Les imbéciles et les fous ne comprennent pas le mal qu'ils nous font

L’inoffensif despotisme imposé par les imbéciles et les fous conduit toujours à la tyrannie !

Posté par ATB le 17 août 2013

Qui peut le plus, peut le moins et qui est incapable du moins ne vaut pas un pet de lapin !

Je ne vais pas vous raconter une histoire de lapins, mais une histoire de grossiers merles imbus d’eux-mêmes et incapables de gérer des mini-problèmes dans le respect élémentaire des gens ou des citoyens. Incapables du moins, ils sont, tous ensemble, les imbéciles et les fous, responsables de notre déclin.

Voici une première anecdote apparemment anodine qui démontre l’esprit que je critique depuis longtemps et qui domine trop souvent dans les médias classiques, parmi les faiseurs d’opinion et les dirigeants politiques ou ceux qui les assistent ;  Dogme, pensée-unique, bêtise, aveuglement et surdité, obstination, mensonge, manipulation des mots, des faits et de l’histoire, grossièreté dissimulée derrière une apparente bienveillance, hypocrisie, prétention, mépris du peuple, inefficacité (économique surtout), langue de bois, la liste est longue, si longue qu’on pourrait remplir des pages entières…

Ainsi donc,  un soir du mois de juillet dernier, pour mon malheur et le bonheur des malfaisants qui sévissent légalement sur les lieux (si, si, ça existe !!!), j’ai garé la voiture à Ixelles dans une rue en apparence calme, il était près de 20h, tout semblait paisible, familier, alors, je ne me suis pas rendu compte que je venais de tomber dans un piège grossier tendu par la Commune et son nouveau complice, la société de parking Vinci-Park…

Nous étions à quatre et nous nous rendions tranquillement dans un  restaurant japonais pour savourer quelques sushis agrémentés, au passage, petit privilège apprécié qui vaut  bien le détour, d’une fière ration de thon gras que le boss réserve principalement aux habitués. Rien à dire évidemment sur le restaurant, on connait l’endroit depuis longtemps, le patron japonais est accueillant, sympathique, poli, prévenant, le personnel l’est aussi, voilà des gens qui ont le sens et le respect du client, c’est normal, nous sommes dans le privé et une maison tenue avec finesse et intelligence est capable de concilier son intérêt avec celui de ses clients, voilà une symbiose parfaite qui fait le bonheur de toutes les parties !

Or, même si cela semble normal, un accueil de qualité fait toujours plaisir et il finit même par surprendre ou étonner dans cette époque de valeurs inversées, de mensonges, d’impostures et de crétinerie ambiante organisée, entretenue et érigée en véritable système par nos aimables dirigeants politiques professionnels parfaitement incompétents et pourtant tellement contents d’eux-mêmes. Dans ce restaurant, la qualité de la nourriture est également toujours au top, bref, on lâche son argent avec un certain bonheur pour un service d’un excellent niveau et on quitte toujours cet endroit dans l’esprit de na pas voir été volé avec aussi une seule idée en tête… Celle d’y revenir très vite. L’art de savoir traiter le client se perd trop souvent alors que celui de l’escroquerie, de la duperie du vol et de la tromperie prospère, même là où l’on ne l’attend pas,comme nous le verrons plus loin, triste contraste, triste époque !

Hélas, en sortant du restaurant, la fête était finie, nous ne le savions pas encore et allions bientôt le constater. Malgré la douceur de la nuit qui tombait dans un ciel sans nuage, lorsque nous avons repris la voiture, une douche froide et soudaine s’est abattue sur nous sous la forme d’un désagréable papillon posé sur le pare-brise de la voiture par la société Vinci Park. Les sbires de ladite entreprise avaient encore sévi à cette heure tardive et ils venaient de nous coller une prune de 20 euros pour ne pas avoir alimenté le parcmètre. J’étais consterné (nous l’étions tous !!!), les bras m’en sont tombés, je me suis garé un peu avant 20 h et j’ignorais totalement qu’à cet endroit il fallait (encore !!!!) payer jusque 20h30. Comment d’ailleurs aurais-je pu le deviner ?

Pour la bonne forme, j’avais tout de même essayé de contrôler l’horaire sur ce foutu appareil et, ne trouvant pas rapidement l’information (ce qui devrait être immédiat !!) dans une pénombre relative et sur un écran à l’information brouillonne, je me suis rangé à l’usage constant qui consistait, toujours et partout, à faire payer les braves gens jusque 18h ou 18h30 et jamais au-delà. Je ne me suis pas inquiété  et nous sommes partis en paix, la paix de l’innocence et de l’honnête homme qui pensait n’avoir rien à se reprocher. Mal m’en a pris, je le confesse aujourd’hui, j’étais honnête, ils ne l’étaient pas, mais qui étaient-ils ces forbans qui nous menaçaient dans l’ombre, nous devions le découvrir plus tard à nos dépens !

Devant ce qui me semblait être une injustice criante, j’ai alors demandé à mon fils de 24 ans et à un piéton qui passait par là de regarder s’ils pouvaient distinguer facilement un horaire suffisamment visible sur cet appareil de misère. Ils ont dû chercher, chercher et chercher encore, déchiffrer aussi une foule d’informations inutiles pour trouver enfin un horaire écrit en petit à un endroit où on ne l’attendait pas. Le piège était parfait, c’est honteux, la Commune et la société Vinci-Park peuvent être fières d’elles, les forbans venaient d’être identifiés, ce sont des institutionnels, c’est plus grave, mais cela me paraissait tellement invraisemblable que je croyais encore à l’erreur, une erreur qui ne manquerait pas, me disais-je, d’être réparée à ma première demande parce qu’elle était évidente, tellement évidente que cela tombait sous le sens !!!

Je me suis dit qu’en une seule lettre bien tournée je réussirais bien à faire tomber cette amende injuste. C’était une question de bonne foi, d’honnêteté et de respect du citoyen, en fait, une simple formalité, c’est ce que je croyais, je pensais que dès la réception de ma plainte, ils s’excuseraient poliment et feraient sauter cette amende injustifiée en me mettant toutefois en garde pour l’avenir. Dès le lendemain, sûr de moi et de mon bon droit, j’écrivais le cœur léger à Vinci Park le message suivant :

----- Original Message ----- 
Sent: Wednesday, July 17, 2013 9:22 AM
Subject: réclamation

Messieurs,
Hier soir vers 20h je me suis garé à Ixelles rue de l'Athénée. Par acquit de conscience, j'ai tout de même voulu lire les informations sur la borne la plus proche de ma voiture malgré l'usage constant qu'après 18h ou 18h30 (19h, peut-être) il ne faille jamais mettre d'argent dans les horodateurs. Je n'ai trouvé aucune information LISIBLE sur cette borne, malgré l'usage de mes lunettes (j'ai 58 ans et suis presbyte !) et en ai conclu, qu'à cette heure-là, il ne fallait pas payer comme de coutume partout et depuis toujours. A mon très grand étonnement je devais constater, à mon retour, que j'avais été verbalisé pour ne pas avoir payé. Je suis retourné vers cette borne, toujours illisible pour moi et ai dû demander l'aide d'un passant plus jeune que moi. Il devait s'avérer qu'il était écrit, en tout petit, qu'il fallait payer jusque 20h30. Ce que j'ignorais et ne pouvais pas savoir.
En conséquence et au vu du caractère exceptionnel de ma demande (je n'ai aussi presque jamais d'amendes), je vous demanderais de bien vouloir annuler l'amende en question, je pense que cela serait fair-play étant donné ma parfaite bonne foi et le fait surtout de l'information illisible pour moi. Je suis rarement à Ixelles, je prendrai garde la prochaine fois.
J'espère que vous me comprendrez.
Bien à vous
ATB

Pour la bonne forme également, j’ai envoyé un bref message à la Commune d’Ixelles pour l’avertir de la réclamation en cours :

 

----- Original Message ----- 
Sent: Wednesday, July 17, 2013 9:30 AM
Subject: Fw: réclamation

Messieurs,
Merci de faire suivre au département concerné.
Veuillez, pour la bonne forme, trouver la copie de mon message à Vinci Park. Je vous assure avoir été très choqué par cette situation et compte aussi sur vous pour que cette amende injuste soit annulée. Je me "suis battu avec mes lunettes" pour trouver une information accessible sur la borne sans succès et, pour couronner le tout, on me verbalise ensuite. Je suis de parfaite bonne foi et compte sur votre compréhension.
Bien à vous
ATB

La Commune ne me répondra pas, c’est « normal » et Vinci Park me répondra ceci :
----- Original Message ----- 
Sent: Saturday, July 20, 2013 2:45 PM
Subject: RE: 661/4684/39864

Madame, Monsieur,

Nous accusons réception de votre courrier concernant le stationnement à Ixelles, dont références reprises ci-dessus.

