisque je parle de moi (pourquoi pas !), j’ai aussi investi des centaines de milliers d’euros (avec mes associés) dans des entreprises, en passant, j’ai créé des centaines d’emplois, je me suis également installé à l’étranger, un ensemble de choses compliquées, hasardeuses (les technocrates ne comprennent pas ça et sont surtout incapables de le faire) qui demandaient, bureaux, machines, personnel et du fric ! Pourtant jamais personne ne m’a donné un seul centime et certainement pas cette Commission européenne prétentieuse, inutile, couteuse et contente d’elle-même. Eux veulent toutes les garanties, ils ne veulent prendre aucun risque et ils veulent les gros salaires et les montagnes d’avantages, c’est le monde à l’envers, mais comme, tous font partie du même univers, ils se servent entre membres d’une même caste et les uns accordent les avantages aux autres. C’est aussi ça la dérive de nos démocraties.

Eh bien moi je dis et c’est mon droit, que ces gens sont des parasites qui assèchent la richesse nationale à leur profit unique. C’est inévitable, ils sont juges et partis, la Commission est uniquement une émanation politique, politiciens et fonctionnaires européens constituent le même groupe qui marche ensemble, mange dans la même gamelle, se congratule et se renvoie éternellement l’ascenseur et nous, les dindons de l’affaire, nous devrions nous réjouir et la boucler avec le sourire niais de l’idiot du village satisfait ! Pas folle la guêpe !

Si les fonctionnaires européens sont bien payés, les commissaires ne se mouchent pas du pied non plus. Le commissaire européen chargé de ses collègues fonctionnaires, Maros Sefcovic, gagne seulement (!!!) (comme les autres commissaires, on imagine !) 22.963 € + 3.444 € frais d’habitation +  911 € frais de représentation. Il est vrai qu’avec près de 23 mille euros il était « un peu juste », il avait vraiment besoin d’un petite rallonge. Qui est-il ? Encore un politicien professionnel qui n’a jamais rien créé personnellement comme richesses ou comme emplois, il ne prend pas le moindre risque, comme les autres, et il est payé « un bras », comme les autres. Pourtant, il existe un grand principe en économie que chacun oublie, surtout les ânes qui nous dirigent, évidemment, la plupart n’ont jamais fait d’économie, ils ont souvent fait le droit, tout au plus, ou la philo, ou l’histoire, ou science po, ou les langues ou…rien du tout ! Voici ce principe : « la prise de risque doit payer en premier lieu, la rareté ensuite ». Il existe plein de cons diplômés, mais il existe peu d’entrepreneurs, ceux-ci ne sont souvent pas diplômés mais ils ont une qualité rare, ils font et ils agissent. Les entrepreneurs sont rares, ils prennent des risques, ils SONT l’économie, ils devraient prendre « un pont », les fonctionnaires européens ne sont ni rare, ni si malins, ils ne prennent aucun risque, il n’y a donc aucune raison de leur balancer des sommes folles à la figure. Idem pour les politiciens, suivez mon regard et je vais y venir.

Conclusion : Il n’importe pas d’avoir des diplômes, il n’importe pas non plus de savoir pratiquer des langues, il importe seulement de mouiller sa culotte et de montrer ce qu’on sait faire et surtout ce que l’on est capable de réussir. Le monde est construit par les artisans qui aujourd’hui créent un commerce pour demain bâtir un empire. Les élites sont situées sur cette échelle, du plus petit au plus grand entrepreneur, parce que l’élite économique est celle qui prend des risques, crée, en priorité, les richesses et les emplois. Le déplacement arbitraire de l’élite vers ceux qui n’ont JAMAIS RIEN FOUTU et qui réclament un traitement identique aux entrepreneurs est une des perversions du système. Le système actuel n’est en rien libéral, il n’est pas formellement capitaliste non plus parce qu’il a dérivé doucement vers une forme de capitalisme d’Etat où les technocrates et les politicards ont pris la place des entrepreneurs. Ce système ne fonctionne pas ou il fonctionne très mal, il est fait pour  ceux qui profitent du travail d’autrui et pour tous ceux (nombreux) qui voudraient s’engouffrer dans ce monde de suiveurs constitué de privilèges immérités, de dogmes, d’utopie, de chimères, du consensus mou des gens sans caractère et de la tyrannie douce !!!

Alors quand ces pitres, politiques et fonctionnaires européens gonflés d’orgueil, se comparent à des chefs d’entreprises pour justifier leurs salaires, ils me font plus pleurer que rire parce qu’ils n’arrivent pas sous la semelle du plus petit entrepreneur, du moindre boulanger ou du plus modeste épicier. Si j’estime les uns, je méprise les autres, nous devrions les foutre à la porte, les priver de leurs privilèges, de cet argent si mal gagné, nous constaterions alors qu’ils ne savent rien faire, vraiment rien faire, à part sans doute utiliser leur carnet d’adresses pour se placer avantageusement chez les autres une fois encore. Mais, utiliser son réseau n’a rien à voir avec l’entreprise, la connaissance ou le savoir-faire, c’est encore utiliser un privilège acquit à nos frais et à notre sueur.