Comme mentionner sur le dos de la redevance. Ce tarif donne droit à stationner dans les zones de stationnement payant selon les indications annoncées aux horodateurs = 20h30 et dans les zones bleues le matin de 9h00 jusqu’à 13h30, ou l’après-midi de 13h30 jusqu'à 18h00.

Afin de clôturer votre dossier, merci de bien vouloir verser le montant dû sur le compte 733-0562710-43 de VINCI Park Services Belgium en n’oubliant pas de mentionner la référence de la redevance

Nous restons à votre disposition pour de plus amples explications et vous prions d’agréer l’expression de nos sincères salutations.

VINCI Park Services Belgium sa

J’ai évidemment été scandalisé et surpris par ce message absurde qui ne tenait absolument pas compte des faits que je relatais, à mon avis ils ont à peine lu mon message, ils m’appellent même « Madame », j’avais signé de mon nom, c’est dire tout l’intérêt qu’ils ont porté à ma demande. J’en conclus qu’ils s’en fichent complètement, ils ignorent ce qu’on leur écrit, le principe étant de payer et l’équité, comme toujours, elle n’a rien à voir là-dedans.  

Agacé, j’ai répondu ceci avec copie à la Commune d’Ixelles :
----- Original Message ----- 
Sent: Saturday, July 20, 2013 6:13 PM
Subject: Re: 661/4684/39864

Messieurs,
Merci pour votre réponse qui ne tient aucun compte de mes remarques. Ce qui est écrit au dos de votre redevance n'était pas en ma possession avant de prendre cette amende injuste. J'ignorais ces tarifs pour la raison qu'ils ne sont pas expliqués et que l'information succinte reprise sur l'horodateur était illisible, ceci en dehors du fait que je n'ai jamais connu de zones où il fallait payer après 18h30. Je suis de bonne foi et j'étais dans l'impossibilité de lire l'information disponible sur l'appareil parce que c'était écrit en trop petit. Malgré cela vous trouvez normal de me contraindre à payer. C'est parfaitement honteux et je mesure mes mots.Je persiste à vous demander justice en toute équité, c'est à dire à annuler cette amende.
J'envoie copie de ce message à la commune d'ixelles et à la direction générale de votre entreprise.
Salutations
ATB

La Commune ne me répondra pas, c’est toujours “normal” et Vinci Park me fera une réponse typiquement stalinienne en clôturant également de façon unilatérale et d’autorité le débat. On pourrait traduire son message comme ceci: “Ferme ta gueule, on se fout de ce que tu nous dis, paie et de toute façon, on ne te répondra plus”. Voici son message:

----- Original Message ----- 
Sent: Wednesday, July 24, 2013 12:54 PM
Subject: RE: 661/4684/39864

Monsieur,

Nous accusons réception de votre courrier concernant le stationnement à Ixelles, dont références reprises ci-dessus.

Le dossier étant clôturé sur le fait qu'il n'y aurait pas d'annulation, nous ne pouvons aller contre cette décision.

Nous attirons votre attention sur le fait que ceci sera le dernier mail concernant ce dossier.

Nous vous prions d’agréer l’expression de nos sincères salutations.

VINCI Park Services Belgium sa

On constatera sans peine qu’ils se fichent encore une fois complètement des faits comme ils se foutent d’ailleurs de moi-même, ça fait plaisir mais c’est une chose acquise, totalement acquise. Ce qui est plus grave, ils mentent aussi comme des arracheurs de dents en prétendant: “Le dossier étant clôturé sur le fait qu'il n'y aurait pas d'annulation, nous ne pouvons aller contre cette décision »

En effet, en vertu de quoi ne pourraient-ils plus aller contre leur propre décision. C’est parfaitement ubuesque et totalement grotesque. Ils me prennent en plus pour un con, ce qui ajoute au caractère insupportable de leur message !

Extrêmement choqué, je ne leur réponds plus et, devant tant de mauvaise foi et tant de bêtise, très agacé aussi (il faut bien le dire), j’écris à la Commune d’Ixelles (qui n’avait jamais répondu, il faut bien le dire aussi !!!) en espérant cette fois qu’elle comprenne cette situation de fous. Je ne mâche pas mes mots, c’est vrai, mais pourquoi toujours devoir courber l’échine et se taire devant l’injustice, le mensonge et le fait du Prince (il n’y a pas de respect des règles démocratiques et du savoir-vivre dans cette petite affaire, il s’agit donc bien du « fait du Prince » !) :

----- Original Message ----- 
Sent: Wednesday, July 24, 2013 1:16 PM
Subject: Fw: 661/4684/39864

Voici le mail que je reçois de la part de Vinci Park. C'est scandaleux, pensez-vous que je me donnerais ce mal si je n'étais pas de bonne foi. Vous ne me répondez pas, c'est très choquant également. La population est très montée contre le monde politique qui est perçu comme parfaitement parasitaire, c'est aussi mon avis. Vous n'avez ni la politesse de me répondre ni apparemment le bon-sens de comprendre la situation honteuse à laquelle je dois faire face. Vous me direz que 20 euros c'est peu, c'est un point de vue. Spolier les gens en masquant l'information, c'est le cas ici, est plus apparenté à du vol qu'à une juste pénalité. Je suis à l'étranger, tant mieux, parce que la Belgique me fatigue, et tant pis parce que je ne peux réagir comme je le voudrais d'où je suis. J'envisage d'aller devant la justice de paix, dans la presse et de mettre l'info sur mon site web personnel. Je suis très choqué. Le pot de fer contre le pot de terre...sans doute.
Vous êtes indigne des "responsablités" publiques que vous avez héritées grâce au suffrage universel? mais ça, ce n'est pas neuf !
.
Salutations
ATB

Je ne pensais pas qu’ils me répondraient, ils l’ont pourtant fait après une semaine, en quelques mots et d’une brève lettre du Bourgmestre faisant fonction dans laquelle il était simplement écrit: 

Par la présente, je dois vous informer que les informations relatives aux horaires du stationnement payant sont reprises de manière suffisamment lisible sur le plastron des horadateurs. Aussi la redevance imposée par la société Vinci Park Belgium est considéré comme due et il n’est pas dans mes prérogatives d’y déroger

Bref, une fois encore, on se moquait des faits et on me disait n’importe quoi. Pour peu, ils soutiendraient que la terre est carrée. Pour ces gens là, l’important n’est pas ce qui EST, mais ce qu’ils disent, même si ce qu’ils disent n’a strictement rien à voir avec la réalité. On élude le fond du débat et on se limite au respect de la forme d’une lettre éloignée des faits. Ils le disent, c’est vrai, le citoyen doit s’aligner servilement !!!

Le texte écrit au mauvais endroit et en petits caractères est lisible parce que, moi, oligarque élu  ou fonctionnaire omnipotent, je le dis, je le décrète et le clame haut et fort, point final, circulez, il n’y a rien à voir avec prière de passer à la caisse !!!!

Pourtant, la notion de “suffisamment lisible” est parfaitement subjective, nous sommes quatre à trouver que l’information est peu claire et pas suffisamment lisible, nous étions sur place, nous sommes le Peuple et nous n’avons ni droit à la parole, ni droit à l’écoute et pas davantage droit au respect de nos élus ou de nos fonctionnaires. C’est une honte et ce n’est pas neuf, mais ça aussi c’est un fait, uniquement un fait !

Mais chuuuuuuuuuuuuuuuut, il ne faut rien dire, se rebeller contre le pouvoir et ses fonctionnaires est politiquement incorrect. On est immédiatement taxé de fachos ou de populistes. Ils ont tous les droits, nous n’en avons aucun, surtout pas celui de contester, j’en prends le risque parce que c’est la seule liberté qui nous reste et pourtant, sommes-nous si certains que cette liberté là survivra à l’arbitraire…j’y reviendrai plus loin.

Donc, de retour de l’étranger, je prends une dernière fois la plume (je vous rassure, pour ceux qui sont arrivés jusqu’ici !) et j’écris à l’employée communale qui m’avait fait parvenir la réponse du Bourgmestre :
« Madame,

J'étais à l'étranger et me suis empressé de retourner voir sur place, à mon retour, si, comme vous l’affirmez : "les informations sont reprises de manière suffisamment lisible sur le plastron des horodateurs". Comme l'atteste la photo (photo 1) que j’ai prise aujourd’hui, vers 15h15 sous un soleil de plomb et avec une lumière maximale, l’horaire est écrit en petit, dans le haut de l’écran, partie qui s’assombrira de facto inévitablement dès qu’un manque de lumière se manifestera. Or, lorsque je me suis garé, il était près de 20h et, malgré mes lunettes, je n’ai rien pu lire comme je ne pouvais pas non plus m’attendre à devoir payer jusque 20h30, ce qui est aussi plus qu’inhabituel, il faut bien l’admettre. Je suis de bonne foi, tout le monde s’en fiche, quelle curieuse façon, antisociale également, de traiter le public. Nous sommes des vaches à lait, seul l’argent compte et au diable les règles d’une bonne déontologie tournée vers le citoyen.
Vous avez formellement raison, ce texte est suffisamment lisible, quand on est jeune, sous une bonne lumière et lorsqu’aussi on guette également tous les pièges. Qui peut s’attendre à devoir payer jusqu’à 20h30, pas moi qui conduis pourtant depuis 40 ans.

Je reste très choqué par cette attitude et espère encore bénéficier de votre bonne compréhension. Je l’espère plus que j’y crois, on ne sait jamais, je m’en remets à vous. 

Bien à vous
ATB
 »

PHOTO 1
Vous constaterez (peut être !!!) que si le tarif est plutôt lisible (à droite sur fond blanc), l’horaire ne l’est pas du tout ou très difficilement. D’abord, il faut savoir dénicher l’information dans ce fouillis (texte centré en dessous de Parkeon) et ensuite on se demande aussi pourquoi avoir écrit en petit ce qui était le plus essentiel pour le pigeon, pardon, pour l’utilisateur. On pourra aussi remarquer (peut être !!!) que dans le cadre jaune-orangé (je ne rigole pas !!), il est aussi fait allusion à l’horaire, mais alors là, bonne chance pour distinguer quoique ce soit si l’on n’est pas armé d’une très grosse loupe !

Ma rage ne vient pas d’ailleurs, cette impression très nette d’avoir été piégé, mais, la Commune d’Ixelles s’en fout et Vinci Park s’en fout complètement aussi. Le bon-sens, la démocratie, le droit à la défense et à être écouté ou entendu, le duo Commune d’Ixelles/Vinci Park s’ s'assoit lourdement dessus et vous regarde avec mépris du haut de leur grandeur imaginaire.

Alors, si je ne bénéficie pas de la liberté élémentaire d’être écouté, il me restera celle de dire et d’écrire que dans le cas d’espèce, la Commune et le gestionnaire des parking agissent plus comme une association de malfaiteurs que comme des honnêtes gens respectueux de faire appliquer une juste règle. C’est un fait qui ne plaira pas, mais je m’en moque parce que c’est un fait ! 

Et ce n’est pas fini…Dans la foulée de mon dernier écrit, j’ai téléphoné à la fonctionnaire qui m’avait fait parvenir la réponse du Bourgmestre pour lui exprimer mon dégoût. Je dois m’empresser de dire que cette jeune dame au moins était polie, fort gentille et à l’écoute de mes propos (il y en avait au moins une, je lui dis merci !). Elle m’avoua ne rien pouvoir faire, tout en le regrettant et m’assura qu’elle en touchera un mot à l’autorité compétente. Peu de temps après, la Commune d’Ixelles me rappela, elle avait fait passer le message, je m’en suis d’abord réjouis pour rapidement déchanter ensuite. Un homme, poli en apparence, me confirma qu’il avait bien reçu ma plainte maisque selon lui, l’information était lisible, l’amende était donc due…Fin du débat, il faut payer, au revoir Monsieur !

J’avoue avoir été soufflé par cette attitude indigne et bornée à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Je lui ai alors répété ma position. Là, le bonhomme s’est montré tel qu’il était réellement, poli dans la forme, il n’écoutait pas, ne répondait pas, mais préférait plutôt sortir carrément du sujet pour me lâcher soudain que je ne devrais plus conduire parce que c’était dangereux (sans doute préjugeait-il que j’avais une mauvaise vue, ce qui n’est pas le cas). Poursuivant dans l’impertinence, il m’a alors suggérer de changer de lunettes (or je ne porte pas de lunettes, sinon pour lire et ma vue est excellente) !!!! 

Cette dernière insolence démontrant aussi qu’au-delà d’être grossier, ce triste sire était également ignorant (un presbyte n’est pas un myope !) donc, accessoirement, il faudra également constater qu’il n’est pas très malin non plus. En effet, il ne faut pas être très malin pour affirmer n’importe quoi, simple déduction. Obtus, insolent, ignorant, pas malin et grossier, voilà le profil de ce « cadre-dirigeant » de la Commune d’Ixelles. Heureusement qu’on a donné des responsabilités à un type de ce genre, c’était tellement agréable d’être en contact avec lui !!!

Bon, je plaisante, quel désagréable personnage. En outre, ce type me trouvait également grossier(caractéristique d’une manipulation sémantique systématique et de l’inversion des valeurs chez les socialo-bobo-gauchos) alors que je n’utilisais aucun nom d’oiseaux à son égard et que j’étais simplement factuel, ferme et déterminé face à sa mauvaise foi crasse.  Je le contredisais simplement, ce qui pour lui, était insupportable et devait relever de la pure grossièreté. On peut débattre, mais uniquement quand on est d’accord avec lui, pour qui se prend-il ce nabot ?

Mais je reviendrais sur ma grossièreté faussement présumée, dans le cadre d’une seconde anecdote où nous verrons que le dogme conduit partout aux mêmes attitudes, aux mêmes mensonges, aux mêmes inversions et au même rejet des valeurs démocratiques.

Me presser à changer de lunettes (que je n’ai pas !!!) et vouloir m’interdire de conduire, voilà, pour le moins une réponse bien insolente et grossière de la part d’un fonctionnaire censé servir la population (j’ai des témoins !). Quand les employés ou les politiciens communaux traitent le public avec mépris, hauteur, désinvolture, grossièreté, insolence et qu’ils refusent tout dialogue digne de ce nom en voulant imposer leur vue unique et restrictive sans accepter le débat, ils font glisser doucement notre démocratie vers la dictature. Je savais que nous étions dans une particratie nullissime et ridicule, je l’écris assez, mais là, ça dépasse les bornes. Ils sont prêts à tout, même pour 20 euros ! 
Tout cela est révoltant mais ne m’étonne pas du tout et, Dieu merci, aujourd’hui il y a Internet pour rectifier les faits. Cela ne servira pas à grand-chose, sinon à confondre les coquins et ce sera déjà ça !!!