  • Les eurodéputés et les commissaires européens :

Pour en finir avec les privilèges, « Question à la une » nous confirmera également qu’un eurodéputé touche 6.200 net/mois augmentés des jetons de présence aux nombreuses réunions (utiles ???) auxquelles il participe, soit +/- 3.000 €/mois (en moyenne 10/mois à 304 € l’unité – cela correspond, sans rire, à une espèce d’indemnité de déplacement !), tout cela augmentés encore d’une très large indemnité de 4.300 €/mois pour frais de secrétariat (tiens, qui paie les miens ???) dont il ne doit pas justifier l’emploi. En clair s’il se fiche cette indemnité supplémentaire en poche, ce n’est pas grave, il faut croire d’ailleurs que c’est même fait pour ça !!! Alors, à vos calculettes…Voici le total : 13.500 € net/mois. Si c’est pas splendide ça !!

Mais, bon, c’est normal, comme pour les eurocrates, on nous expliquera avec sérieux que ce sont des surhommes (ou des « surfemmes »), des gens brillants qui bossent efficacement pour le bien commun et qu’ils valent bien ça. Cela me fait d’ailleurs penser à une publicité connue qui énonce les mêmes termes : « Parce que je le vaux bien ! ». Sauf qu’ici, il s’agit d’une multinationale brillante qui fait sa publicité à ses frais, qui crée richesses et emplois (70.637 personnes en 2012) et qui prend des risques dans un monde concurrentiel, tout le contraire de ces ectoplasmes politico-technocrates ou technico-politiques qui se croient sortis des cuisses de Jupiter ! C’est Lilliput au pays des géants !

Non contents de prendre du blé à ne rien faire sinon à s’agiter bêtement dans un univers quasi orwellien, certains eurodéputés prennent parfois des sommes folles, cent mille euros par an et par « client » dans le cadre de contrats passés avec de grosses entreprises. Celles-ci leur demandent, en échange, de défendre leurs produits. Donc ces véritables parasites, payés par l’argent public, en profitent encore pour représenter des intérêts privés. Mais alors, qui défendent-ils, l’intérêt général ou leur intérêt particulier et celui du client ? Le plus étonnant, tout le monde le sait et on laisse faire, du moins on ne poursuit pas ces abus manifestes. Ces escrocs ne sont pas démis de leurs mandats immédiatement et ils ne sont pas non plus jetés en prison. C’est parfaitement honteux parce que vous, si vous volez un pain (ce qui n’est pas bien) vous aurez tous les emmerdements du monde !

Bon je vais m’arrêter là parce que ma tension monte, cela doit se sentir dans le ton que j’utilise, mais je ne vais pas m’arrêter sans faire un petit détour par notre Louis Michel national, ex commissaire européen qui s’exprimait aussi lors de cette émission. Les journalistes évoquaient la pension confortable des commissaires européens et demandaient à Louis Michel s’il n’était pas choqué de la différence de traitement qui existait entre des gens comme lui et le petit peuple. Evidemment non, cela ne le choque pas du tout, parce que, lui aussi a une très haute estime de lui-même !

Il nous confiait à ce propos les mots suivants : « Je comprends qu’ils soient choqués mais il y a d’autres raisons d’être choqués, on peut… toute la question est de savoir…moi je pense qu’il faut aussi oser dire ça au citoyen, si on veut jouer petits bras pour la puissance publique, alors oui, il n’y a plus de limites, on peut considérer qu’un homme politique avec 500 euros par mois ça suffit ».

Pas très clair sa réponse, c’est plutôt « bafouillage et compagnie », une chose est certaine, il ne se prend apparemment pas pour un « petit bras », or, comme je ne lui trouve pas le bras spécialement costaud, j’en conclus que ce n’est sans doute pas à ses bras auxquels il fait allusion mais plutôt à sa tête ! Alors, « grosse tête » le père Michel ? (je dis ça pour le distinguer de son fils, celui à qui il a refilé le MR, ah…. il a été élu par les membres, bon, soit, je n’ai rien dit ; « Excuses », comme on dit chez nous !).

Quid donc de la tête et de l’expérience de Louis Michel ? Qu’est ce qui justifierait sérieusement qu’on lui jette le fric à la figure, à part bien sûr, ses mandats, tous issus, non de ses talents multiples (?) mais de la politique, ce qui, aux yeux du « vulgus » dont je fais partie, ne vaut pas tripette ou ne vaut même pas un rond de chapeau.