Agacé par cet invraisemblable olibrius borné au cerveau formaté une fois pour toute, je lui ai dit qu’il était grossier, ce qu’il n’a pas compris parce qu’il pense sans doute avoir tous les droits que devrait lui conférer son poste éminent. J’ai alors enchaîné en lui disant que j’allais lui passer mon fils qui était avec moi lors des faits. Mon fils a 24 ans, il est graphiste/Web-designer professionnel et il en connait un brin sur la clarté de tous les types de documents ou de supports. Mon fils lui a précisé que l’ensemble formé par les textes apparaissant sur cet horodateur était un fouillis véritable, que l’essentiel n’était pas ciblé (horaire et prix) et également que l’information importante était écrit en trop petits caractères et, fait aggravant, il a ajouté que dans la pénombre le bord de l’écran faisait de l’ombre sur le texte qui donnait l’horaire (en trop petit déjà !). Le bonhomme n’avait toujours rien compris sans doute, je l’ai déjà dit, parce que sourd et pas malin l’information n’est pas arrivée à son cerveau. En effet, lorsque j’ai repris l’appareil il m’a dit outré : « Comment votre fils peut-il parler comme ça ! ». Or mon fils n’a rien dit d’extravagant ou d’impoli, il a été factuel, mais les doctrinaires n’aiment pas les faits et tout ce qui pourrait contrarier leurs idées reçues, mon fils a seulement contesté la clarté de l’information sur ce foutu horodateur. C’était son avis, un avis professionnel en outre et c’était aussi son droit de s’exprimer, mais, apparemment ce fonctionnaire ne lui reconnaissait pas ce droit élémentaire.  Il fallait se taire, ne pas courber l’échine était un sacrilège que le bonhomme ne pouvait pas supporter. Ce genre de personnage n’aime pas la liberté des autres, c’est un petit chef sourd et aveugle au service de l’utopie collectiviste qui veut écraser les hommes et leur dignité.

Il fallait se taire, ne pas commenter et admettre la parole de Dieu pour qui il semblait se prendre. Il me répondra simplement : « Moi Je pense que…. », comme si l’Autre ne comptait pas. Il fallait accepter son « Moi »démesuré et la parole divine qui émanait de son Auguste personne.
Devant cette totale mauvaise foi, j’ai voulu faire dire à cet olibrius qu’il aurait été légitime et de bon-sens d’afficher l’horaire et le tarif dans un corps identique au même endroit, c’était logique et cela aurait été plus clair pour l’utilisateur. A question simple, réponse simple, il aurait pu ou dû me répondre par oui ou par non, ce n’était pas si difficile…et pourtant ! J’ai dû m’y reprendre à 4 fois et chaque fois cet énergumène me répondra : « Moi, je pense que c’est suffisamment lisible ». S’il avait assumé sa totale mauvaise foi, il aurait dû me répondre « non », mais il n’a même pas eu ce courage, il a biaisé comme un lâche en me répétant comme un perroquet son pauvre refrain stupide et totalement subjectif. Je lui suggère donc d’en faire une chanson !
D’une façon générale également, les types qui répondent par « Moi je » ont un égo surdimensionné et ils se prennent aussi pour Dieu, ils sont incapables d’écouter les autres et se satisfont ou se complaisent uniquement leur doux babil. Alors, je répondrais, à mon tour, à ce type en reprenant sa formule favorite : «  Moi je pense qu’un bonhomme comme lui ne devrait pas avoir la moindre responsabilité parce qu’il est incapable de les assumer et, qu’en outre et vu la façon dont il traite le public quand celui-ci n’est pas d’accord avec lui, il devrait être interdit de parole avec la population, sinon en Corée du Nord ou à Moscou à l’époque de l’URSS. Moi je pense aussi qu’on devrait plutôt lui coller un balais dans les mains (avec un mode d’emploi pour qu’il en comprenne le fonctionnement) avec la mission délicate de balayer les couloirs de la maison communale ». 

Pour conclure ce sujet et pour informer aussi les oligarques ixellois de tous poils (s’ils me lisent ?), je publie ici, la photo d’un horodateur (photo 2) situé avenue Huart Hamoir à Schaerbeek qui montre exactement ce qu’est une information claire, honnête et sans ambiguïté,  celle que je revendique justement en vain auprès des autorités ixelloises qui me rient au nez, répondent à côté du sujet, refusent tout dialogue avec moi et finalement se foutent largement de ma pomme. Cette photo se passe de commentaire et vaut toutes les conclusions quand on est objectif et sain d’esprit. Mais encore, faut-il être objectif et sain d’esprit, ce qui, semble-t-il, n’est pas le cas de tout le monde.

PHOTO 2
On remarque tout de suite le créneau horaire pendant lequel il faut payer, entre 9h et 18h, qui est signalé en gros caractères blancs sur fond vert au milieu de notre champ de vision. Il y a un reflet sur la photo qui rend ce texte moins lisible, mais en « original », cet effet n’existe pas et l’information est tellement claire qu’elle saute aux yeux immédiatement et en premier lieu, CQFD.

Nous n’en serions pas arrivés là si les ixellois avaient suivi le modèle de leurs homologues schaerbeekois. La vérité était-elle si difficile à reconnaître ou à admettre, dans un débat juste et honnête, respectueux du citoyen, oui, sans doute, quand on est buté et de totale mauvaise foi. Comme dirait Audiard : « Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait »

Si la question des 20 euros est un détail (Et encore, pourquoi faudrait-il jeter 20 euros à la poubelle ?), l’esprit qui domine derrière l’attitude de ce fonctionnaire est aussi le symptôme de notre époque. Je ne dirais pas qu’il est socialiste, je n’en sais rien, mais son attitude était doctrinaire ou arbitraire, ce qui revient au même. Or, le socialisme est toujours doctrinaire et il conduit souvent aussi à la tyrannie absolue. Celui qui suit la politique française aura remarqué que l’on dit des socialistes français qu’ils ont édifié, en France, un véritable régime socialiste qui bouffe petit à petit les libertés individuelles. Certains disent même de François Hollande que c’est un dictateur. C’est évidemment exagéré, mais, en démocratie, on devrait pouvoir dire ce qu’on veut sans s’attirer les foudres des autorités, la seule limite qui existe est celle de la diffamation  qui restera du ressort exclusif des tribunaux. Mais, si Hollande n’est pas encore un dictateur son régime en prend la route, les exemples sont pléthoriques.  Pour n’en prendre qu’un seul, Taubira (Ministre de la Justice) nous dira de la contestation populaire contre le mariage pour tous encore exprimée lors du défilé du 14/07 : « La loi, elle est là, elle est votée, elle est appliquée déjà. C'est un incivisme qui se complaît sur lui-même, qui se vautre dans la satisfaction de sa propre contemplation, qui s'enlise dans une protestation dont peut-être lui seul connaît l'issue »  Article 

En clair, elle nous interdit de penser, de nous exprimer et elle nous retire aussi le droit de protester ou de contester (comme mon type à la Commune d’Ixelles). C’est typiquement un comportement stalinien, tyrannique et dictatorial et, quand on est ministre de la Justice (en plus !!!), c’est bien plus inacceptable encore !!!

Quel toupet, quelle insolence (comme mon ixellois de bonhomme) et quel déni de démocratie de la part d’un membre du gouvernement de la France qui vire, maintenant et avec de tels comportements, en une véritable république bananière.  Non seulement ces gens (le gouvernement français) sont nuls mais ils entrent doucement dans la tyrannie en voulant étouffer et interdire toutes les contestations. Hitler (socialiste) était un parfait dictateur et pourtant il a été élu démocratiquement. L’un n’empêche pas l’autre, nous le savons tous, il faut être vigilant, le suffrage universel n’est pas la garantie absolue contre la dictature ! La capacité de suivisme de l’appareil de l’Etat et des sbires qui le composent est tel que de braves gens (policiers par exemple comme tous types de fonctionnaires) font n’importe quoi par opportunisme, par obligation, par carriérisme, par crainte ou par manche-à-ballisme sous les ordres d’un pouvoir politique toujours sacralisé, surtout lorsqu’il tend vers l’absolutisme. Ce pouvoir détourné et abusif sera pourtant, toujours et quoi qu’il fasse, présumé légitime. Les petits chefs suivent les gouvernants, le schéma n’a pas changé, il ne changera jamais et il conduira doucement à la dictature.

Ainsi, la légitimité du pouvoir semble acquise aux dirigeants élus même (surtout !!!) lorsque leur popularité est en chute libre. François Hollande, ave72 % de mécontents a suscité la vocation d’un pilote d’avion qui traîne derrière lui une banderole sur laquelle il est inscrit : « Hollande démission » Hollande démission . Evidemment la gendarmerie sur ordres venus « d’en haut » mène une enquête sur ce courageux pilote, elle tente aussi de faire passer le message selon lequel le gouvernement ne se laisserait pas faire. On comprendra qu’il faille se protéger contre ce dangereux terroriste qui paisiblement, avec humour, originalité et une mise en scène un peu théâtrale  ne fait qu’exprimer une opinion certainement partagé avec une majorité de français. Voici une preuve de plus que les socialistes ne respectent pas la liberté d’expression et finalement la liberté tout court !