En fait, Louis Michel est né en septembre 47, ex commissaire européen, il est actuellement député européen et Ministre d’Etat (tout ça !!!) Lien Wikipedia .

Régent en langues germaniques, il a enseigné l’anglais, l’allemand et le néerlandais de 68 à 78. Il dira aussi (semble-t-il ?) avoir perdu l’usage des langues par manque d’exercice. Si cela est vrai, il est tout de même marrant qu’un type qui est député européen et ex-commissaire européen n’ait pas eu cent fois l’occasion d’entretenir la faculté qui était la sienne. C’était pourtant l’endroit rêvé. Encore un nouvel échec de l’Europe, j’en perds mon latin !!!).

En résumé, il est professeur de langues jusqu’à l’âge de 30 ou 31 ans et ensuite il est aspiré par les postes politico-politiciens et entame une « grande carrière ». Question habituelle,qu’a-t-il créé lui-même comme entreprises ou comme emplois, quel est son apport au monde économique ? Réponse : Rien du tout, comme 99% de ses collègues. Pourtant, il pense être un as, c’est son avis et son droit de le penser, je crois plutôt qu’il est comme la grenouille qui se prend pour un bœuf ; ni tête, ni bras, ni rien du tout, du vent, du vide, du flanc et beaucoup d’esbroufe. On ne peut pas lui enlever le mérite d’avoir été professeur de langues, c’est un métier très honorable, mais pour un prof de langues je pense qu’il a été surpayé, à moins, bien sûr que l’on aligne le salaire de tous les professeurs sur le sien et qu’on leur offre aussi les mêmes avantages. On peut toujours rêver !!!

  • Les fils à papa :

Puisqu’on parle du père, voici le fils, Charles Michel qui a été si curieusement parachuté à la tête du MR. Comme son père, il est fort content de lui, ce qui est d’ailleurs une constante en politique. Ministre à 24 ans (interdit de se marrer !!!), c’est aussi et encore un politicien professionnel, né en 1975, il a fait le droit et s’inscrit au barreau de Bruxelles en 1998. Conseiller provincial en 1994 (18 ou 19 ans !!!, ne pas rire !!!)vice-président du conseil provincial du Brabant en 1995 (à 20 ans !!!, c’est fini, j’avais demandé de ne pas rigoler !!!). Bientôt on va sortir les potaches de l’école primaire pour en faire des ministres, de toute façon, ils ne feront pas pire.  Bref, sa carrière continue comme ça…Il est candidat à la présidence du MR en 2010 et il en devient le président en janvier 2011. Voilà encore un génie ou un gros bras, comme dirait son papa, il n’a jamais rien fait de concret en dehors de la politique.Avocat avorté, comme de nombreux autres, il n’a jamais eu de véritable carrière professionnelle en tant qu’avocat et ce n’est pas étonnant que des gens comme ça soient incapables de tout sinon de faire de la politique. Or, la politique ou ne rien faire, c’est strictement la même chose ! Il est vrai que «faute de grives on mange des merles » et, comme en politique, il n’y a ni grives, ni merles mais que des canards boiteux, il ne faut pas s’étonner du résultat. "L'équipe du président" et encore lien wikipedia

Puisque je parle d’avocats avortés, en voici un autre, Melchior Wathelet septième du nom (celui qui est né en 1977). Il termine ses études de droit en 2001, s’inscrit au barreau de Liège en 2002, est élu député fédéral en 2003 et termine Secrétaire d’Etat en 2011. Eh hop, voilà un génie de plus pour nous diriger (encore un fils de…) !

Comme quoi les dynasties politiques, c’est presque comme les piles Wonder, ça peut servir mais ça n’use pas lorsque l’on s’en sert !

On se souviendra que Melchior Wathelet Septième du nom avait songé à rendre obligatoire les pneus hiver. Mais uniquement "en cas de couche de neige persistante et lorsque les routes sont glissantes (article) 
Depuis personne ne parle plus de cette idée tellement géniale qu’elle a dû être discrètement enterré sans tambours ni trompettes. En effet, ce qui compte d’abord pour la « population normale » dont un politicien privilégié ne fait pas partie, c’est la dépense liée à l’obligation d’installer donc de posséder des pneus hiver. Alors, que ce soit pour une journée ou pour l’éternité, il va bien falloir casquer et si on doit acheter les pneus ad-hoc, autant les mettre pendant toute la saison froide et pas seulement pendant quelques jours difficilement choisis (par qui et comment ???). Ce type est un âne, un de plus !

De toute façon, il a changé d’avis (article) , c’est une girouette, une girouette politique comme toutes les autres et il fait du vent, rien que du vent.

Ensuite la population n’a pas attendu cet olibrius pour s’équiper. Selon Touring, 36% des automobilistes ont déjà équipé leur voiture de pneus hiver, parce que les automobilistes ne sont pas idiots, ils auront remarqué que l’usage de ces pneus limitait les glissades, donc les accidents, donc la casse, donc les frais !

Eh oui « Melchior Septième du nom », la neige glisse, la pluie mouille, il fait clair pendant la journée, noir pendant la nuit, le soleil brille, la lune brille moins fort, les girafes ont des longs cous, les escargots ont une coquille, les œufs aussi, les gens intelligents ont un crâne plein, les abrutis ont le crâne vide, le cancer est une maladie mais, hélas, la bêtise ne l’est pas et elle ne se soigne pas. Les idiots disent des stupidités, des inepties, des niaiseries, des sottises, des crétineries ou plus vulgairement exprimé…ils disent des conneries. Tout cela pourrait être drôle ou très marrant, mais à 200.000 €/an, c’est cher payer le diffuseur d’âneries. Nous aurions préféré un distributeur de billets, mais, ici, c’est l’inverse, nous donnons un tas de pognon à une machine humaine qui ne livre rien d’utile et seulement nous ennuie. C’est ça la politique et c’est aussi pour ça que je ne l’aime pas, elle et ceux qui la font !

Bref, mieux vaut se taire quand on n’a rien à dire, mais, évidemment, à ce compte-là, nous n’entendrions jamais la voix des politiciens, finalement ce serait mieux comme ça !

En fait, il n’est pas le seul de sa classe à dire des lieux communs ou des banalités, d’ailleurs les clichés sont le propre des politiciens, ils ont toujours ou souvent le verbe creux, celui qui accompagne leur belle assurance et leur immense prétention. Voici donc les trois suivants, attention, c’est du lourd, le top du gouvernement !

Record de faillites en Belgique, les faits et les champions :

Les faits et les politiciens.

Coup de canon dans le ciel belge, en septembre 2013, on nous annonce un nouveau record de faillites pour La Belgique (1.332 faillites – les petites structures sont le plus touchées) ! On n’avait plus connu ça depuis l’année noire où la Sabena avait fermé ses portes en 2001. Du coup la presse interroge les ministres aussi ignorants, les uns et les autres, de l’économie, des facteurs créatifs d’emplois ou du fait de l’entreprise. Ils n’y connaissent rien, n’ont jamais entrepris, ni jamais créé d’emplois, mais ils parlent ou jacassent plutôt.

RTL a Interrogé la tête de l’Etat sur le sujet (tout de même trois Vice-Premiers ministres sur six !).

Pour commencer, le premier champion : la Dame Milquet. D’abord qui est-elle (source Wikipédia) ? Née en 1961 elle termine le droit en 1984. Elle est inscrite au barreau de Bruxelles de 1985 à 1992, attachée parlementaire en 1987 (26 ans), elle devient conseillère (elle conseille sur base de sa grande expérience professionnelle, laquelle ???) ensuite chef de cabinet adjoint et en 1995 elle est sénatrice (elle à 34 ans). En résumé, voici encore un avocat à la profession avortée qui se lance en politique, sur quelles bases solides, quelles expériences crédibles, quels succès…rien du tout, zéro et super zéro, des génies innés !

Sur le sujet des dernières faillites, elle nous dira : « On doit d’abord arriver à notre équilibre pour 2014 puis on discutera des mesures de compétitivité, mais il est clair que les moyens seront affectés au soulagement des PME et essentiellement avec une priorité sur la diminution du cout du travail ». Quelles mesures, elle n’en dira rien, c’est du blabla, on y est habitué, elle est sans aucune expérience du monde entrepreneurial, que pourrait-elle dire !

Mettons nous en tête que Madame Milquet nous confie qu’il faut d’abord arriver à l’équilibre budgétaire pour discuter des mesures de relance. J’y reviendrai !

RTL questionnera également le deuxième champion : Didier Reynders. Qui est-il (source Wikipédia) ? Il  est né en 1958, licencié en droit en 1981, il est entré en politique dans les pas de Jean Gol et, de 1985 à 1988, il est déjà « Directeur général au département des pouvoirs locaux du Ministère de la Région wallonne », il a 27 ans quand il entre en fonction. Encore un qui ne sait rien faire sinon de la politique qui mène à tout, aux plus hautes fonctions d’Etat mais sans formation réelle et sans la moindre expérience ! On le parachutera à la Présidence de la SNCB en 1986 (il a 28 ans, c’est grotesque !), à la Présidence de Société Nationales des Voies aériennes en 1991 (il a 33 ans) et ainsi de suite…La politique le mènera tout en haut de l’échelle des politicards, c’est pour ça qu’on lui lèche les bottes, je ne le ferai pas parce que je suis scandalisé qu’on balance des postes ronflant à des zouaves qui n’ont jamais rien foutu. Dans le privé, ils n’auraient pas tenu plus de deux minutes !