Alors quand je vois un olibrius, fonctionnaire communal de surcroit, se moquer de moi ouvertement comme il l’a fait, je ne trouve pas ça anodin du tout. On sait toujours où ces brimades commencent, mais on ne sait jamais vraiment où elles mèneront. C’est encore mon droit d’homme libre d’hurler à l’abus de pouvoir ou à la tyrannie et de clamer tout haut mon indignation. Pour combien de temps encore vais-je pouvoir crier mon exaspération, c’est une véritable interrogation, parce que le jour où les phénomènes de son acabit se multiplieront dans les arcanes du pouvoir, le débat n’existera plus, il ne subsistera plus que la propagande fielleuse des oligarques en place. Nous y sommes presque arrivés, courage, léchez encore un peu les bottes de ces apparatchiks vaniteux et gonflés d’orgueil, continuez comme ça et bientôt nous n’aurons plus de libertés !

Dire la vérité, refuser l’arbitraire, montrer du doigt les imposteurs et les menteurs ne me donnera peut-être pas la victoire, il conviendrait mieux sans aucun doute d’être un lâche ou un couard, se taire, faire du boniment aux gouvernants et à leurs valets pour espérer des faveurs, ou gagner une place parmi eux (cad entrer en politique par la petite porte) mais, je ne demande ni faveurs ni privilèges, je ne veux pas non plus être leur copain, je veux  seulement la Justice et l’équité et je ne transigerai jamais avec les fous, les tyrans en herbe, les exploiteurs ou les profiteurs que le hasard du suffrage universel aura conduit au pouvoir.

 « Je préfère encore un échec honorable à une lâche victoire » (Sophocle).
Rappelez-vous ; Le monde avance de l’exceptionnalisme des hommes dans la liberté, il recule toujours lorsqu’il est conduit par des minables dans la contrainte et l’étouffement des libertés

Les politiciens sont élus, ce qui leur donne une légitimité mais ne leur confère pourtant aucune qualité. Ils se cooptent entre eux au sein des « grands partis » pour se présenter aux élections. Ils doivent leur place purement au hasard d’une élection, au marchandage politicien et non à la réussite de quelque chose de concret ou de remarquable qui aurait démontré des compétences particulières. Dans ces circonstances, il sera très difficile de trouver des hommes d’exception en politique en Europe (ou ailleurs). D’ailleurs l’Europe s’effondre malgré les  gesticulations imbéciles et verbales des gouvernants (j’y reviendrai !) qui voudraient nous faire croire le contraire.

J’avais déjà évoqué Steve Jobs dans mes textes Gugusse , maintenant qu’il est parti, je le cite encore parce qu’il illustre et démontre, déjà à lui seul, que les hommes exceptionnels font le succès des entreprises (donc de l’économie d’un pays, donc des emplois, donc de la croissance….) et que sans eux, les édifices les plus solides s’effondrent comme de vils châteaux de cartes. Jobs avait fait le succès d’Apple, une première fois, il avait été éjecté, Apple a périclité jusqu’à ce qu’on aille le rechercher en panique la queue entre les jambes. Maintenant que Dieu (le vrai, pas le type d’Ixelles) l’a rappelé à lui, le manque d'innovation d'Apple inquiète de plus en plus jusqu’au plus niveau de l’entreprise qui craint le pire….Je l’avais prévu, je l’avais dit, je l’avais écrit, cela ne m’étonne pas, il n’y aura que les idiots pour s’en surprendre. 

« mardi 13 août 2013 16:36 GMT
D'abord Steve Wozniak, puis maintenant Larry Ellison et même l'ensemble du conseil d'administration d'Apple. Tous expriment, à des degrés divers, un certain pessimisme sur l'avenir d'Apple.
Le karma de Tim Cook n’est plus au beau fixe. Alors que tous les fans d’Apple espèrent être éblouis à la rentrée par les nouvelles annonces de produits, beaucoup de personnes haut placées commencent à douter de la capacité d’innovation de la firme. Interrogé hier par la chaîne CBS News, Larry Ellison, PDG d’Oracle et ancien ami de Steve Jobs, pense que le fournisseur est sur le chemin du déclin. « Que va devenir Apple sans Steve ? », lui demande le journaliste. « Eh bien, nous le savons déjà, explique le PDG. Cette expérience a déjà été faite. Nous avons connus Apple avec Steve Jobs [le doigt de Larry Ellison monte en l’air], nous avons connus Apple sans Steve Jobs [le doigt de Larry Ellison descend], puis nous avons connus Apple avec Steve Jobs [le doigt de Larry Ellison remonte], et maintenant nous allons revoir Apple sans Steve Jobs [le doigt de Larry Ellison redescend]. »
Certains diront que ce n’est que l’avis de Larry Ellison, un personnage extravagant connu pour ses avis tranchés et pas toujours de bonne foi. Le problème, c’est qu’il n’est pas le seul à être pessimiste. Depuis des mois, Steve Wozniak fait entendre ses inquiétudes à propos de la société qu’il a cofondée avec Steve Jobs, estimant qu’elle n’innovait plus assez et faisait du surplace. Plus grave, le conseil d’administration d’Apple lui-même - le « Board of Directors » - commence à broyer du noir. Il y a quelques jours, un reportage diffusé sur la chaîne Fox Business avait révélé que cette instance de contrôle et de décision commençait à se poser des questions : Apple est-il assez innovant ? Les prochains lancements de produits suffiront-ils à garder la tête devant ? Ne faudrait-il pas accélérer la cadence ? etc. D’après l’auteur du reportage, Tim Cook a toujours la pleine confiance de ce conseil, qui compte parmi ses membres l’ex-vice-président des Etats-Unis Al Gore ou le PDG de Disney Robert Iger. Mais si les choses ne s’améliorent pas, tôt ou tard la responsabilité de Tim Cook en tant que capitaine d’industrie sera mise sur le tapis.
35 % de la capitalisation se sont évaporés.
Il est vrai que depuis la disparition de Steve Jobs, les performances d’Apple ne sont pas à la hauteur de ce qu’on l’on avait connu. La firme se contente de faire évoluer ses produits et de combler quelques trous dans les gammes existantes : un iPad mini par-ci, des iPods touch plus colorés par-là, etc. En termes d'innovation, c'est plutôt Google qui a fait parler de lui ces derniers mois, avec notamment ses Google Glass. Pour l’instant, la marque à la pomme capitalise encore sur son aura d’ingéniosité et la dynamique de ses ventes. Mais en parts de marché smartphone, le fournisseur a été dépassé depuis longtemps par son rival Samsung. Le lancement d’un iPhone low cost, régulièrement colporté par des rumeurs, pourrait inverser cette tendance, mais au risque de détruire l’image de luxe et d’exclusivité que la marque s’est construite. Les espoirs se concentrent donc sur la fameuse iWatch. En bourse, l’entreprise a perdu 35 % de sa valeur en l’espace de moins d’un an, le titre passant de 700 euros en septembre 2012 à près de 450 euros actuellement. Les prochains mois pourraient donc se révéler décisifs pour l’avenir de Tim Cook. Source : Le reportage de Fox Business » Article 
Conclusion : Contrairement à une idée reçue, les gens d’exception sont absolument nécessaires, ils sont aussi  irremplaçables 
L’affaire précédente, celle de l’horodateur, m’amène à une seconde anecdote vécue intégralement qui illustre, elle aussi, la manipulation sémantique, non plus du pouvoir cette fois, mais des médias. Ils sont tous unis dans un combat identique, la réécriture de l’histoire, des faits, l’anéantissement de notre civilisation, de ses valeurs et le remplacement des populations.