Mais si son mentor, Jean Gol était un libéral, lui ne l’est plus vraiment, ça se verrait, mais l’a-t-il jamais été ?

Sur la question des faillites, Reynders l’omniscient nous confiera d’un air docte et sévère (si l’air est docte, le contenu de son discours l’est beaucoup moins): « je crois vraiment qu’on doit mettre l’accent sur les PME, c’est vraiment là que l’effort doit être réalisé ça empêchera peut être un certain nombre de faillites ça permettra surtout de créer de nouvelles entreprises et de créer de l’emploi ». De quoi parle-t-il, visiblement il n’en sait rien puisqu’il n’en dira pas plus, il est, comme tous les politiciens, uniquement dans le verbe, celui qui est fait pour plaire et derrière lequel il n’y a aucune réflexion concrète et intelligente. La Belgique plonge et replonge, les « professeurs-ministres » sont contents d’eux et nous annoncent finalement et comme de coutume que demain tout ira mieux.

RTL terminera par le troisième champion : Laurette Onkelinx. Elle est toujours égale à elle-même, socialiste, inefficace et doctrinaire. Qui est-elle (source Wikipédia) ? Née en 1958, elle fera le droit (encore le droit !), elle est députée en 1987 (elle a 29 ans), vice-présidente de la Chambre des représentants en 1990 (elle a 32 ans !), elle sera ministre en 1992 (à 34 ans), elle passera par la présidence de la Communauté de Belgique de 1993 à 1999 (elle a 35 ans quand elle prendra ses fonctions) etc etc….Elle est un oligarque type du paysage belgicain, un crac parmi les cracs, un prodige, un phénix sorti du néant par la politique, la seule activité humaine capable de faire passer un bourricot poussif pour un véritable cheval de course.

Madame Onkelinx nous dira donc sur le sujet des faillites : « on sait qu’avec la diminution de croissance il y a eu des diminutions de la consommation et que certaines très petites entreprises en ont beaucoup souffert, donc il faut faire soit pour la consommation, soit en terme de charges un soutien à ces petites entreprise »… Donc pour réduire le cout du travail enchaine le journaliste, Onkelinx répliquera…«Ou alors, augmenter la consommation de telle manière que l’on puisse soutenir ces entreprises ». Une première remarque ; elle ne sait pas parler le français, ce qu’elle nous raconte est « patagonesque » et digne d’un gamin de l’école primaire. Soit ! Elle semble aussi obnubilée par une politique économique supposée keynésienne qui encourage la dépense publique et le soutien de la croissance par l’accroissement de la demande. Bref, elle a entendu braire un âne, mais elle ne sait pas très bien dans quelle écurie. Soit, encore…Or cette politique absurde, comme ils la pratiquent tous, ne fonctionne nulle part, ce sont des abrutis, des pitres pitoyables et des gens qui coutent très chers pour ce qu’ils ne savent vraiment pas faire ! Enfin, ils sont contents d’eux-mêmes, c’est le principal, pour eux, en tous les cas !

Ma réponse aux champions :

Ne soutenir que la demande au détriment de l’offre est une politique parfaitement imbécile. Pour s’en convaincre voici une explication par la caricature ou par l’absurde : Si l’on écrasait encore plus les Belges d’impôts, de taxes, de charges en tous genres et que l’on gonflait davantage l’administration (pour stimuler la demande !!!!) en balançant également toujours plus d’argent à ceux qui ne fichent rien (pour de bonnes ou de mauvaises raisons), il n’y aurait bientôt plus d’entreprises, plus d’entrepreneurs et plus d’emplois, c’est aussi simple que cela ! Par contre si l’on supprimait tous les impôts directs et indirects, toutes les charges, toutes les administrations, toutes les contraintes, toutes les lois sur le travail et sur la création d’entreprises, il y aurait AU CONTRAIRE un afflux de capitaux, d’énergies, d’entrepreneurs, d’entreprises et d’emplois. Certes la situation serait chaotique, mais une activité débordante naîtrait de cette LIBERTE. Tout est là. Evidemment, comme le chaos n’est pas souhaitable, il faut des charges, des impôts et des lois, mais tout cela doit être modéré pour ne pas tuer l’initiative privé et surtout le gout du risque. La Belgique crève de trop de tout et de trop peu de libertés. Des oligarques qui ne savent rien faire nous gouvernent, ceci explique cela.

Les clés du succès économiques sont notamment: La liberté fiscale (peu d’impôts avec des charges faibles sur le travail), la maitrise des dépenses publiques, la liberté d’entreprendre, la liberté du marché du travail, l’ouverture des marchés, une bonne capacité d’innovation, la compétitivité, un système éducatif ad hoc, la recherche, la stabilité, la confiance, la transparence et l’absence de corruption. Les pays qui réussissent le mieux et qui répondent généralement à ces critères sont : Hong Kong, Singapour, l’Australie, la Nouvelle Zélande, la Suisse, le Canada et le Chili… On pourrait encore citer la plupart des pays émergents, la liste est longue, vraiment très longue, pauvre Europe, pauvre Belgique !!

Pendant ce temps, l’Europe s’empêtre les pieds dans la gestion de sa dette publique et dans l’explosion de l’euro. Il faut le noter aussi, la Belgique se situe en QUARANTIEME position mondiale en matière de libertés économiques. Nous sommes juste en-dessous de La Barbade qui est classée trente neuvième. Si c’est pas beau ça, pas de quoi être fiers !
Question : Qui caracole en tête du classement en termes de libertés et d’efficacité ?

Réponse : Hong Kong, Singapour, l’Australie, la Nouvelle Zélande et… la petite  Suisse, si efficace en tous points (elle vient aussi d’être classée en  tant que « pays le plus innovant ») et tellement décriée par cette Europe de jean-foutres sans doute tellement fière de ses échecs cuisants, récurrents et tellement lourds qu’ils lui collent à la peau.

Nous savons maintenant que l’Europe est un désastre mais, il ne faut pas oublier non plus que :

  • La monnaie est une conséquence, elle n’est pas une cause.
  • La monnaie est le reflet de l’économie d’un pays (ce n’est pas l’inverse), que l’union monétaire n’existe pas dans les faits parce que les pays de l’Union Européenne divergent fortement et empruntent à des taux très différents.
  • La crise et la conjoncture économique sont les conséquences des politiques économiques menées par les hommes. Si on veut une meilleure conjoncture…il faut changer de politique économique et choisir la LIBERTE.
  • L’austérité est nécessaire mais doit être accompagnée,  d’une libéralisation massive de l’économie du pays pour stimuler l’offre.
  • La limite des déficits à 3% du PIB est un mythe inventé par les socialistes. Cette limite ne repose sur rien de concret.
  • Il n’y a pas véritablement de crise de l’euro, mais seulement une crise de la dette publique qui prend sa source dans la mauvaise gestion des gouvernements des pays concernés.
  • L’Europe est lanterne rouge mondiale en matière de croissance, d’emplois, de liberté fiscale, de déficits publics, de dettes publiques….
  • Les déficits budgétaires et les dettes cassent croissance et emplois.
  • Nous n’avons plus de politique monétaire propre à cause de l’Euro.
  • La crise financière n’existe pas, je l’ai déjà expliqué, elle a été créée de toutes pièces par les démocrates américains.

Conclusions intermédiaires :

Nous venons de le voir, nos as de la politique n’ont pas d’idées, pas de formation sérieuse, pas de connaissances ou de compétences particulières sinon celle de nous débiter des non-sens, des platitudes ou des lieux communs.

Que pourraient-ils faire d’autre, vu leur manque de formation et leur manque d’expérience du réel. Ils naviguent à vue ou à l’oreille, ils sont comme le caméléon qui s’adapte aux couleurs, sauf qu’ils s’adaptent simplement aux rumeurs imbéciles et aux dogmes multiples qu’ils veulent nous imposer pour satisfaire leur besoin principal, celui de régner et de prendre, prendre le plus possible en laissant la population en l’état de gueux asservis, pauvres et nécessairement complaisants. Ce sont des minables, des minus et des zouaves, l’un d’entre eux, un socialiste bien sûr, politicien professionnel comme les autres, voudrait même taxer l’oisiveté. Alors, à quand la taxe sur l’air qu’on respire, les paroles que l’on tient, le nombre de cheveux qu’on a sur la tête, les vêtements que l’on porte, les amants que l’on a ou les maitresses que l’on a pas, les vins que l’on boit ou, pourquoi pas, l’eau qu’on ne boit pas. Voilà des pistes neuves que je livre volontiers à ce cornichon, cet olibrius interstellaire, mais j’ai une autre idée, une seule idée bien meilleure qui me saute à l’esprit dans un éclair de lumières, de lucidité et de vérité, celle de taxer plutôt les cons. En voilà déjà un, il est sur la liste, les autres ne sont pas loin et ils sont nombreux dans cet univers de profiteurs. Ahhhhhhhhhhh, je me réjouis déjà de cette bonne idée, car plus ils sont cons plus ils devraient casquer et à ce rythme-là, les caisses de l’Etat vont vite se remplir.Article  

Evidemment et, faut-il le dire, le principe de cette taxe serait de taxer les riches, ceux qui, selon cet énergumène, ne foutent rien, sauf peut-être entretenir les autres par leurs investissements, mais de ça, ce socialiste bon teint se fiche, il n’aime que les pauvres qu’il encourage à la pauvreté, il les aime tant qu’il les multiplie en créant des assistés, car demain ce seront ses clients, ceux qui feront de lui un astre politique, bien payé, bien nourri, bien logé et, en somme très bien loti. C’est ce qui s’appelle vivre du malheur des autres, Bravo les rouges !