Début juin 2013, un jeune homme de 19 ans est mort stupidement à Paris dans une bagarre entre deux bandes, une bande d’extrême gauche dont il faisait partie et une bande d’extrême droite. 
Qui était ce garçon selon le NouvelObs qui n’est pas précisément un journal de droite : « Son groupe à lui, c'était l'Action antifasciste Paris-Banlieue. "Un antifascisme radical, pour qui la lutte anticapitaliste contre l'Etat libéral et l'extrême droite est prioritaire, observe le politologue Philippe Lamy. Le groupe de Clément est assez sectaire, autonome, on y entre uniquement par cooptation. Pas plus de cent, ils sont les seuls à mener une action concrète contre les groupuscules d'extrême droite. » Article 

Ce paisible jeune homme appartenait donc à un groupe « assez sectaire » qui est « le seul à mener une action concrète contre l’extrême droite » et ce n’est pas moi qui le dis, mais un journal de gauche le 19 juillet dernier. Nous en prenons bonne note ! 

Le jeune homme tristement décédé était d’extrême gauche mais, il ne fallait surtout pas faire de cette histoire affreuse une affaire politique….c’est évidemment ce que la gauche, le gouvernement français à l’unisson et les médias n’ont pas fait. Tous se sont rués sur ce qu’ils ont immédiatement considéré comme une bonne opportunité de taper sur l’extrême droite et indirectement sur la droite. Ils avaient déjà trouvé les  coupables avant même qu’une enquête impartiale n’établisse les responsabilités de chacun.

Cela m’a énormément choqué, il aurait fallu se taire comme la décence le commandait, mais la gauche est indécente et totalement impudique, elle a profité de ce drame épouvantable pour désigner d’office le responsable de son choix son « ennemi obsessionnel et séculaire » en espérant tirer les marrons du feu. Lamentable !

Alors, j’ai pris la plume pour réagir sur le site de L’Express (journal français très connu), je savais qu’ils pratiquaient une police de la pensée efficace….j’ai voulu constater, par moi-même, j’ai été conquis bien au-delà de mes espérances et, si j’avais un doute sur l’objectivité de ce journal, je n’en ai plus du tout, il s’est envolé pour se transformer en certitude !!!

Evidemment le journal, comme la plupart des médias, s’en prenait à la droite extrême (que je n’aime pas davantage que l’extrême gauche, soyons clair !)  sans faire le moindre travail d’enquête, c’est habituel dans la « grande presse  autoproclamée », on préjuge d’abord, telle est la règle absolue ! 

J’avais donc écrit de façon réservée, mais factuelle, le message suivant : « Certes…Mais pourquoi occulter toujours qu’extrême gauche et extrême droite c’est chou vert et vert chou, tous sont issus du socialisme, doctrine mortifère s’il en est ! Pourquoi magnifier sans cesse l’extrême gauche et toujours occulter le fait que cette gauche-là est archi-violente, qu’elle est l’héritière historique des Lénine, Staline, Beria, Trotsky et de la plupart des assassins politiques du globe, qu’elle a massacré, déporté, torturé des dizaines de millions de personnes en Europe et ailleurs sans sourciller au nom de leurs idées préconçues. Pourquoi occulter encore le fait que ces groupuscules ultragauchistes sont composés d’agitateurs violents prêts à tout et qui veulent absolument en découdre avec quiconque ne partagerait pas leurs idées. Pourquoi occulter que cette bande de gauchistes invétérés auraient peut-être (je suis prudent) été les assaillants, les provocateurs ; (d’autres médias moins serviles développaient cette thèse).
La récupération politique de cette affaire est absolument scandaleuse, la pudeur voudrait qu’on se taise et qu’on laisse faire la justice (à charge et à décharge – doux rêve ?). Je crois, pour faire simple dans cette histoire atroce, qu’une bande de crétins a agressé une autre bande de crétins, qu’une bagarre s’en est suivie et que cette bagarre s’est terminée par un drame, un drame stupide que personne n’avait prévu et que personne n’aura voulu, ni à droite ni à gauche. C’est une simple histoire de cons qui a pris une tournure abominable. Par pudeur, je me tairais ici, sans dire ce que je pense des uns ou des autres, sans prendre parti, un enfant (19 ans !) est mort, quel drame, la responsabilité est chez tous ceux qui ont pris part à cette bagarre absurde. Ce sont des cons, c’est tout. »
Voilà, c’est tout, je pense avoir été réfléchi, modéré, pudique même, ne pas avoir mis en cause un camp plutôt que l’autre…et pourtant voici leur réponse immédiate (15 minutes après ma publication):
« Bonjour,
Votre message a été modéré.
Merci de vous abstenir de tout propos orduriers toute insulte ou de toute agressivité envers les autres intervenants, envers LExpress, envers des personnalités publiques etc.
Pour plus d’informations sur notre politique de modération, vous pouvez lire notre charte des commentaires.
Bien à vous,
Eric Mettout
Directeur éditorial LEXPRESS.fr
 »

Les staliniens avaient encore frappé, ils ne voulaient pas de dialogue, ils voulaient seulement accuser ceux qui les arrangeaient. Furieux j’ai répondu ceci : 
« Je n’insulte personne, ne suis pas ordurier, je ne suis agressif envers personne, je suis poli et factuel, c’est tout !
Vous désinformez et n’informez pas !

Salutations »
Je n’ai pas obtenu de réponse ou d’explication….le couperet était tombée !
Pris d’un léger doute sur le contenu de mon texte, ce qui prouve mon envie de dialoguer, le lendemain je reviens vers eux et leur dit:
« Je reviens vers vous me rendant compte que j’ai utilisé les mots “crétin” et “con” dans mon texte, je me suis dit: Tiens, voilà les mots orduriers qu’ils auraient trouvé dans mon texte et qui auraient fondé son rejet. Soit, je suis alors retourné sur votre site et j’ai constaté qu’après avoir entré ces mots dans la “fenêtre” recherche de votre page, j’ai trouvé 281 documents reprenant le mot “con” et 411 documents reprenant celui de “crétins”. Pour le reste mon texte est factuel, il est même riche d’informations (celles qu’on ne donne jamais) et vous ne publiez pas. J’en conclus que vous pratiquez une politique du “Deux poids, deux mesures”, et que par ailleurs, vous avez la prétention d’être une véritable police de la pensée. Cela ne m’étonne pas, mais alors, cessez de jouer les démocrates !!!
Vous remarquerez, enfin, je l’espère que je reste poli, même si ce n’est pas facile pour moi, je vous l’assure.
Salutations »
Résultat, toujours pas de réponse, j’écris directement au responsable du site de l’Express, Eric Mettout et lui dis :

« Monsieur, je suis très choqué par le message que j’ai reçu de vos services. J’ai répondu à deux reprises sans avoir obtenu de réaction. Je m’y attendais. Vous avez le droit de ne pas publier les commentaires qui ne vous conviennent pas, c’est de l’ordre de votre libre arbitre, mais alors il faut accepter que l’on vous prenne pour un media tendancieux ou de parti-pris très éloigné du devoir d’information que se doit tout journaliste. Mais, bon l’immense majorité de la presse est à gauche et elle ne supporte pas la contradiction. Si tout cela est détestable, c’est encore acceptable, tout juste acceptable. Par contre ce qui ne l’est pas, c’est votre justification à mon égard. Vos propos sont mensongers, vous êtes donc des menteurs, c’est honteux. Je n’ai été ni ordurier ni agressif avec qui que ce soit. Ce que je dis est juste et mesuré. La politesse m’interdit de dire ce que je pense de vous et de tels procédés. Salutations ».

Sa réponse:
From: Eric METTOUT
« Monsieur,
En publiant sur notre site, vous vous engagez à en observer les règles – dont celle qui vous enjoint de respecter les victimes et de ne pas les comparer ignominieusement à leurs bourreaux.
Merci de respecter ce dernier avertissement. A défaut, vous ne serez plus autorisé à publier
 » 

Evidemment j’enrage et lui réponds ceci :

« Monsieur,
Vous êtes un menteur pathologique. Je ne compare pas la victime aux “bourreaux”. Je dis ce que sont, en général, ces groupes d’ultragauchistes, c’est tout. Je précise aussi que cette bande “aurait peut-être été les assaillants” (on peut au moins se poser la question en démocratie, non ?), ce qui est dit sur d’autres médias que le vôtre. J’utilise un conditionnel, ne l’avez-vous pas remarqué ?
Je termine par cette phrase que vous n’avez sans doute pas lue:
Par pudeur, je me tairais ici, sans dire ce que je pense des uns ou des autres, sans prendre parti, un enfant (19 ans !) est mort, quel drame, la responsabilité est chez tous ceux qui ont pris part à cette bagarre absurde. Ce sont des cons, c’est tout”

Donc je ne prends pas parti et je suis simplement scandalisé de l’exploitation politique qui est faite de ce drame par la gauche entière qui a un comportement honteux. Elle aurait dû se taire, ce qu’elle n’a pas fait !
Vous ne faites pas du journalisme mais de la propagande, c’est différent. En outre vous êtes menaçant en me disant que je ne serais plus autorisé à publier sur votre site, alors que vous ne me publiez déjà pas, ce qui, en plus d’être menaçant est parfaitement idiot puisque la menace est déjà mise à exécution. Pour résumer, vous êtes un menteur menaçant, bravo, belle preuve d’humanité et de probité journalistique également.
Salutations »

Il m’écrira simplement ceci pour se débarrasser de moi, sans me répondre réellement comme le bonhomme d’Ixelles. Ils doivent être copains les gugusses :

« Bonjour,
Merci de vos compliments.
Et très bonne journée à vous aussi
, »

La messe était dite, il ne justifiera rien et restera figé dans ses fausses affirmations ou ses certitudes inventées. J’étais en dehors de la pensée formatée, celle qui fait de la gauche le sauveur de l’humanité et de la droite son bourreau éternel, celle aussi qui fait automatiquement d’un libéral un « ultra-libéral (ce qui n’existe pas !)»,  c’est-à-dire, un dangereux extrémiste, un radical et finalement un fasciste (c’est ce qu’on disait de Mitt Romney, me voilà en bonne compagnie au moins). La gauche est reine de l’affabulation, de la prestidigitation et des raccourcis de la réflexion. Mais, dans le fond, réfléchit-elle, je crains fort que non, asphyxiée par ses dogmes multiples, son cerveau manque d’oxygène, elle est incapable de réfléchir et de comprendre.

Avec elle, peu importe les faits, seule importe l’utopie et, il faut le constater également, la manipulation sémantique n’a pas de frontières, Ixelles et Paris, même combat, même mensonge, même police politique de la pensée et même terrorisme intellectuel ! 
Le diable est dans les détails, la tyrannie l’est aussi !

Mais, pas de chance pour Mettout, le 25 juin (3 semaines après)l’information suivant laquelle, la victime d’extrême gauche était en fait l’agresseur (elle avait frappé la première) tombait. La source de cette information, la police judiciaire française tout simplement… En somme, une nouvelle histoire d’arroseur arrosé !

Du coup, j’ai écrit à Mettout le message suivant en reprenant ses propres mots : « Bonjour, sans être « ignominieux» et mettre les victimes à la place des assassins, je viens d'entendre sur Télématin que  la police aurait la preuve que Meric (le militant d’extrême gauche) a porté le premier coup. J'imagine que l'Express ne publiera pas une info ordurière comme celle-là ! A bientôt ! »

Evidemment…pas de réponse de sa part et cela fera bientôt deux mois, lui qui était si empressé de cracher son venin en d’autres circonstances était soudain muet comme une carpe. Je suis certain que le cuistre n’est même pas gêné par son attitude parce que la gauche pratique le mensonge par la nature même de son idéologie liberticide  qui cultive la haine de l’autre, celui qui ne pense pas comme elle.
Je n’ai pas non plus trouvé de nombreux échos de cette nouvelle réalité mise en lumière par la police judiciaire française dans toute la presse traditionnelle. Il faut croire que cette vérité-là dérangeait leur habituelle propagande. 

La responsabilité de la gauche, les hommes politiques et les médias, est immense dans cette pénible affaire. A force de diaboliser depuis des lustres la droite et de focaliser sans cesse sur une droite extrême responsable présumée de tous les maux, la gauche et l’extrême gauche se sont senties pousser des ailes dans le dos, elles ont occupé le terrain partout en canalisant l’information ou en la bloquant simplement quand elle ne leur convenait pas. Par ces manœuvres constantes, la gauche est ensuite apparue comme l’unique ange gardien de nos valeurs démocratiques pour apparaître plus tard comme un mouvement irréprochable, divinisé et absout pour l’éternité de tous les péchés. La gauche, sous toutes ses formes, a été déclarée intouchable et la France, actuellement portée par un régime socialiste partisan, est alors devenue le théâtre de ces dérives collectivistes, quasi stalinienne. Si l’extrême gauche avait été tenue pour ce qu’elle était depuis toujours, une abomination violente, arbitraire et mortifère, nous n’en serions pas arrivés à ces bandes de casseurs qui se croient au-dessus des lois quand ils sont soutenus à l’unanimité et tacitement par le pouvoir et les médias

Quelqu’un a-t-il entendu le pouvoir ou les médias recadrer les responsabilités de chacun après les conclusions de l’enquête pénale dans cette histoire de bagarre entre bandes, non, évidemment pas, parce que, pour ces gens-là, les chimères gauchistes valent mieux que toutes les réalités humaines.

Je le répète encore, l’utilisation politique de cet accident lamentable par la gauche est parfaitement odieuse. Ce jeune homme, avant d’avoir été la victime de l’extrême droite aura été sa propre victime et surtout celle de cette gauche irresponsable et stupide qui pousse paradoxalement et indirectement à tous les excès en couvrant systématiquement les écarts de son clan.

Je suis scandalisé parce qu’à cause de ce terrorisme intellectuel qui interdit de penser différemment, un gamin de 19 ans est mort dans des circonstances absurdes issues du clivage entretenu par le monde politique. S’il n’avait pas vécu dans un climat détestable, qui divise les gens et les montent les uns contre les autres, il n’aurait pas cultivé cette haine de l’autre, ce goût pour la bagarre et rien de tout cela ne serait arrivé, il serait encore à sa place bien vivant parmi nous aujourd’hui. La bêtise, le parti-pris, la sauvagerie, le sentiment d’impunité qui domine à gauche et la haine ont balayé cette jeune vie au printemps de cette année démoniaque, cet homme si jeune n’aura pas vu l’été, il ne connaitra ni l’automne, ni l’hiver prochain, il ne verra plus rien, n’entendra plus, cet enfant a disparu, il aura été simplement effacé comme l’on gommerait d’un geste un croquis mal réalisé, mais il n’était pas un croquis, il était un garçon aimé des siens qui méritait de vivre malgré les manipulations dont il était l’objet. La folie et l’imbécilité des hommes aura eu raison de lui, c’est évidemment regrettable parce que la mort n’est souhaitable à personne, même pas à son pire ennemi. Les idées ne valent pas que l’on meure pour elles, ceux qui poussent les naïfs et les crédules à cette funeste extrémité sont seuls à porter une terrible responsabilité. 

Je songe souvent à ce gamin et j’en veux énormément aux crétins qui l’ont conduit à ces comportements qui ont anéanti sa propre existence. Pourtant, je suis convaincu que ces mêmes crétins vont continuer dans une voie identique, celle de la haine de l‘autre, de la stigmatisation d’ennemis imaginaires, de la violence physique ou verbale et des chimères nuisibles aux libertés, aux hommes, à la démocratie et à la vie elle-même.
La gauche est responsable du délabrement moral, économique et géopolitique de la France et de l’Europe entière, elle devrait avoir honte, mais, c’est tout le contraire, elle reste fière d’elle-même et de ses bilans catastrophiques et elle préfère s’attacher à de mauvaises causes pour satisfaire son égo gigantesque et sa quête du pouvoir en se cachant lâchement derrière un écran de fumée épais, protecteur et mystificateur.