Quel démagogue, quel populiste et quel crétin, il n’imagine même pas que les riches vont se barrer fissa. Cet âne se retrouvera seul avec tous les profiteurs qui vivent du clientélisme des socialistes, mais la source de « l’argent des autres » sera tarie et la matière taxable aura fondu. Il pourrait évidemment interdire de quitter la Belgique, il pourrait aussi construire un mur pour retenir prisonnier les citoyens, cela s’est déjà fait…à Berlin, à une autre époque mais sous le même dogme, l’utopie socialiste destructrice. Les socialistes sont dogmatiques, c’est dans leurs gènes, ils sont dangereux, ce sont toujours des tyrans en herbe d’abord avant de devenir des tyrans absolus, ce qui arrive toujours quand on les laisse faire parce qu’ils ignorent ce que sont la liberté et le respect de la personne humaine. Le socialisme a engendré toutes les dictatures, tous les supplices, de l’extrême gauche à l’extrême droite, ce sont les mêmes sources, les mêmes idées, la même pourriture, il ne faut pas l’oublier et il faut aussi le combattre.

La relance :

Je signalais plus haut que j’allais revenir aux mesures gouvernementales, m’y voici. Milquet nous disait : « On doit d’abord arriver à notre équilibre pour 2014 puis on discutera des mesures de compétitivité….. »

C’est fait, ce gouvernement de bras cassés a pondu des mesures en faveur de la relance dans le cadre du difficile exercice de l’équilibre budgétaire. Il est content de lui, comme de coutume !!

Combien pour la relance ?  151 millions d’euros qui viennent s’ajouter aux efforts de juillet dernier, ce qui porte le tout à 260 millions d’euros. Magnifique !

Une première remarque : D’abord la relance ne se décrète pas, je l’ai dit, redit, écrit et réécrit. Il se décrète uniquement dans le monde imbécile, utopique et dogmatique des politiciens. Les politiciens parlent mais ne font jamais rien, ils voudraient regarder faire les autres, soit, mais ce qui est infernal est que ceux qui ne font rien ont, en plus, l’odieuse et insupportable prétention de donner des directives à ceux qui font. C’est parfaitement agaçant et cela n’a aucun sens.

La relance trouvera uniquement sa source dans la volonté des entrepreneurs de « faire ou de ne pas faire » en fonction de critères objectifs. Ils en ont assez de subir des pressions fiscales et des normes absurdes. Les mesures ineptes, couteuses se suivent et se ressemblent, on n’en parle pas ici. Nous sommes un des pays le plus imposé au monde, je l’ai déjà dit. Il faut aussi savoir que le PIB de la Belgique était de 483.7 milliards USD en 2012, ce qui fait 351.7 milliards d’euros au cours du jour. Pour être précis, 260 millions € représentent 0.739 pour mille du PIB, c’est comme si on donnait 0.886 euro à quelqu’un qui gagnait 1.200 euros nets par mois. Il ne pourrait même pas se payer la moitié d’un café dans le moindre estaminet du pays ! De qui se foutent-ils, ces nabots hautains, mais de nous évidemment et comme de coutume ! Il faut dire qu’ils sont plus empressés de plaire à l’Europe, celle qui nous impose des règles absurdes et arbitraires, nous serre dans un carcan et voudrait nous dominer et nous contraindre.

Avec des mesurettes à la noix comme celles-là, ces avocats avortés, ces politiciens professionnels à la tête vide, ces gnomes sans expérience, ces gugusses qui n’ont jamais rien foutu osent nous parler de soutien à l’emploi des jeunes ou des moins jeunes, de pouvoir d’achat des « travailleurs », de réduction du coût du travail ou de l’amélioration de la gestion des soins de santé. Ce sont non seulement des ânes mais également des fous, évidemment, eux, avec 200.000 euros par an, ils n’ont pas de problèmes, ils voudraient aussi rester sur la même route, celle sur laquelle ils s’engraissent et plument le bon Peuple. Il n’y a qu’un mot à rajouter : Assez !