Mais, défendre nos valeurs n’est pas chose facile, je passe encore trop souvent pour un extrémiste, même parfois auprès de proches, parce qu’on me dit parfois, un peu bêtement : « A chacun ses idées ». Sans doute, mais, si les idées préexistent aux faits qu’elles engendrent, les faits déterminent la pertinence de ces mêmes idéesIci réside la différence entre les dogmes (le socialisme ou l’islam) et le pragmatisme de la démarche scientifique et du libéralisme. J’essaye d’être factuel, ce qui, étonnamment, est incompréhensible pour beaucoup qui préfèrent planer dans un monde abstrait fait d’approximations, d’illusions ou d’utopies et de rumeurs. D’ailleurs, à ce sujet, Guy Millière terminera un article par ces motsArticle de Dreuz  : « En Europe, nombre de gens trouvent toujours Barack Obama admirable, et considèrent les deux livres que j’ai consacré au personnage (La résistible ascension de Barack Obama et Le désastre Obama) très excessifs. Ce sont pourtant des livres descriptifs, simplement des livres descriptifs ». Comme il le dit lui-même, ses livres sont simplement descriptifs, donc factuels et ils se nourrissent de la réalité des faits en dehors de tout parti-pris. Quel est l’autre type de travail intellectuel qui conviendrait mieux au débat des idées dans la recherche des meilleures solutions pour notre société ou notre civilisation, je me le demande et, en me posant la question, je constate qu’il n’y en a pas !

Les dogmes imposés par les fous ou les imbéciles sont nombreux. 
Cela commence par des peccadilles en apparence innocentes :
Il faut d’abord faire croire que des textes illisibles sont lisibles et imposer le mensonge ou la manipulation.
Il faut ensuite faire croire que les gens qui ont des idées différentes des vôtres et analysent également froidement et en toute objectivité les faits sont grossiers, extrémistes ou fascistes.

Alors, tout s’enchaînera avec cette même logique globale et universelle du faux, du flou, de l’imposture et de la folie douce ou de la folie furieuse, et... :
Il faudra croire au socialisme ou aux idées qui en découlent parce qu’eux seuls sont capables d’instaurer l’équité nécessaire et le bonheur absolu, ce qui est une imposture.
Il faudra encore croire au réchauffement climatique d’origine humaine, accepter le principe duCO2 comme étant un polluant très dangereux et se réjouir de payer de lourdes taxes en échange de nos excès supposés, ce qui est une autre imposture.
Il faudra aussi croire en notre modèle économique par répartition déclaré à priori formidable mais en réalité lamentable (voir plus bas).
Il faudra enfin croire, sous peine d’être frappé d’islamophobe, que l’islamisme est un phénomène isolé, l’œuvre de quelques illuminés et que l’Islam est une religion d’amour et de paix (voir plus bas). 

Or, le système des pensions par répartition est un Ponzi, (ce qui correspond au système pyramidal interdit par la loi parce que assimilé à une escroquerie) je le dis assez !!! Voici d’ailleurs une preuve mathématique que le système de retraite est une chaîne de Ponzi, c’est-à-dire qu’il relève du même procédé financier que l’arnaque de Bernard Madoff   Article . Je vous propose, en passant, de méditer sur cette remarque intéressante de l’auteur : « J’imagine que certains de mes lecteurs sont déjà sceptiques quant à l’usage des mathématiques en économie sans considérations pour le concret. Je leur répondrais que quelque chose qui respecte les mathématiques n’est pas nécessairement réel (et donc peu digne d’intérêt). En revanche, quelque chose qui ne respecte pas les mathématiques ne peut tout simplement pas être réel». Désolé pour les littéraires (et ils sont nombreux, surtout chez nos gouvernants) dont je ne suis pas et qui n’entravent que pouic aux mathématiques, à l’économie, aux statistiques, aux probabilités, à l’analyse financière et à tout ce qui compte plus de trois chiffres, mais rien ne vaut une bonne démonstration factuelle qui détruit le dogme ou l’utopie !
Allez, je me rattrape, pour faire simple et plaire aux littéraires, on peut aussi définir un Ponzi en quelques mots, soit, dans le cas d’espèce, un système fondé sur le déséquilibre permanent entre actifs et retraités c’est-à-dire une méthode qui n’est financièrement viable que par la croissance de ses adhérents (donc des actifs, ceux qui paient !), ce qui constitue le principe même d’un Ponzi ou d’une chaîne voué à l’échec tôt ou tard.

Donc, si le système de retraite par répartition est un Ponzi, l’islam n’est pas non plus une religion de paix, d’amour et de tolérance.  Je vous invite, à ce propos, si vous ne connaissez pas (je l’ai déjà cité), à lire « Jésus et Mahomet » de Mark A. Gabriel, ex-professeur de l’islam à Al-Azhar, converti au christianisme, il jette un œil avisé sur le coran et les imams. L’étude comparative que l’auteur fait entre Jésus et Mahomet vaut la peine d’être lue et ouvre la porte à bien des réflexions intérieures. Lire la parole de Jésus, ce que je n’avais plus fait depuis mon enfance, me renvoie en pleine figure ma propre culture, mes propres racines et finalement les valeurs auxquelles je crois qui étaient déjà écrites il y a deux mille ans. Au-delà de l’apprentissage de l’histoire, c’est un magnifique voyage vers soi-même que l’on découvre en parcourant ce livre. Je ne m’y attendais pas. Gabriel, musulman d’origine a rapidement compris les « errements » de l’Islam et, quand il était encore étudiant à l’université Al-Azhar, il demandera à l’un de ses professeurs (une sommité !!!) pourquoi celui-ci enseignait toujours au sujet du djihad et jamais au sujet de la paix. Son professeur lui répondra : « Mon frère, il y a toute une sourate intitulée « Butin de guerre », mais aucune sourate n’est intitulée « Paix ». Le djihad et le meurtre sont la tête de l’Islam. Si vous les enlevez, vous coupez la tête de l’Islam ». Devant un tel aveu, je crois qu’il y a peu de choses à ajouter. Quel commentaire faire après cette affirmation, quelle action prendre ensuite, sinon celle de tourner les talons et de fuir l’islam en courant à toutes jambes. Gabriel écrira aussi : «Sans exagérer je peux dire que l’histoire de l’islam est une histoire de violence et de bains de sang, depuis l’époque de Mahomet jusqu’à nos jours. En étudiant le Coran et les enseignements de Mohamet, j’ai compris pourquoi l’histoire de l’islam était ce qu’il était. Quel Dieu peut fermer les yeux sur une telle destruction de la vie humaine » Gabriel expliquera également la fuite (c’est bien de cela dont il s’agit) de Mahomet à Médine après qu’il ait été chassé de La Mecque et sa radicalisation qui s’ensuivit. Pour moi, là aussi, tout est expliqué : Mohamet était-il un prophète, peut-être, je veux bien laisser le doute, mais, une chose est certaine, il était surtout un guerrier qui voulait soumettre tout le monde par la force, la contrainte et l’épée (on est très loin de l’enseignement de Jésus). Par des guerres et des menaces, son armée a tué des milliers de gens et il a soumis toute l’Arabie au règne de l’Islam. Mohamet et ses hommes se sont enrichis par les pillages ou en vendant femmes et enfants comme esclaves. Quel Dieu servait-il ? Je serais simplement tenté de dire qu’il se servait lui-même sous le prétexte d’Allah tout puissant. On ne s’étonnera alors pas que toutes réflexions sur le Coran soient interdites parce que la réflexion conduit inévitablement à l’imposture que représente cette pseudo-religion, véritable dogme politique, tyrannique, liberticide, rempli de haine, de violences, de meurtres et d’appel aux meurtres. Nous n’en avons pas fini avec l’Islam, il faudra affronter la vérité un jour, le plus vite sera le mieux, malgré l’aveuglement de l’Europe des dirigeants, les faux-culs et les lâches, comme je les qualifie dans un texte du même nom.
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L’inoffensif despotisme imposé par les imbéciles et les fous conduit toujours à la tyrannie !
Si les imbéciles et les fous comprenaient tout le mal qu’ils nous causent, ils nous plaindraient !
Mais, me direz-vous, en politique, il n'y a pas que des idiots et des gens corrompus par les valeurs ineptes, hélas, dans un sens oui, parce que l'intelligence ou la loyauté envers les valeurs saines et naturelles s'effacent devant l'ambition.