Conclusions :

Ces politiciens professionnels nationaux, internationaux, sous-doués, sous-formés, ignorants et sans expérience, ces eurocrates prétentieux et ces fils à papa de la politique ne se rendent pas compte que la Belgique et l’Europe coulent par leur fait uniquement et non par le fait d’une crise imaginaire. Pendant ce temps la Suisse se porte toujours très bien, de mieux en mieux même, mais ils font mine de ne pas savoir ou de ne pas voir parce que cette réussite est la preuve matérielle, irréfutable de leur propre échec issu de l’application de leurs plans chimériques, néfastes, nauséabonds et criminels.  Je reparlerai de la Suisse comme je reparlerai d’Obama, celui qui coule l’Amérique et le monde libre, je parlerai également de Saul Alinsky, cet agitateur gauchiste qui a formé et inspiré Obama et sans lequel Obama ne serait pas l’extrémiste qu’il est aujourd’hui.

Pour illustrer le dégout du peuple, celui que les gouvernants ignorent, je reprendrais ici un commentaire laissé par une lectrice de www.dreuz.info  qui illustre, mieux qu’un long discours, la perception de l’écrasement économique de notre « vieux continents ». Elle nous dira ceci : « Je suis partie en fin d’année dernière, dans un pays émergent (je ne suis pas « jeune » au sens sociologique du terme, même si je suis encore jeune sur le plan biologique), j’ai quitté une situation établie en France, mais dans laquelle je ne pouvais que régresser. J’ai choisi de monter un business dans un pays émergent, en Asie du Sud Est. L’énergie y est palpable. Les gens, locaux ou étrangers, sont souriants et optimistes. Il y a des projets partout. Quel bonheur ! Je suis revenue passer quelques jours en France pour les fêtes juives, j’ai failli repartir par le 1er avion. Barrez-vous, vous ne prenez aucun risque, le risque c’est de rester ».

Vous imaginez, une femme d’expérience, réfléchie et dynamique qui termine son témoignage par ces mots terribles pour la France (ou pour l’Europe !) : « Le risque c’est de rester !!! ». En d’autres mots, elle nous dit ceci : Courage, fuyez !!!
Bien sûr, elle parlait de la France, mais la France ou la Belgique c’est la même chose, le même combat des nuls pour la sauvegarde du pouvoir entre les mêmes mains, le règne de la médiocrité, la perte de notre civilisation et l’anéantissement absolu de nos valeurs. La politique absurde, spoliatrice et folle menée par des baudets nous conduit, partout en Europe, au désastre. Les causes sont multiples, nous l’avons déjà vu.

Voltaire disait que la politique trouvait sa source dans la perversité plus que dans la grandeur de l’esprit humain. Donc, en plus d’être idiots, ignorants, cupides, incompétents et corrompus, les politiciens sont aussi pervers. Je n’aurais pas osé le dire, mais, si c’est Voltaire qui le dit, je l’accepte volontiers et vous le livre avec délectation et ravissement !

Comment veut-on que les choses aillent bien avec de tels personnages qui jacassent à tous propos, font du bruit, s’agitent pour rien, n’ont aucune vision du monde, aucune solution, éludent les grands sujets ou les débats, occupent seuls l’avant-plan en se battant pour le pouvoir au détriment de ceux feraient mieux qu’eux, se plient au consensus, acceptent les chimères, écrasent nos libertés, accaparent nos ressources et finalement font tant de bruit pour rien ou pour si peu, parce que, c’est bien connu, « le bruit de l’arbre qui tombe couvre celui de la forêt qui pousse. »

Pour en finir, non, je ne vais pas m’abaisser à briguer la présidence du MR, du CDH, du PS ou d’ECOLO, d’ailleurs ils ne voudraient pas de moi, ni les uns, ni les autres. Je serais un empêcheur de danser en rond, ce qu’ils aiment faire. Je voulais seulement marquer le coup et signifier bien fort qu’il était urgent de tout changer dans la politique du Royaume, qu’il était temps aussi de chasser les profiteurs, les incapables, les prétentieux, les inutiles, les corrompus, les pervers, les petits bras ou les gros bras de cette politique uniquement politicienne qui favorise les copains, les clans, les réseaux, les systèmes en place, les carcans qui nous étouffent, et l’organisation générale qui met le pays véritablement à sac et nous vole nos libertés, notre argent et même notre âme. Leur politique est celle qui consiste à trouver un autre rangement dans la même armoire, mais, c’est d’armoire qu’il faut changer, ils en font partie et ne peuvent le voir.

Je ne veux plus de cette Belgique-là, après plus d’un demi-siècle, elle a fini par m’épuiser, il en faudra une autre, faite de Liberté, de bon-sens, de loyauté, d’équité et de justice !

Alors, soyons simples, pragmatiques et sans détour et clamons tous haut et fort :

Du balai !!!